Population mondiale

3. Les enfants meurent anonymement
Le modèle est maintenant bien établi. Les parents fanatiques du vaccin on fait injecter leurs enfants plusieurs fois et/ou ils ont nourri leurs bébés avec du lait maternel
tout en étant vacciné. Des bébés sont mort. Beaucoup de parents jouent la carte de la victime, de l'ignorance, comme Jessica Day-Weaver.

Certains réagissent, malgré leur chagrin, et avertissent les autres parents des dangers des injections.
Mais le groupe précédent a maintenant établi des canaux pour attaquer les "anti-vaxx", et continuer à promouvoir les injections pour les enfants
et à obtenir la sympathie des fanatiques du vaccin.

Les lecteurs réguliers se souviennent de Mme Amanda Makulec. C'est une mère de Washington, DC, âgée de 35 ans, qui a reçu des injections pendant sa grossesse
et a nourri son nouveau-né avec du lait maternel. Le petit «Baby Z» est décédé « soudainement et de manière inattendue », à l'âge de 2 mois et demi,
le 27 septembre 2021. NBC News et le New York Times ont donné à Mme Makulec des plateformes pour attaquer le blogueur qui a diffusé l'info,
et pour obtenir le soutien d'autres fanatiques du vaccin.

Plus récemment, vous vous souvenez tous de Billy Ball. Son fils, Jackson Ball, 7 ans, est décédé d'une méningite post-injection le 4 janvier 2023.
Cette fois, c'est The Atlantic qui a donné à Billy une plate-forme pour attaquer le blogueur, promouvoir davantage les injections pour les enfants et jouer la victime ignorante
pour un public fanatique.
Ce Blog a été clair dès le début, les parents qui perdent des enfants et avertissent les autres des dangers des injections reçoivent notre soutien.
Nous mettrons en relation leurs collecteurs de fonds, les interviewerons, prions avec eux, etc. Nous avons également été très clairs à propos de l'autre côté.
C'est incroyablement douloureux d'écrire des histoires de décès post-injection, sur des bébés qui n'ont pas eu leur mot à dire en la matière.

Certes, beaucoup de ces parents fanatiques du vaccin aiment l'attention reçue des plateformes médiatiques grand public.
Mais il semble que notre travail porte ses fruits à la fois dans le bon et dans le mauvais sens. La bonne chose est que nous recevons beaucoup plus de courriels
ces jours-ci de parents qui veulent simplement prier, après avoir perdu un enfant à cause des injections.
La plupart ne veulent pas s'exprimer publiquement de peur de perdre leur emploi, leurs amis et leurs moyens de subsistance.
Mais tous ont récemment supprimé tout fanatisme vaccinal de leurs réseaux sociaux.

Le pire, c'est que plus d'enfants mourront anonymement dans les pays occidentaux. Nous voyons déjà de nombreuses histoires qui disent simplement
"un enfant de 6 ans est décédé subitement" sans nommer de noms ni fournir plus de détails. Il y a peut-être des millions d'enfants qui meurent
dont nous ne saurons jamais rien aux États-Unis, au Canada, en Australie et en Europe.


4. Combien y a-t-il de Dominique de Silva ?
C'était l'une des histoires les plus déchirantes et les plus horribles que nous ayons jamais écrites.
C'était une première indication de la nature sectaire du covid-19 et du fanatisme haineux des pro-vax.

Mme Dominique de Silva avait tout pour elle. Elle venait de se marier en mai 2021 et a connu un grand succès dans sa carrière dans l'immobilier.
Elle a reçu une seule injection d'ARNm de Pfizer le 18 mars 2021. Toute son existence a été bouleversée à partir de là.
Elle souffrait essentiellement d'un syndrome de Shawn Skelton sévère. Mme De Silva a posté avec hésitation des vidéos d'elle-même, en fauteuil roulant,
avec de graves convulsions, etc. Elle voulait avertir les autres des dangers de ces injections,.
Mais elle a été attaquée sans relâche par des trolls fanatiques pro-vax, qui l'ont accusée de simuler les blessures.

Une partie de leur raisonnement était due au fait que Mme de Silva publiait toujours des photos "normales" d'elle-même, sur Instagram,
avec des vidéos et des photos de ses blessures. C'était une fille de 30 ans. C'est ce qu'ils font au 21e siècle, en particulier lorsqu'ils sont confrontés au carrefour du déni
(qu'elle puisse être définitivement mutilée) et de l'acceptation que sa vie a été changée à jamais.

Les fanatiques vaccinaux l'ont également accusé d'avoir profité d'une fausse blessure. C'est devenu si grave que Mme de Silva a été forcée d'envoyer des dossiers médicaux
à GoFundMe pour prouver ses blessures. La preuve était apparemment satisfaisante, puisque la page GoFundMe est toujours active aujourd'hui.
Le dernier signe de vie de Mme de Silva est venu via Instagram le 18 mars 2022, un an après l'injection d'ARNm de Pfizer.
Nous avons essayé de contacter Mme de Silva par différents canaux, mais nous n'arrivons pas à la joindre.
Elle a complètement disparu des réseaux sociaux et de son blog. Avant l'injection, elle postait régulièrement sur le marché du logement,
son mariage et des photos de type mannequin.


L'histoire de Mme de Silva est similaire à celle de Mme Stacee Tiemeier , une autre des premières victimes vaccinée blessées qui est devenue publique
et a été excoriée par des trolls fanatiques vaccinaux. Elle mène toujours le combat.
Il est devenu clair très tôt que si quelqu'un rendait public des blessures vaccinales, il serait persécuté sans fin, perdrait ses amis, sa famille, son emploi, etc.
Ils serait étiqueté «théoricien du complot» et «anti-vax». il y a d'innombrables morts ou de souffrants en silence, pour éviter ce qui précède.

Nous avons vu plusieurs histoires en 2023, de personnes dissimulant les cadavres de leurs proches, retrouvées mortes des mois après avoir disparu.
Les personnes cachant des corps finiront par se faire prendre aux États-Unis et dans d'autres pays occidentaux.
Mais nous n'avons aucune idée à quel point cela se produit en Afrique, en Asie, en Amérique du Sud, etc.

Des cas très médiatisés, comme la princesse Bajrakitiyabha de Thaïlande, montrent à quel point ils iront pour dissimuler les décès par vaccin.
Elle s'est effondrée le 14 décembre 2022, après avoir subi une crise cardiaque en promenant ses chiens.
Nous sommes censés croire que la princesse Bajrakitiyabha, 44 ans, est toujours dans le coma depuis sa crise.
Il n'y a eu aucune mise à jour depuis janvier .

Nous n'avons également aucune idée de ce qui se passe avec l'acteur Jamie Foxx.
Il a été hospitalisé le 12 avril à Atlanta en raison d'un « état de santé non précisé ».
Cependant, il est largement admis que l'homme de 55 ans a subi un accident vasculaire cérébral. M. Foxx a exigé que tous les participants à sa tournée de livres
en 2021 présentent une preuve de vaccination.
Il n'y a pas eu d'autres mises à jour sur son état au moment de la publication, sauf qu'il est toujours hospitalisé et qu'il « guérit ».

5. Poliomyélite et famine en Afrique

L'Organisation mondiale de la santé a déclaré que les deux principales souches de poliomyélite "sauvage" avaient été éradiquées dans le monde en 1999 et 2020,
respectivement.
La troisième souche sauvage n'existe aujourd'hui qu'au Pakistan et en Afghanistan.
Mais des gros titres sont partout depuis 2022.
La polio sauvage a été déclarée éradiquée de tout le continent africain en 2020.
Alors d'où vient toute cette polio ?

Demandez à Bill et Melinda Gates.

Tous les cas de poliomyélite en Afrique aujourd'hui , qui se chiffrent en millions, sont dérivés des vaccins antipoliomyélitiques oraux de Bill Gates.
Ces concoctions provoquent la paralysie et/ou la mort de Dieu sait combien d'enfants.
C'est l'Afrique, pas les US Wheelchairs, Americans with Disabilities Act, etc. n'existent pas dans la majeure partie de l'Afrique.
Un enfant paralysé qui ne peut pas aller chercher de l'eau et de la nourriture pour lui et sa famille est condamné.

La plupart des Africains ont refusé les injections d'ARNm et d'ADN vecteur viral.
Mais Gates et compagnie peuvent encore les convaincre de se faire vacciner contre la polio par voie orale.
Ces fous génocidaires admettent ouvertement qu'ils utilisent des Africains comme cobayes pour tout, des injections d'ARNm aux traitements expérimentaux du SIDA.
Ces vaccins oraux contre la poliomyélite sont un génocide ouvert et flagrant. Pourtant, personne ne sourcille.

Pendant ce temps, la Corne de l'Afrique a connu la saison des pluies la plus sèche depuis plus de 70 ans en 2022.
Nous savons que l'on pourrait facilement manipuler la météo, créer de la pluie et sauver toutes ces personnes. Mais ils ne le font pas et ne le feront pas.

En Afrique de l'Ouest, plus de 48 millions de personnes sont au bord de la famine, le plus grand nombre depuis plus d'une décennie.
L'organisation à but non lucratif SOS Children's Village estime qu'un total de 227 millions de personnes sont sur le point de mourir de faim dans toute l'Afrique aujourd'hui.
C'est environ une personne sur cinq à travers le continent. Oxfam International estime qu'une personne meurt de faim toutes les 48 secondes en Afrique .

La combinaison de la poliomyélite vaccinale, d'une grave sécheresse, de la famine, de la guerre perpétuelle et même de quelques décès par ARNm et ADN à vecteur viral,
fait une estimation éclairée de 300 millions de décès supplémentaires tout à fait sensée à travers le continent depuis 2020.

C est vrai qu a Bangkok,il y a une acceleration des cancers et des troubles respiratoires mais on met ca essentiellement
sur le compte de la pollution et du changement climatique.Ce qui est en partie vrai,on a pas eu beaucoup de vaccin Pfizer
et ceux qui l on eu ont ete malades (mes 2 belle-soeurs par exemple en 2022).

Le changement climatique a bon dos ! Et autrefois alors lorsque les gens brûlaient du charbon partout, usines etc... ? Toutes sortes de polluants !
C'est aujourd'hui qu'on dit "attention, on peut avoir un cancer" !

Un autre milliard de disparus d'ici la fin de cette année ?

Les écoles publiques américaines ont connu une baisse record des inscriptions depuis 2020.
Une partie de cela peut être attribuée à l'enseignement à domicile, en raison de tous les étranges programmes homosexuels en Californie, en Oregon, à Washington
et dans d'autres régions libérales.
Mais au moins 71% des Américains de 12 à 17 ans ont reçu au moins une injection d'ARNm. Ce chiffre est de 40% pour les 5-11 ans.

La Coupe du monde 2022 attendait 1,2 million de visiteurs au Qatar, pour le tournoi d'un mois. Moins de 800.000 fans se sont présentés,
tandis que plusieurs journalistes couvrant l'événement se sont effondrés et sont morts.

Presque tous les centres-villes des grandes villes américaines sont pratiquement déserts.
Certes, beaucoup de gens travaillent encore à domicile. Mais les dépenses de détail au centre-ville de Boston ont diminué de 25% en 2022, par rapport à 2019.
Le centre-ville de Pittsburgh a connu une réduction de 50 % du nombre de travailleurs visitant le centre-ville de janvier 2020 à décembre 2022.
Las Vegas a accueilli 38,8 millions de touristes en 2022, contre 45,5 millions en 2019.

Il ne peut y avoir qu'un nombre limité de coïncidences. Quoi qu'il en soit, on vous faire croire que la population mondiale est passée de 7,8 milliards en janvier 2020
à 8,028 milliards aujourd'hui, malgré que presque tous les pays aient signalé des décès record.
Sans parler du vaccin contre la poliomyélite et des famines en Afrique. Ils n'ont aucun problème à insulter l'intelligence des gens pour s'assurer que leur récit
("la population augmente") reste conforme à leur discourt.

La plupart des décès par génocide vaccinal que nous constatons actuellement sont ceux qui ont reçu des rappels en 2022, ou les deux premiers vaccins
ou un vaccin Johnson & Johnson au cours des six premiers mois de 2021.
Encore une fois, tout ce que nous pouvons faire est de rapporter ce que disent les experts et les victimes.

Le Dr Sherri Tenpenny, a déclaré en mars 2021, que les receveurs de vaccin développeraient une amélioration dépendante des anticorps (ADE)
« dans un délai de 42 jours à un an ». Elle avait raison, car la plupart des décès par vaccin se sont produits quelques heures, jours et semaines
après les injections de janvier 2021, jusqu'à l'introduction de la formule d'ARNm "slow-kill", complète avec le médicament anti-crise cardiaque trométhamine (alias "tris")
en août 2021 .

Le Dr Charles Hoffe, de la Colombie-Britannique (Canada), a déclaré au printemps 2021, que presque tous ceux qui recevaient les injections d'ARNm
ou d'ADN à vecteur viral développeraient des caillots sanguins et mourraient des suites d'une insuffisance cardiaque dans les deux ans.
Soit il était visionnaire, soit il un médecin de génie, car maintenant presque tous les décès surviennent un an ou deux après la première série de vaccins ou de rappels.

Il n'y a aucune raison de croire que le génocide des vaccins ralentira. Le génocide du vaccin contre la poliomyélite, en Afrique, ne fera que s'accélérer,
parce que personne n'en parle. Un autre milliard de décès supplémentaires au cours des huit prochains mois pourrait être un chiffre sensé.
Cela porterait la population mondiale à moins de 6 milliards d'ici la fin de l'année.
C'est fou, mais il n'y a littéralement aucun argument contraire légitime.


Source
thecovidblog.com

Démographie : naissances en baisse, espérance de vie qui stagne... la France compte 68 millions d'habitants

Selon le bilan démographique publié ce mardi17 janvier par l'Insee seulement 723 000 bébés sont nés en France en 2022. Il s'agit du plus faible nombre depuis 1946.
La population française a franchi la barre symbolique des 68 millions d'habitants au 1er janvier 2023. 68 043 000 exactement.
C'est le compte précis de l'Insee qui a rendu public son bilan démographique ce mardi 17 janvier.

Selon l'institut, la France métropolitaine compte 65,8 millions d'habitants et 2,2, millions dans les départements d'Outre-mer.
Une progression de 0,3 % après des progressions de 0,4 % en 2021 et +0,3 % en 2020.

Mauvaise nouvelle en revanche, on fait moins de bébés en France.
Avec 723 000 naissances en 2023, c'est le plus faible nombre observé par l'Insee depuis 1946. C'est surtout 19 000 naissances de moins qu'en 2021.
Sur la même période, on recense 667 000 décès, soit 5 000 de plus qu'en 2021.
Un chiffre à rapporter à la pandémie de coronavirus et à la canicule estivale, mais aussi en lien avec une population toujours plus âgée.

Champion d'Europe
En dépit d'un niveau de naissance bas, la France reste toutefois le pays le plus fécond d'Europe avec 1,84 enfant par femme, juste devant la Roumaie à 1,80.
Mais ce taux continue de diminuer partout en Europe.
Les femmes françaises ont, en moyenne 31 ans lors de la naissance de leur premier enfant, contre 29,4 ans, au début des années 2000.

L'espérance de vie stagne
Point de débat essentiel dans le cadre de la réforme des retraites, l'Insee a insisté sur la stagnation de l'espérance de vie des Français dans ce bilan
pour l'année 2022. L'espérance de vie des Français est de 85,2 ans pour les femmes et de 79,3 ans pour les hommes.

Dans le détail, et après une baisse importante en 2020, liée à la crise sanitaire, les hommes gagnent 0,1 an d’espérance de vie et celle des femmes ne progresse pas.
Elle est en baisse de 0,4 an par rapport à 2019, année de référence avec la crise du Covid.


source
midilibre.fr

Est ce que l on compte l immigration lorsque l on fait des recensements ?

C'est une crise qui rampe depuis des dizaines d'années, mais dont on parle peu. Éclipsée par les chiffres du chômage, le taux de croissance ou le taux d'inflation,
la crise démographique menace pourtant les économies.
C'est particulièrement vrai dans l'Union européenne, en Australie, au Canada, au Japon ou en Corée du Sud. Il faut des jeunes actifs maintenant pour soutenir
la croissance d'aujourd'hui et de demain. Les puissances rivalisent pour attirer les talents étrangers.
L'immigration est-elle la solution à la crise démographique ?
Quelles implications pour les expatriés ?


Crise démographique : du « baby flop » au « baby crash »
On a d'abord accusé la Covid-19.
En 2020, la natalité plonge.
Jusqu'à -8 % dans les pays de l'Union européenne (UE),
-4,7 % en Afrique du Sud,
-4 % aux États-Unis
-3,8 % en Israël et en Algérie,
-3,7 % en Australie,
-3 % au Canada.
On parle alors de « baby flop mondial ». Les experts sont pessimistes, et prédisent un « baby crash » pour 2021.
Si certains États enregistrent une hausse des naissances (la politique vaccinale commence, les frontières rouvrent, les économies repartent),
le climat mondial reste inquiétant.

La mobilité internationale reprend, poussée par des politiques très volontaristes, comme au Canada, où le gouvernement déroule le tapis rouge aux talents internationaux.
Terre historique d'immigration, le Canada manque de main-d'œuvre pour aujourd'hui et pour demain.
Sans travailleurs étrangers, pas de croissance économique, pas de croissance démographique.
L'équation est simple, mais ne plaît pas à tout le monde. Aux États-Unis, la politique Trump a restreint, non seulement l'immigration illégale, mais aussi l'immigration légale.
Si depuis, le président Biden a rouvert le dossier, avec une ambitieuse réforme de l'immigration, les effets de la politique Trump, combinés à la crise sanitaire,
n'ont fait qu'enfoncer un peu plus le pays dans une stagnation démographique.
La crise démographique touche de nombreux pays dans le monde et s'accélère.


La leçon de la Corée du Sud

L'exemple de la Corée du Sud montre l'impact de la baisse démographique sur la croissance économique, et comment l'État peut agir pour atténuer cet impact
grâce à l'immigration. Pour les experts, l'urgence frappe déjà aux portes de la Corée du Sud.
Selon eux, le pays ne fera plus partie des 15 plus grandes économies dès 2050. L'Indonésie et le Nigéria le supplanteront, notamment grâce à leur forte population jeune
et active. Un vivier indispensable pour la croissance.


Une crise démographique alarmante

La Corée du Sud risque-t-elle de disparaître ?
C'est ce que craignent d'autres études, qui relèvent des taux de fécondité en baisse constante :
1,05 % en 2017,
0,98 % en 2018,
0,92 % en 2019,
0,84 % en 2020,
0,81 % en 2021, 2022.

Des chiffres alarmants, selon la Commission économique des Nations unies pour l'Europe (CEE-ONU), qui rappelle que le taux de fécondité minimal pour maintenir
la démographie d'un pays se situe à 2,1 %.
Plus grave : un taux inférieur à 1 % peut conduire à une des naissances de 50 % en trente ans.
À ce rythme, la Corée du Sud pourrait disparaître en 2750.

La Corée du Sud paie peut-être en partie les effets d'une politique de limitation des naissances relevée trop tardivement.
Mise en place dans les années 60 (le taux de fécondité était alors de 6%), elle était portée par la campagne « à continuer à faire des enfants,
nous resterons dans la misère ».
Message bien entendu. Le taux de fécondité chute dans les années 80 (2,1 % en 1983), mais la politique de limitation des naissances n'est remise en cause qu'en 2005.
Le taux de fécondité a baissé à 1,08 %, et continuera de diminuer. Les milliards de wons investis depuis
(environ 200 000 milliards de wons, soit environ 15 milliards de dollars) n'y font rien.


L'immigration, solution pour relancer la croissance

Pour le gouvernement de Han Duck-soo, la solution s'appelle « immigration ». Toujours depuis les années 2000, l'État a lancé plusieurs programmes pour faciliter l'accès
à la résidence permanente.
En 2004, il s'ouvre aux travailleurs étrangers peu qualifiés. Le pays manque de main-d'œuvre dans la construction, l'agriculture, la pisciculture, la manufacture,
des secteurs considérés comme « pénibles » et « sales » par nombre de jeunes sud-coréens (c'est toujours le cas aujourd'hui).
Le soft-power de la hallyu (vague coréenne) attire les jeunes étrangers. Pour eux, l'État développe le visa K-pop et le visa nomade numérique.
Il encourage aussi les mariages internationaux (le mariage est en chute libre depuis les années 90) et s'investit dans l'accueil des étrangers via des centres d'aide,
ou des cours gratuits de coréen. Pour les candidats à l'expatriation, les opportunités sont grandes.

Il reste cependant beaucoup à faire. Une partie de la population accueille fraîchement les annonces en faveur d'une hausse de l'immigration.
Expatriés et résidents de longue date font part d'un racisme ordinaire encore tenace.
Début 2021, le chatbot Lee Luda a créé la polémique par ses propos racistes, sexistes et homophobes.
Le robot avait connu un brusque succès (plus de 700 000 utilisateurs de 10 à 30 ans). Scatter Lab, la société coréenne créatrice, l'a retiré du marché (en janvier 2021).
Le gouvernement lui-même semble se contredire. Malgré sa révision de la loi sur la double nationalité (2011), à peine 149 étrangers qualifiés l'avaient acquise en 2020.
En cause, des critères plus stricts que pour les étrangers d'origine coréenne.
Durant la Covid, les étrangers avaient aussi pu apprécier le double discours des autorités coréennes.


.....

Le recensement c'est toutes les personnes vivants sous le même toit. Rien d'autre.

Pourtant, nombre de scientifiques, en commençant par le commandant Cousteau il y a 50 ans, s'alarmaient de l'accroissement de la population mondiale, qui devait rester autour d'un milliard d'habitants pour ne pas impacter la planète.
Alors, c'est quoi le mieux, la croissance ou le respect de l'environnement, sachant que les deux sont incompatibles ?!...

Bataille mondiale pour attirer les talents étrangers
Et pourtant, la Corée du Sud a un besoin urgent de relancer sa croissance. Le ministère de l'Économie et des Finances a révisé sa copie :
une croissance estimée à tout juste 1,6% cette année, contre 2,5 % en juin 2022.
Le premier vice-ministre des Finances Bang Ki-seon concède :
« Le ralentissement de l'économie réelle est en train de se concrétiser [...] ». Ailleurs aussi, la croissance ralentit : environ 1 % aux États-Unis, 0,3 % pour l'Allemagne
(qui échappe de peu à la récession), 0,7 % pour la France…
Trois pays et beaucoup d'autres qui comptent sur l'immigration pour relancer leur croissance économique.

Au Canada, la mesure fait partie du fonctionnement même du pays.
Le plan immigration 2022-2024 prévoit d'accueillir 447 055 nouveaux résidents permanents cette année, et 451 000 en 2024.
En juillet, l'Australie compte étendre les visas de travail des étudiants étrangers titulaires d'une licence, d'un master ou d'un doctorat (annonce faite à l'automne 2022).
Les titulaires d'une licence pourront rester 4 ans supplémentaires, les diplômés d'un master, 5 ans, et les doctorants, 6 ans.
Le Japon, qui planche actuellement sur la suppression du controversé Programme de formation technique des stagiaires pour les travailleurs étrangers,
vient d'annoncer (lundi 24 avril) qu'il pourrait élargir la portée du visa de travail pour les travailleurs qualifiés, sans limites de durée de séjour.
L'Allemagne travaille sur une réforme de l'immigration pour attirer davantage de talents étrangers.
La Finlande déroule le tapis rouge aux talents étrangers.
Elle prévoit d'en accueillir 50 000 d'ici à 2030, puis 10 000 par an.

Les expatriés et les candidats à l'expatriation peuvent préparer leurs valises. Ils sont attendus, courtisés par des États en manque de main-d'œuvre.
Mais gare à ne voir que l'aspect économique.


Des progrès à faire
Si tous ces pays mettent en avant le besoin en main-d'œuvre, c'est bien de démographie dont il est aussi question.
Mais même lorsque les voyants sont au rouge, les gouvernements n'envoient pas toujours les bons signaux.

En France, il est toujours aussi périlleux de parler d'immigration. Enterré par le séisme des retraites, le projet « pour contrôler l'immigration et améliorer l'intégration »
refait surface avec la même rengaine : « durcir les règles », « contrôler », « intégrer ».
Il prévoit notamment de régulariser des travailleurs sans-papiers dans les « métiers en tension » (construction, restauration…).
Mais peu de place à l'humain, déplorent les associations de défense des étrangers. Pour elles, la France répète les mêmes erreurs de verticalité,
avec un État qui pense pour tous sans considérer la parole des autres.
Le projet de loi serait trop « mécanique » et ne considérerait pas « des êtres humains » qui ne sont pas là pour faire « le sale boulot »,
mais bien pour construire « un projet de vie en France ». Elles rappellent que l'intégration est un processus allant dans les deux sens.


Quel monde pour demain ?
C'est tout l'enjeu d'une croissance démographique et économique par l'immigration.
Une solution qu'il faut, bien entendu, associer à d'autres mesures, tout aussi indispensables. La lutte contre le racisme et les discriminations occupe moins le devant
de la scène que les sujets économiques. La défense des droits des femmes, le manque d'infrastructures de garde d'enfants, la pauvreté des personnes âgées
sont tout aussi capitaux.

Pour les analystes, les États devraient également tenir compte de l'anxiété écologique.
Car même « lorsque tout va bien » dans leur vie, les jeunes ne désirent plus ni se marier ni avoir des enfants.
En Finlande, « le pays du bonheur », on ne fait pas plus d'enfants qu'ailleurs. Plus pessimistes que les générations précédentes, ils n'aspirent plus aux mêmes idéaux.
C'est aussi à ce niveau que les gouvernements sont attendus.


source
expat.com

K.HARRIS FAIT SCANDALE EN CITANT L'OBJECTIF DE RÉDUIRE LA POPULATION !

«Si nous investissons dans l'énergie propre,les véhicules électriques et LA RÉDUCTION DE LA POPULATION,un plus grand nombre de nos enfants peuvent respirer
de l'air propre et boire de l'eau propre»

Kamala vient de dire que « réduire la population » est un objectif du mouvement contre le changement climatique
Ils ne le cachent plus
VOUS êtes le carbone qu’ils veulent éliminer
Le vrai mal


source
François Asselineau
@UPR_Asselineau



Bill Gates demande au gouvernement danois de soutenir la vaccination DTC de 161 millions d'enfants africains…
Gates a affirmé qu'il sauvait 30 millions de vies, alors le gouvernement danois a demandé les données, dont Gates n'en avait aucune...
Ils sont donc allés en Afrique et ont examiné 30 ans de données DTP.
Ce qu'ils ont trouvé était "CHOQUANT"...

Les filles injectées avec le vaccin DTC mouraient à 10 fois le taux de celles qui n'étaient pas vaccinées...


source
SILVANO TROTTA OFFICIEL
@silvano_trotta

Magnifique, bel avenir.

Un nouveau constat qui inquiète.
Selon la dernière étude de l'Organisation mondiale de la santé, publiée le 4 avril dernier, une personne sur six dans le monde est infertile.
« La proportion de personnes touchées montre la nécessité d'élargir l'accès aux soins relatifs à la fertilité et de veiller à ce que cette question ne soit plus mise de côté
dans la recherche et les politiques de santé », a déclaré son directeur général, Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Pour l'agence de santé internationale, il s'agit désormais « d'un problème sanitaire majeur dans tous les pays du monde ».

Dans les pays pauvres comme dans les pays riches, dans l'hémisphère nord comme dans le sud, l'infertilité touche environ 17,5 % de la population adulte.
Cette dernière est définie comme l'incapacité d'obtenir une grossesse après au moins douze mois de rapports sexuels complets, réguliers (deux à trois fois par semaine)
et sans contraception.


source
lepoint.fr


Et ca..

https://t.me/boriskarpovblog/15415

Régulation naturelle face à notre propre prolifération ?...

Des injections douteuses, genre anti-covid ?

Depopulation...

Voici le "guide spirituel" de Klaus Schwab, avec l'habillement pouilleux qui va avec, genre film de l'Ancien Testament, Mr Sadhguru qui est souvent invité à Davos
et qui nous explique froidement que nous sommes trop nombreux sur terre et qu'il faut supprimer (en douceur) une partie de la population.





Et les encourager à ne pas avoir d'enfants, et de replacer ce besoin par des chiens !
Ecoutez la video, c'est totalement lunaire ! ou ce passage où il dit: ""J'étais dans une conférence et j'ai dit: "Puis on m'a posé une question brillante:
"Comment réduisez-vous l'empreinte humaine ?". J'ai répondu: 'Il faut réduire le nombre de pieds. C'est la seule manière"".


https://www.youtube.com/watch?v=6RMHJM-Qr5A


"En douceur" cela veut aussi dire par exemple SUPPRIMER la moitié des lits d'hôpitaux en France, défaire le système de soin gratuit des Etats qui en ont un,
ne plus rembourser les médicaments, compliquer l'entrée aux urgences, les empêcher d'utiliser leur voiture, etc.
Il n'a pas abordé la vaccination, mais il ne faut pas trop alarmer les gens.

Vous comprenez maintenant les politiques de destruction mises en place par Sarkozy, Hollande et Macron ?

De son côté le maire Davos de Londes, Sandhi Khan a déclaré voici quelques jours "Pas de viande, pas de produits laitiers et trois tenues par an":
" Un groupe de maires de villes mondiales présidé par Sadiq Khan aurait suggéré d'interdire la viande, les produits laitiers et les voitures particulières,
ainsi que de limiter les vols et les nouveaux vêtements pour atteindre les objectifs Net Zero et réduire les émissions.

Julia Hartley-Brewer de TalkTV est rejointe par le député conservateur Craig Mackinlay pour discuter de Net Zero.
Craig Mackinlay: « C'est un moyen d'essayer de créer une sorte de révolution socialiste. Cela ferait rougir le président Mao.".

Chers lecteurs, maintenant tout le puzzle s'est remis en place et vous avez une vision claire de ce vers quoi les criminels de Davos veulent nous emmener,
une sorte d'extermination dont la suppression des hôpitaux et des urgences n'est que la partie visible de l'iceberg.


Revue de Presse par Pierre Jovanovic www.quotidien.com 2008-2023

Les seuls moyens de limiter notre propre prolifération, c'est un développement économique raisonné et l'éducation...

https://t.me/trottasilvano/30998

Ce langage ne me surprend pas du tout, Par contre B. Gatte sera un jour vieux, Trouduc aussi. Ils y passeront tout pareil ils dérangeront !

Bill Gates et ses acolytes sur le point de reussir leur volonte...la depopulation.

La menace terrifiante de la « sous-population » est mise à nu alors qu’il est révélé que 75 % des pays sont confrontés à des effondrements des naissances d’ici 2050
et que l’Occident restera « dépendant des migrants » – déclenchant un « changement social stupéfiant »
D’ici 2050, 75 % des taux de fécondité mondiaux ne permettront pas de maintenir la taille de la population.

Trois pays sur quatre sont confrontés à la menace d’une « sous-population » d’ici 2050 en raison de la chute des taux de natalité dans le monde,
a averti aujourd’hui une étude choc.
D’ici 2100, ce chiffre pourrait atteindre 97 % de tous les pays, dans ce que les experts ont décrit comme un « changement social stupéfiant ».

Des puissances telles que la Grande-Bretagne et les États-Unis devront devenir dépendantes de l’immigration pour éviter les conséquences « immenses »
que la situation menace, a conclu l’étude publiée dans la revue médicale respectée The Lancet.

Sans reconstitution d’une population vieillissante, les scientifiques affirment que les services publics et la croissance économique sont menacés.
Les taux de natalité en baisse constante exerceront également une pression supplémentaire sur le NHS et les services sociaux.
Les commentateurs ont averti aujourd’hui que les décideurs politiques doivent « prendre conscience du fait que la baisse des taux de fécondité
est l’une des plus grandes menaces » pour l’Occident.


La menace d’une sous-population provoquée par les « baby busts » est un sujet de prédilection d’Elon Musk.
En 2017, l’excentrique milliardaire de Tesla a déclaré que la population de la Terre « s’accélérait vers l’effondrement, mais peu de gens semblaient le remarquer ou s’en soucier ».

Le Dr Natalia Bhattacharjee, de l’école de médecine de l’Université de Washington, a déclaré que les tendances reconfigureront complètement l’économie mondiale
et l’équilibre des pouvoirs internationaux.
Elle a déclaré : « Les implications sont immenses.
« Ces tendances futures des taux de fécondité et des naissances vivantes vont complètement reconfigurer l’économie mondiale
et l’équilibre des forces internationales et nécessiteront une réorganisation des sociétés.
« La reconnaissance mondiale des défis liés à la migration et aux réseaux d’aide mondiaux sera d’autant plus cruciale qu’il y aura une concurrence féroce
pour les migrants afin de soutenir la croissance économique et que le baby-boom de l’Afrique subsaharienne se poursuivra. »

Elle a ajouté : « Il n’y a pas de solution miracle.
« Les politiques sociales visant à améliorer les taux de natalité, telles que l’allongement des congés parentaux, la gratuité des services de garde d’enfants,
les incitations financières et l’augmentation des droits au travail, peuvent donner un petit coup de pouce aux taux de fécondité.
« Mais la plupart des pays resteront en deçà des niveaux de remplacement.

Et une fois que la population de presque tous les pays diminuera, le recours à l’immigration ouverte deviendra nécessaire pour soutenir la croissance économique.
« Les pays d’Afrique subsaharienne disposent d’une ressource vitale que les sociétés vieillissantes sont en train de perdre : une population jeune. »

Pour qu’une population reste de la même taille, les pays doivent atteindre un taux de fécondité de « remplacement » de 2,1.
Au Royaume-Uni, le taux de natalité devrait tomber à 1,3 enfant par femme en âge de procréer d’ici 2100.
Le taux s’établissait autour de 2,2 dans les années 1950, tombant à 1,9 dans les années 1980.
Actuellement, il se situe près de la barre des 1,5.

Les États-Unis connaîtront une trajectoire descendante similaire à celle du Royaume-Uni.
Le remplacement de la fécondité ne tient pas compte de l’impact de la migration, ce qui signifie que les niveaux globaux de population peuvent encore augmenter
dans un pays malgré une baisse des taux de fécondité.
L’étude a également prédit que la moitié de tous les bébés naîtront en Afrique subsaharienne d’ici 2100.

Alors que de nombreux scientifiques ont mis en garde contre la menace de la surpopulation sur l’environnement, la nourriture et l’approvisionnement en logements,
la sous-population est également un défi.
Si rien n’est fait, il peut entraîner une augmentation du vieillissement de la population, avec une proportion importante de personnes ayant besoin de soins et incapables de travailler.

Le professeur Stein Emil Vollset, chercheur associé, a déclaré que les femmes des pays à revenu élevé qui souhaitent avoir des enfants doivent être mieux soutenues
pour maintenir la taille de la population et la croissance économique.
« Nous sommes confrontés à des changements sociaux stupéfiants au cours du 21e siècle », a-t-il déclaré.
« Le monde sera confronté simultanément à un baby-boom dans certains pays et à un baby-bust dans d’autres. »

Il a également averti que certains des pays les plus pauvres et les plus instables politiquement d’Afrique seront aux prises avec la manière de soutenir la population la plus jeune
et à la croissance la plus rapide de la planète.
Les chiffres prévoient que d’ici 2050, sept des 10 pays ayant les taux de natalité les plus élevés se trouveront en Afrique subsaharienne.
Le Niger devrait être en tête de liste avec un taux de 5,15.

Le taux de fécondité de la Grande-Bretagne est en chute libre depuis une décennie, à l’exception d’un sursaut en 2021 attribué à un mini-rebond de bébé
par des couples qui ont mis leurs projets familiaux en suspens au début de la pandémie de Covid.
Les experts pensent que cette tendance est en partie due au fait que les femmes se concentrent sur leurs études et leur carrière et que les couples attendent
d’avoir des enfants jusqu’à un âge avancé.
Comme la fertilité est liée à l’âge, cela peut conduire certaines femmes à ne jamais avoir d’enfants ou moins qu’elles ne l’avaient prévu à l’origine.

La fragilité de l’économie du Royaume-Uni et la crise du coût de la vie dissuadent également les gens d’avoir des enfants, selon certains,
comme en témoigne la montée en flèche simultanée des taux d’avortement.
D’autres citent l’environnement, les gens craignant d’aggraver leur empreinte carbone en ayant un enfant ou que leur enfant ait un avenir sombre
en raison du changement climatique.

Pour les hommes, on pense également que les facteurs liés au mode de vie, tels que la prévalence croissante de l’obésité dans de nombreux pays,
ont un impact à la baisse sur la fertilité.

La menace de la sous-population est un sujet de prédilection d’Elon Musk, qui prêche à ce sujet depuis des années.
En 2017, il a déclaré que le nombre de personnes sur Terre « s’accélère vers l’effondrement, mais peu semblent le remarquer ou s’en soucier ».
Puis, en 2021, Musk, qui a 11 enfants connus, a averti que la civilisation « va s’effondrer » si les gens n’ont pas plus d’enfants.

Lors du festival politique « Atreju » de la Première ministre italienne Giorgia Meloni à Rome en décembre, Musk a également exhorté les Italiens à avoir plus d’enfants
pour « sauver la culture italienne ».
Plus tard, il a ajouté : « Mon conseil à tous les chefs de gouvernement et à tous les gens est de s’assurer que vous avez des enfants pour créer une nouvelle génération,
sinon la culture de l’Italie, du Japon et de la France disparaîtra. »
Il a dit : « Nous risquons de ne plus avoir ces pays. »

Le projet de recherche international, publié dans The Lancet, s’est penché sur les tendances passées, actuelles et futures en matière de fertilité et de naissances vivantes.
Les auteurs ont averti que les gouvernements doivent commencer à se préparer aux menaces qui pèsent sur les économies, la sécurité alimentaire,
la santé, l’environnement et la sécurité géopolitique provoquées par les changements démographiques.



Alors, qu’est-ce qui se cache derrière l’effondrement des bébés en Occident ?

Les femmes du monde entier, en moyenne, ont moins d’enfants aujourd’hui que les générations précédentes.
Cette tendance, qui se traduit par un meilleur accès à l’éducation et à la contraception, par l’augmentation du nombre de femmes qui occupent un emploi
et par un changement d’attitude à l’égard du fait d’avoir des enfants, devrait entraîner une diminution de la population de dizaines de pays d’ici 2100.

Le Dr Jennifer Sciubba, auteur de 8 milliards et ce n’est pas fini : comment le sexe, la mort et la migration façonnent notre monde, a déclaré à MailOnline
que les gens choisissent d’avoir des familles plus petites et que le changement « est permanent ».
« Il est donc sage de se concentrer sur le travail dans cette nouvelle réalité plutôt que d’essayer de la changer », a-t-elle déclaré.

Éducation sexuelle et contraception

L’augmentation de l’éducation et de l’accès à la contraception est l’une des raisons de la baisse du taux de fécondité mondial.
L’éducation autour de la grossesse et de la contraception a augmenté, les cours d’éducation sexuelle ayant commencé aux États-Unis dans les années 1970
et devenant obligatoires au Royaume-Uni dans les années 1990.
« Il y a un vieil adage qui dit que 'l’éducation est la meilleure contraception' et je pense que c’est pertinent » pour expliquer la baisse des taux de natalité,
a déclaré le professeur Allan Pacey, andrologue à l’Université de Sheffield et ancien président de la British Fertility Society.

Elina Pradhan, spécialiste principale de la santé à la Banque mondiale, suggère que les femmes plus instruites choisissent d’avoir moins d’enfants
parce qu’elles craignent de gagner moins lorsqu’elles prennent des congés avant et après l’accouchement.
Au Royaume-Uni, trois mères sur 10 et un père sur 20 déclarent avoir dû réduire leur temps de travail en raison de la garde des enfants, selon les données de l’ONS.

Ils peuvent également être plus exposés à différentes idées sur la taille des familles grâce à l’école et aux liens qu’ils établissent au cours de leur éducation,
ce qui les encourage à réfléchir de manière plus critique au nombre d’enfants qu’ils veulent, a-t-elle déclaré.

Et les femmes plus instruites peuvent en savoir plus sur les soins prénatals et la santé des enfants et avoir un meilleur accès aux soins de santé, a ajouté Mme Pradhan.

Le professeur Jonathan Portes, économiste au King’s College de Londres, a déclaré que le plus grand contrôle des femmes sur leur propre fécondité signifie que « les ménages,
et les femmes en particulier, veulent moins d’enfants et sont capables de le faire ».

De plus en plus de femmes entrent sur le marché du travail

Les femmes sont plus nombreuses sur le marché du travail aujourd’hui qu’il y a 50 ans – 72 % contre 52 % – ce qui a contribué à la réduction
de moitié du taux de fécondité mondial au cours de la même période.
Le professeur Portes a également noté que la baisse du taux de natalité peut également être due à la structure des marchés du travail et du logement,
aux services de garde d’enfants coûteux et aux rôles de genre qui font qu’il est difficile pour de nombreuses femmes de concilier leurs aspirations professionnelles
et le fait d’avoir une famille.

Le gouvernement britannique a « mis en œuvre les politiques les plus anti-famille de tous les gouvernements de mémoire d’homme » en réduisant les services
qui soutiennent les familles, ainsi que les réductions d’allocations qui « punissent délibérément les familles à faible revenu avec enfants », a-t-il ajouté.

À mesure que de plus en plus de femmes entrent sur le marché du travail, l’âge auquel elles fondent une famille a été repoussé.
Les données de l’ONS montrent que l’âge le plus courant pour une femme née en 1949 pour accoucher était de 22 ans.
Mais les femmes nées en 1975 étaient plus susceptibles d’avoir des enfants à l’âge de 31 ans.

Autre signe de l’augmentation de la maternité tardive, la moitié des femmes nées en 1990, la cohorte la plus récente à atteindre l’âge de 30 ans,
sont restées sans enfant à 30 ans, soit le taux le plus élevé jamais enregistré.

Les femmes invoquent à plusieurs reprises des raisons liées au travail pour retarder le fait d’avoir des enfants, les enquêtes révélant que la plupart des femmes veulent gravir
les échelons de leur carrière avant de concevoir.

Cependant, cette décision pourrait conduire les femmes à avoir moins d’enfants qu’elles ne l’avaient prévu.
Dans les années 1990, seulement 6 700 cycles de FIV – une technique pour aider les personnes ayant des problèmes de fertilité à avoir un bébé – ont eu lieu
au Royaume-Uni chaque année. Mais ce chiffre est monté en flèche pour atteindre plus de 69 000 en 2019, ce qui suggère que de plus en plus de femmes
ont du mal à concevoir naturellement.


Diminution du nombre de spermatozoïdes

Les experts de la reproduction ont également tiré la sonnette d’alarme sur le fait que des facteurs biologiques, tels que la baisse du nombre de spermatozoïdes
et les changements dans le développement sexuel, pourraient « menacer la survie humaine ».

Le Dr Shanna Swan, épidémiologiste à l’Icahn School of Medicine du Mount Sinai à New York, est l’auteur d’une étude révolutionnaire de 2017
qui a révélé que le nombre de spermatozoïdes dans le monde a chuté de plus de la moitié au cours des quatre dernières décennies.
Elle a averti que « partout les produits chimiques », tels que les phtalates présents dans les articles de toilette, les emballages alimentaires et les jouets pour enfants,
sont à blâmer. Les produits chimiques provoquent un déséquilibre hormonal qui peut déclencher des « ravages reproductifs », a-t-elle déclaré.
Des facteurs tels que le tabagisme et la marijuana et l’augmentation des taux d’obésité peuvent également jouer un rôle, a déclaré le Dr Swan.

Des études ont également pointé du doigt la pollution de l’air pour faire baisser les taux de fertilité, suggérant qu’elle déclenche une inflammation
qui peut endommager la production d’ovules et de spermatozoïdes.

Cependant, le professeur Pacey, expert en qualité du sperme et en fertilité, a déclaré :
« Je ne pense vraiment pas que des changements dans la qualité du sperme soient responsables de la baisse des taux de natalité.
« En fait, je ne crois pas aux preuves actuelles que la qualité du sperme a diminué. »

Il a déclaré : « Je pense qu’un problème beaucoup plus important pour la baisse des taux de natalité est le fait que :
(a) les gens choisissent d’avoir moins d’enfants ; et
(b) ils attendent d’être plus âgés pour les avoir.

Craintes à l’idée de mettre des enfants au monde

Choisir de ne pas avoir d’enfants est cité par certains scientifiques comme la meilleure chose qu’une personne puisse faire pour la planète,
par rapport à la réduction de la consommation d’énergie, des déplacements et des choix alimentaires en fonction de son empreinte carbone.

Des scientifiques de l’Université d’État de l’Oregon ont calculé que chaque enfant ajoute environ 9 441 tonnes métriques de dioxyde de carbone à l’héritage carbone
d’une femme. Chaque tonne métrique équivaut à faire le tour de la circonférence du monde.
Les experts disent que les données découragent les personnes soucieuses du climat d’avoir des bébés, tandis que d’autres choisissent de ne pas avoir d’enfants
en raison de craintes dans le monde entier dans lequel ils grandiront.

Le Dr Britt Wray, chercheur en santé humaine et planétaire à l’Université de Stanford, a déclaré que la baisse des taux de fécondité était due à une « peur d’un avenir dégradé
en raison du changement climatique ».

Elle est l’une des auteures d’une étude menée par le Lancet auprès de 10 000 volontaires, qui a révélé que quatre jeunes sur dix craignent de mettre des enfants au monde
en raison des préoccupations climatiques.

Le professeur David Coleman, professeur émérite de démographie à l’Université d’Oxford, a déclaré à MailOnline que la décision des gens de ne pas avoir d’enfants
est « compréhensible » en raison des mauvaises conditions, telles que le changement climatique.


source
dailymail.co.uk

Et après ça, on met en garde les pays dont la natalité est en baisse, occidentaux en général, car le niveau économique risque d'en pâtir, tandis que les populations des pays pauvres continuent d'augmenter dans des proportions inquiétantes...

Bill Gates déclare aux dirigeants du G20 que des "commissions de la mort" seront bientôt nécessaires.

Dans un avenir proche, de tels comités seront nécessaires en raison des "coûts médicaux très, très élevés" pour mettre fin à la vie des personnes malades, a déclaré Gates.

Gates a expliqué que "l'argent utilisé pour maintenir en vie des personnes pauvres et malades pendant quelques mois supplémentaires
pourrait être mieux dépensé pour les enseignants".

Les projets de Bill Gates pour une telle commission reflètent le langage utilisé par le Forum économique mondial en ce qui concerne l'euthanasie
et la nouvelle solution satanique du gouvernement canadien pour faire face à l'inflation, aux sans-abri, à l'explosion de la criminalité et à la pénurie alimentaire :
l'euthanasie pour les pauvres.

source
t.me/trottasilvano
/33998

Admettons, mais il n'est plus jeune et son tour viendra, qu'il paye ou pas une sécurité sociale. S'il doit se soigner en payant le prix fort ces gens là détestent dépenser. 
Fatalement tous y passeront. Mais je suis obligé de dire admettons que cette théorie soit vraie.
Par contre ceux qui sont pas top malades vivront, ceux qui sont fortement atteints, cancers ou similaires disparaitront vite. On sait pas ce que peut être l'avenir de B. Gatte. Lui non plus. 
De notre coté verrons nous ça je ne sais pas, trop vieux ou alors ça arrivera très vite. 
Ca mis à part t'as fait la 100.000 réponse.