Fake ukraine

Twitter bloque les réclamations russes sur l’attaque d’un hôpital a Mariupol

Twitter a supprimé deux messages de l’ambassade de Russie à Londres qui affirmaient que le bombardement d’un hôpital ukrainien par les forces russes avait été truqué.
L’hôpital de Marioupol a été attaqué mercredi, faisant trois morts.
Mais les tweets de l’ambassade ont fait des affirmations infondées que l’hôpital n’était pas opérationnel à l’époque, et que les femmes blessées photographiées
sur les lieux étaient des acteurs.
Twitter a déclaré à la BBC que les tweets violaient les règles « liées au déni d’événements violents ».
Les responsables de l’ambassade n’ont fourni aucune preuve à l’appui de leurs affirmations, et l’équipe de désinformation de la BBC a trouvé des preuves qui contredisent les allégations.
L’ambassade a affirmé que l’hôpital avait été « longtemps non opérationnel ». Cependant, un message publié il y a une semaine sur la page Facebook
de l’hôpital demandait du carburant pour que les opérations continuent.
Des rapports de Marioupol la semaine dernière - de l’agence de presse Associated Press et de Sky News - ont également déclaré qu’elle traitait les victimes de l’attentat
à la bombe et que la maternité avait été déplacée au sous-sol.

L’allégation selon laquelle une blogueuse beauté a été utilisée pour falsifier des photos d’une femme enceinte sur les lieux a également été remise en question,
car la femme en question, qui vit dans la ville, est vue lourdement enceinte dans des publications Instagram datant du mois dernier.







Les affirmations initiales selon lesquelles l’attentat a été truqué par l’Ukraine ne provenaient pas de l’ambassade.
Ils ont d’abord commencé à être à la mode parmi les utilisateurs russes de l’application de messagerie Telegram plus tôt dans la journée, puis ont été mentionnés
dans les bulletins d’information de la télévision d’État et les émissions de chat.

Une autre affirmation selon laquelle la blogueuse beauté a également prétendu être une autre femme prise dans l’attentat et photographiée sur les lieux est également fausse.
Un coup d’œil aux images haute résolution de l’autre femme présentée dans les revendications montre qu’elle ne ressemble en rien à la blogueuse beauté.
Ce sont deux femmes différentes.
Enfin, il y a eu des accusations selon lesquelles l’hôpital avait été repris par un bataillon d’extrême droite de l’armée ukrainienne.
Jusqu’à présent, rien n’indique que ce soit le cas.
Ces affirmations continuent toutes de circuler en ligne, malgré la suppression des tweets.
Le compte Instagram de la blogueuse beauté enceinte est également devenu une cible pour les trolls en ligne et les théoriciens du complot.

Les entreprises de médias sociaux ont essayé de lutter contre la désinformation sur leurs plateformes, de nombreuses grandes entreprises technologiques
bloquant les radiodiffuseurs russes RT et Sputnik.

Mais Twitter n’a pas interdit plusieurs comptes liés à des organisations gouvernementales russes - y compris le compte Twitter officiel de Vladimir Poutine.

Le compte de l’ambassade de Russie reste également actif.


source BBC

Etonnement,BBC ne parle pas du Bataillon Asov qui sejournait dans la ville.On parle de 800 a 1000 hommes au 24 fevrier 2022.
L hopital avait ete evacue et servait de casernement pour les hommes d ou le bombardement des russes.

Jamais le terme "guerre de l'info'" n'a été aussi vrai qu'en ce moment.

On prend une photo triste et on ecrit une legende bidon...





Une vidéo, qui a été publiée sur Facebook et Twitter à partir d’un compte non officiel soutenant les forces armées ukrainiennes, prétend montrer la destruction de personnel
et de l’équipement russes en Ukraine, vue à travers le viseur d’un drone.
Cependant, ce sont des images de Syrie tournées en 2020.
La nouvelle version voit l’image inversée, peut-être dans le but d’empêcher la vérification via des outils de recherche d’image inversée. Le message Twitter a ensuite été supprimé.

Ceux qui montent ces images se tirent une balle dans le pied, niveau crédibilité...

Toute situation de guerre conduit à la circulation d’informations fausses ou trompeuses, en particulier sur les médias sociaux.
La même chose se produit en Ukraine, où les forces russes ont lancé une invasion il y a près de deux semaines.
Certaines de ces théories « bizarres » prétendent que la guerre en Ukraine est un canular, et exagérée par l’Occident.

Malgré les images montrant des milliers de personnes quittant l’Ukraine, certains internautes ont refusé de croire que la crise était réelle.

Ils présentent des affirmations farfelues selon lesquelles des acteurs sont utilisés pour jouer des scènes d’une attaque afin de prouver que la guerre est un canular.
L’une de ces affirmations se présente sous la forme d’une vidéo circulant sur Facebook et d’autres plateformes, qui montre un jeune homme et une jeune femme
ayant du faux sang appliqué sur son visage.
Beaucoup de gens les appellent des « acteurs de crise ».
La vidéo, cependant, n’est pas liée à la guerre. Il montre la préparation d’une scène pour la série télévisée ukrainienne Contamin en 2020.

Ensuite, il y a une autre vidéo qui montre un journaliste devant plusieurs sacs mortuaires.
Après quelques secondes, l’un des sacs mortuaires commence à bouger et un homme enlève la couverture.
Largement partagé sur les plateformes de médias sociaux, le texte accompagnant la vidéo dit:
« Plus de propagande de la part de l’Occident: un cadavre est revenu à la vie lors d’un reportage en direct sur la catastrophe humaine par une chaîne polonaise ».





Mais l’affirmation est fausse.
La vidéo provient en fait d’une manifestation contre le changement climatique organisée par « Friday For Future » à Vienne en Autriche en février,
selon ce reportage. Les sacs mortuaires, qui font partie de la manifestation, visaient à montrer les dangers des émissions de carbone pour la vie sur Terre.





source
ndtv.com

Du coup, on va plus rien croire, et tant mieux tant on est dans une guerre... de l'info.

naga a écrit:

Twitter bloque les réclamations russes sur l’attaque d’un hôpital a Mariupol

Twitter a supprimé deux messages de l’ambassade de Russie à Londres qui affirmaient que le bombardement d’un hôpital ukrainien par les forces russes avait été truqué.
L’hôpital de Marioupol a été attaqué mercredi, faisant trois morts.
Mais les tweets de l’ambassade ont fait des affirmations infondées que l’hôpital n’était pas opérationnel à l’époque, et que les femmes blessées photographiées
sur les lieux étaient des acteurs.
Twitter a déclaré à la BBC que les tweets violaient les règles « liées au déni d’événements violents ».
Les responsables de l’ambassade n’ont fourni aucune preuve à l’appui de leurs affirmations, et l’équipe de désinformation de la BBC a trouvé des preuves qui contredisent les allégations.
L’ambassade a affirmé que l’hôpital avait été « longtemps non opérationnel ». Cependant, un message publié il y a une semaine sur la page Facebook
de l’hôpital demandait du carburant pour que les opérations continuent.
Des rapports de Marioupol la semaine dernière - de l’agence de presse Associated Press et de Sky News - ont également déclaré qu’elle traitait les victimes de l’attentat
à la bombe et que la maternité avait été déplacée au sous-sol.

L’allégation selon laquelle une blogueuse beauté a été utilisée pour falsifier des photos d’une femme enceinte sur les lieux a également été remise en question,
car la femme en question, qui vit dans la ville, est vue lourdement enceinte dans des publications Instagram datant du mois dernier.







Les affirmations initiales selon lesquelles l’attentat a été truqué par l’Ukraine ne provenaient pas de l’ambassade.
Ils ont d’abord commencé à être à la mode parmi les utilisateurs russes de l’application de messagerie Telegram plus tôt dans la journée, puis ont été mentionnés
dans les bulletins d’information de la télévision d’État et les émissions de chat.

Une autre affirmation selon laquelle la blogueuse beauté a également prétendu être une autre femme prise dans l’attentat et photographiée sur les lieux est également fausse.
Un coup d’œil aux images haute résolution de l’autre femme présentée dans les revendications montre qu’elle ne ressemble en rien à la blogueuse beauté.
Ce sont deux femmes différentes.
Enfin, il y a eu des accusations selon lesquelles l’hôpital avait été repris par un bataillon d’extrême droite de l’armée ukrainienne.
Jusqu’à présent, rien n’indique que ce soit le cas.
Ces affirmations continuent toutes de circuler en ligne, malgré la suppression des tweets.
Le compte Instagram de la blogueuse beauté enceinte est également devenu une cible pour les trolls en ligne et les théoriciens du complot.

Les entreprises de médias sociaux ont essayé de lutter contre la désinformation sur leurs plateformes, de nombreuses grandes entreprises technologiques
bloquant les radiodiffuseurs russes RT et Sputnik.

Mais Twitter n’a pas interdit plusieurs comptes liés à des organisations gouvernementales russes - y compris le compte Twitter officiel de Vladimir Poutine.

Le compte de l’ambassade de Russie reste également actif.


source BBC

Comme quoi la verite finie toujours par triompher!
Cette femme etait effictivement enceinte et ce qui etait dit au dessus etait en partie faux mais:

La "victime des bombardements russes" sur une maternité de la ville de Marioupol, vous vous souvenez ?
Voici son témoignage ! Une vérité que les media occidentaux ne rectifieront pas.

Les militaires ukrainiens ont bien occupé la maternité de Marioupol (boucliers humains).
Ils n'ont fourni aucune aide, et ont même pris leur nourriture.
Il n'y a pas eu de frappes aériennes
Un caméraman était sur place le 9 mars, au moment des deux explosions. Un troubant hasard.


Video de son temoignage,helas sur youtube donc vouee a disparaitre tres prochainement...

https://www.youtube.com/watch?v=KiDvETrQgMQ

Une video qui a ete faite par la chaine RT donc,elle est discalifie d office pour les pro-ukrainiens...

Beaucoup de mensonges restent certainement à être mis à jour...

Etonnement,les verites apparaissent vite dans ce conflit.
Surement a cause des nombreuses fakes plus odieuses les unes des autres ,ce qui motivent les floues a creuser,chercher,trouver des temoins le plus
rapidement possible en ayant des sources sures.

Alain Foka
Un vrai journaliste

La Chronique : Ukraine, qui devons nous croire dans cette guerre de propagande ?

https://www.youtube.com/watch?v=mzljWGEJQWk&t=271s

Fake news
Techniquement impossible (distance entre les 2 fronts 2500km en passant par la russie) et absurde mais ca fait reparler de Bucha...

Les défenseurs de Marioupol ont repéré des chars ennemis marqués V dans la ville, qui sont connus pour avoir été utilisés par l’armée russe qui a commis des atrocités à Bucha,
dans la région de Kiev.
La déclaration pertinente a été faite par le régiment Azov sur Twitter, rapporte un correspondant d’Ukrinform.

Le régiment Azov a posté une vidéo montrant l’un de ces chars en feu.
« Les défenseurs de Marioupol ont repéré des véhicules militaires ennemis dans la ville, à savoir les chars russes marqués d’un « V ».
Par conséquent, les unités des occupants qui ont commis des atrocités à Bucha – assassinés, violés et torturés à mort des civils – ont été déployées à Marioupol.
À l’heure actuelle, la horde de Poutine continue de commettre des crimes dévastateurs et incontrôlés dans la ville en ruine avec environ 100 000 civils qui restent ici »,
indique le rapport.
Un rappel que l’agression armée russe a provoqué l’une des pires catastrophes humanitaires dans la ville de Marioupol.
Les envahisseurs russes bombardent des civils non armés et bloquent l’acheminement de l’aide humanitaire.
Environ 120 000 civils restent piégés à Marioupol. La partie ukrainienne met tout en œuvre pour évacuer les gens.

Un Fake pro-russe .
La lettre de Poutine traduite en francais..

Guerre de l'info jusqu'à l'absurde !...
Mais parfois, plus c'est gros plus ça passe.

Encore vivant cet "obersturmbahnfuhrer" ?!...

Eva Bartlett est une journaliste indépendante canadienne.
Elle a passé des années sur le terrain à couvrir des zones de conflit au Moyen-Orient, en particulier en Syrie et en Palestine (où elle a vécu pendant près de quatre ans).

Voici ce que j’ai trouvé à la « fosse commune » signalée près de Marioupol
 Eva Bartlett


Selon les récents médias occidentaux, les forces russes ont enterré jusqu’à 9 000 civils de Marioupol dans des « fosses communes » dans une ville juste à l’ouest
de la ville ukrainienne. Ces rapports utilisent l’imagerie satellite comme preuve supposée et répètent les affirmations des responsables fidèles à Kiev selon lesquelles
« les corps ont peut-être été enterrés en couches » et « les Russes ont creusé des tranchées et les ont remplies de cadavres tous les jours tout au long du mois d’avril ».






Je suis allé sur le site en question et je n’ai trouvé aucune fosse commune.

Le 23 avril, j’ai rejoint le journaliste de RT Roman Kosarev pour une visite sur place, dans la ville de Mangush.
Ce que j’ai vu, ce sont de nouvelles parcelles funéraires ordonnées, y compris certaines encore vides – une extension d’un cimetière qui existe déjà sur place.
Pas de fosse de masse. Beaucoup de tombes ont des pancartes avec les noms et les dates de naissance du défunt lorsqu’elles sont disponibles, et les parcelles restantes
ont été numérotées en fonction de l’enterrement.





Puisque les médias sont essentiellement des copier-coller de la même source – l’ancien maire de Marioupol, Vadym Boichenko (qui semble être loin de la ville maintenant)
– je vais citer l’article du Washington Post.
Boichenko, note l’article, « a appelé le site le 'nouveau Babyn Yar', en référence à l’une des plus grandes fosses communes d’Europe située dans la banlieue de Kiev,
où 33 000 Juifs ont été tués par les nazis en 1941 pendant la Seconde Guerre mondiale ».

C’est ironique à plusieurs niveaux.
Un maire qui blanchit les néo-nazis qui se sont déchaînés dans la ville de HSO – notamment ceux du bataillon Azov, qui ont utilisé des civils comme boucliers humains,
des infrastructures civiles occupées et militarisées, des civils exécutés à bout portant – compare une fosse commune présumée (inexistante)
à un massacre nazi de la 2e guerre mondiale.
Pendant ce temps, le régime de Kiev a réécrit l’histoire, faisant des nazis de la 2e guerre mondiale et de leurs collaborateurs des héros de la nation.
L’exemple le plus notoire étant la figure de la Seconde Guerre mondiale Stepan Bandera.

L’autre affirmation alarmante de Boichenko était que la prétendue « fosse commune » était « le plus grand crime de guerre du 21ème siècle ».
Nous n’en sommes qu’à 22 ans, mais nous avons déjà vu l’invasion et la destruction de l’Irak par les États-Unis, le nivellement de Raqqa en Syrie, la guerre en cours
de l’Arabie saoudite au Yémen – qui sont tous des prétendants beaucoup plus forts que les « fosses communes » de Mangush.

En réalité, le site compte environ 400 parcelles individuelles, dont près de 100 vides.
Les 9 000 corps et le « plus grand crime de guerre du 21e siècle » étaient des affirmations non vérifiées faites par un maire qui a fui sa ville, promues par les médias qui,
en bas de la page, ont admis qu’ils ne pouvaient pas vérifier de manière indépendante les affirmations – mais à ce moment-là, le mal était fait.


Les fossoyeurs réfutent les affirmations des fosses communes
En se promenant sur le site, deux hommes responsables des enterrements sont arrivés et, lorsqu’on leur a présenté les accusations de fosses communes de l’ancien maire,
ils ont rejeté avec véhémence les allégations.
« Ce n’est pas une fosse commune et personne ne jette des corps dans une fosse », m’a dit l’un d’eux.

Selon eux, ils enterrent chaque personne dans un cercueil et une tombe séparée, les détails sont enregistrés à la morgue, et lorsque des documents concernant le nom et l’âge
sont donnés, la parcelle est marquée d’une pancarte contenant ces détails. Sinon, un nombre est utilisé.





Fait intéressant, ils ont également noté qu’une partie des nouvelles tombes comprenait des soldats ukrainiens enterrés. « Ils sont humains aussi », a déclaré l’un des hommes.

Pour ceux qui doutent de l’emplacement, voir le rapport de Roman: ses images de drones montrent que c’est exactement le même endroit que celui montré
dans les images satellites utilisées par les médias occidentaux.

https://www.youtube.com/watch?v=CeEnCcn1S3I


Pendant ce temps, comme Roman l’a noté en marchant, les fosses communes sont quelque chose dont l’Ukraine a déjà été accusée.
Il a cité le chef de la RPD, Denis Pouchiline, qui a déclaré qu’au moins 300 sites de ce type avaient été découverts depuis 2014.
Il a également parlé de ce dont il a été témoin. « En 2014 ou 2015, des fosses communes ont été découvertes alors que les combattants d’Azov ou d’Aidar se retiraient
de la région de Donetsk. J’ai même vu une femme, elle a été déterrée, elle avait les bras attachés derrière le dos, elle était en fin de grossesse
et elle avait un trou dans la tête, ce qui signifie qu’elle a été exécutée.


Pendant ce temps, quand j’étais à Marioupol les 21 et 22 avril, oui, il y a eu des destructions – grâce à ces forces néo-nazies et ukrainiennes régulières occupant
les étages supérieurs des bâtiments résidentiels et les utilisant comme positions militaires, attirant ainsi des tirs de retour sur les bâtiments – mais j’ai aussi vu des gens
dans les rues, et le début du processus de nettoyage avant que la reconstruction puisse avoir lieu.

Je vais répéter ce que j’ai dit sur les reportages des médias occidentaux sur la Syrie (ce qui, d’après mon expérience, sur le terrain dans ce pays,
est en grande partie malhonnête) : ceux qui font la promotion de ces canulars et de la propagande de guerre ont du sang sur les mains.

Après les innombrables mensonges émanant des grands médias occidentaux, j’espère que les gens feront preuve de pensée critique chaque fois qu’une nouvelle affirmation
est poussée, en particulier lorsqu’elle est répétée en chœur par les suspects habituels.


source
rt.com

La Première Dame d’Ukraine a-t-elle pris les armes contre l’armée russe ?
Sur TikTok, une vidéo censée montrer la Première dame ukrainienne Olena Zelenska en tenue militaire a recueilli plus de quatre millions de vues.
La vidéo mélange des plans authentiques de l’épouse du président Volodymyr Zelensky avec une photo d’une femme vêtue d’un uniforme de l’armée ukrainienne
tenant une arme à feu. Selon certains des comptes partageant la vidéo, la photo montre que la Première Dame d’Ukraine a rejoint l’armée pour défendre son pays.






Pour savoir d’où vient vraiment cette photo, nous avons effectué une recherche d’image inversée .
Nous avons trouvé ce portrait dans plusieurs banques d’images en ligne, par exemple sur le site istock.
La légende de la photo indique qu’elle a été prise le 22 août 2021 par le photographe Volodymyr Zakharov, et qu’il s’agit d’une photographie d’une « militaire ukrainienne
lors de l’entraînement pour le défilé célébrant le 30e anniversaire de l’indépendance de l’Ukraine ».
Ce n’est pas la Première Dame d’Ukraine.

Une fille ukrainienne combattant un soldat russe ?
Depuis le 27 février, plusieurs images de la même jeune fille combattant un homme en uniforme militaire ont été partagées sur les réseaux sociaux.
Certains comptes Twitter affirment que ces images montrent une « fillette ukrainienne de huit ans disant à un soldat russe de retourner dans son pays ».





Grâce à une recherche d’image inversée, nous avons trouvé plusieurs articles dans les médias israéliens présentant ces mêmes photos.
Mais ces articles rapportent des événements qui se sont déroulés en Cisjordanie, pas en Ukraine.
Le Times of Israel explique que ces images proviennent d’une vidéo de 2012 dans laquelle une fillette palestinienne de 11 ans défie un soldat israélien.
Cette jeune fille est en fait Ahed Tamimi, une militante palestinienne. Les photos n’ont donc rien à voir avec la guerre en Ukraine.


source
observers.france24.com

Et on prend tout ça pour argent comptant, sans vérifier.

vania a écrit:

Et on prend tout ça pour argent comptant, sans vérifier.

Tu éclabousses la figure de abrutis avec des histoires comme ça, ils en raffolent. Les bruits courent après, sont déformés et amplifiés etc... Si tu exploites bien la connerie des gens tu vois à quel point ça peut être utile, en politique surtout.

Medias occidentaux
Mensonge par omission ou censure ...

Le Spiegel avait publié la vidéo où Natalia Ousmanova raconte son expérience dans les sous-sols d’Azovstal. Puis le Spiegel l’a retirée, parce que Natalia ne dit pas ce qu’il faut dire.
On remarquera que le Spiegel avait été d’abord plus honnête que le Guardian et divers autres journaux et chaînes américaines qui avaient fait leur une sur Natalia
mais avaient soigneusement censuré ses propos.
Il semble en fait que ces médias aient simplement repris les informations de Reuters, comme les journaux font chez nous avec l’AFP.

Dmitry Polyanskiy, vice-représentant permanent de la Russie à l’Onu, a ouvertement accusé Reuters, hier, lors d’une réunion informelle du conseil de sécurité,
d’avoir censuré les propos de Natalia Ousmanova parce qu’elle critiquait les forces ukrainiennes.
Et il a posé des questions écrites à ce sujet au ministère ukrainien de la Défense et à l’état-major ukrainien. Et il a dit :
« Reuters, en fait, a lourdement censuré ce qu'elle a dit en réalité. Comment les téléspectateurs occidentaux apprendront-ils la vérité, en particulier
lorsque les chaînes de télévision russes, comme nous le savons tous, sont bannies des pays occidentaux ? Qui diffuse de la propagande ici ? Jugez vous-même ! »

(Natalia Ousmanova ne dit pas autre chose que ce que disent nombre d'autres rescapées d'Azovstal. Mais comme ces témoignages-là sont recueillis par des médias russes
ou pro-russes ils sont irrecevables pour tous ceux qui croient au récit officiel ukrainien, qui est la vérité médiatique imposée en occident.)


Voyons ce qui a ete rapporte,quand meme,par certains medias occidentaux:

Radio Canada
Marioupol : une rescapée d’Azovstal raconte l’effroi

Natalia a gauche



Elle a cru que son cœur allait s'arrêter d'effroi. Terrée dans le labyrinthe souterrain du site sidérurgique Azovstal, à Marioupol, Natalia Ousmanova, une Ukrainienne de 37 ans,
est parvenue dimanche à fuir les bombardements russes.
Elle fait partie de la centaine de civils évacués du monstre de béton et de décombres qu'est devenue Azovstal.
Des centaines de civils ukrainiens ont trouvé refuge dans les galeries souterraines et bunkers de ce vaste complexe sidérurgique construit sous l'ère stalinienne
de cette ville portuaire du sud-est de l'Ukraine, sur la mer d'Azov.

J'ai eu peur que le bunker ne tienne pas, témoigne Natalia Ousmanova auprès de Reuters.
C'était effroyable, souligne-t-elle, décrivant la poussière de béton qui tombait sur ses vêtements sous l'impact des bombes.
Quand le bunker s'est mis à trembler, j'étais hystérique, mon mari peut en témoigner. J'avais terriblement peur que le bunker s'effondre, dit-elle en se tournant vers son époux.
Cela fait si longtemps que nous n'avons pas vu le soleil, ajoute-t-elle à Bezimenne, un village sous contrôle russe à une trentaine de kilomètres à l'est de Marioupol,
où les évacués ont été conduits en vertu d'un accord entre Kiev, Moscou, l'ONU et le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).

Elle raconte le manque d'oxygène, la lampe torche pour se guider, les gens blottis dans ces abris de fortune, le bruit des bombes.
Vous n'imaginez pas ce que nous avons traversé : la terreur. J'ai vécu et travaillé toute ma vie là-bas. Ce que nous avons vu est juste terrible.

...et c est tout.
L interview a ete tronquee,il manque la partie ou elle critique le bataillon Azov.


Le reste de l interview:

"Il y avait de l’intimidation. Ils nous disaient : n’allez pas là, la ville est entièrement brûlée, il n’y a nulle part où aller. Ils ne voulaient pas que les gens aillent dans la ville.
Ils disaient toujours la même chose ; Il n’y a plus de maisons, tout est brûlé, tout est détruit, c’est ainsi, il n’y a nulle part où aller. N’allez pas là-bas, des méchants sont là
qui vont vous blesser.

Nous étions au courant pour les couloirs humanitaires grâce à la radio. Nous savions qu’il y avait des couloirs mais nous ne pouvions pas les prendre.
Ils ne nous laissaient pas sortir. Nous étions retenus dans le bunker et simplement nous ne pouvions pas sortir ; Nous entendions à la radio « couloir humanitaire,
couloir humanitaire », mais les militants (Azov) ne nous laissaient pas aller.
Ils disaient : Nous ne vous laisserons pas sortir. Il y a des méchants dehors et ils vous tueront. Et bien sûr ils disaient que c’était pour notre sécurité.

Nous étions allés au bunker de nous-mêmes. Mon mari et moi travaillons à l’aciérie. Nous sommes allés le 26 février en pensant que c’était un lieu sûr.
Evidemment nous n’imaginions pas ceci. C’est un endroit civil, c’est notre lieu de travail. Croyez-moi, si j’avais compris que cela allait arriver là, je n’y serais pas allé,
naturellement. Nous y sommes allés pour sauver nos vies, la vie de nos enfants, sachant que c’était un abri fiable, solide.

Ils ne voulaient pas nous laisser sortir. Je soupçonne qu’ils sont venus là dans le but de se cacher derrière des civils.
Nous entendions des informations à la radio. Non, jamais les militants ne sont venus pour nous dire : Eh, il y a un couloir humanitaire, sortez ! Non, rien de ce genre.

Nos familles l’ont décidé unanimement : nous ne voulons pas aller en Ukraine.
Si nous décidons de revenir ce sera seulement à Marioupol, pas en Ukraine.
Disons-le ainsi : l’Ukraine comme Etat – et je suis citoyenne ukrainienne - est morte pour moi. J’ai été très blessée d’être traitée d’une telle manière.


source
yvesdaoudal.hautetfort.com

Pas près de voir ce témoignage sur nos antennes.

naga a écrit:

naga a écrit:

Twitter bloque les réclamations russes sur l’attaque d’un hôpital a Mariupol

Twitter a supprimé deux messages de l’ambassade de Russie à Londres qui affirmaient que le bombardement d’un hôpital ukrainien par les forces russes avait été truqué.
L’hôpital de Marioupol a été attaqué mercredi, faisant trois morts.
Mais les tweets de l’ambassade ont fait des affirmations infondées que l’hôpital n’était pas opérationnel à l’époque, et que les femmes blessées photographiées
sur les lieux étaient des acteurs.
Twitter a déclaré à la BBC que les tweets violaient les règles « liées au déni d’événements violents ».
Les responsables de l’ambassade n’ont fourni aucune preuve à l’appui de leurs affirmations, et l’équipe de désinformation de la BBC a trouvé des preuves qui contredisent les allégations.
L’ambassade a affirmé que l’hôpital avait été « longtemps non opérationnel ». Cependant, un message publié il y a une semaine sur la page Facebook
de l’hôpital demandait du carburant pour que les opérations continuent.
Des rapports de Marioupol la semaine dernière - de l’agence de presse Associated Press et de Sky News - ont également déclaré qu’elle traitait les victimes de l’attentat
à la bombe et que la maternité avait été déplacée au sous-sol.

L’allégation selon laquelle une blogueuse beauté a été utilisée pour falsifier des photos d’une femme enceinte sur les lieux a également été remise en question,
car la femme en question, qui vit dans la ville, est vue lourdement enceinte dans des publications Instagram datant du mois dernier.







Les affirmations initiales selon lesquelles l’attentat a été truqué par l’Ukraine ne provenaient pas de l’ambassade.
Ils ont d’abord commencé à être à la mode parmi les utilisateurs russes de l’application de messagerie Telegram plus tôt dans la journée, puis ont été mentionnés
dans les bulletins d’information de la télévision d’État et les émissions de chat.

Une autre affirmation selon laquelle la blogueuse beauté a également prétendu être une autre femme prise dans l’attentat et photographiée sur les lieux est également fausse.
Un coup d’œil aux images haute résolution de l’autre femme présentée dans les revendications montre qu’elle ne ressemble en rien à la blogueuse beauté.
Ce sont deux femmes différentes.
Enfin, il y a eu des accusations selon lesquelles l’hôpital avait été repris par un bataillon d’extrême droite de l’armée ukrainienne.
Jusqu’à présent, rien n’indique que ce soit le cas.
Ces affirmations continuent toutes de circuler en ligne, malgré la suppression des tweets.
Le compte Instagram de la blogueuse beauté enceinte est également devenu une cible pour les trolls en ligne et les théoriciens du complot.

Les entreprises de médias sociaux ont essayé de lutter contre la désinformation sur leurs plateformes, de nombreuses grandes entreprises technologiques
bloquant les radiodiffuseurs russes RT et Sputnik.

Mais Twitter n’a pas interdit plusieurs comptes liés à des organisations gouvernementales russes - y compris le compte Twitter officiel de Vladimir Poutine.

Le compte de l’ambassade de Russie reste également actif.


source BBC

Comme quoi la verite finie toujours par triompher!
Cette femme etait effictivement enceinte et ce qui etait dit au dessus etait en partie faux mais:

La "victime des bombardements russes" sur une maternité de la ville de Marioupol, vous vous souvenez ?
Voici son témoignage ! Une vérité que les media occidentaux ne rectifieront pas.

Les militaires ukrainiens ont bien occupé la maternité de Marioupol (boucliers humains).
Ils n'ont fourni aucune aide, et ont même pris leur nourriture.
Il n'y a pas eu de frappes aériennes
Un caméraman était sur place le 9 mars, au moment des deux explosions. Un troubant hasard.


Video de son temoignage,helas sur youtube donc vouee a disparaitre tres prochainement...

https://www.youtube.com/watch?v=KiDvETrQgMQ

Une video qui a ete faite par la chaine RT donc,elle est discalifie d office pour les pro-ukrainiens...

La suite

Le 2 avril, je disais que j’espérais que Marianna allait répondre à ceux qui prétendaient qu’elle avait été kidnappée par les Russes qui la contraignaient à raconter
leur version mensongère de l’attaque de la maternité de Marioupol.
Il y a quelques jours je lisais que Marianna avait réussi à se réfugier en Slovaquie, où elle était désormais en sécurité.
Ce que je trouvais très bizarre.
Mais Marianna est toujours à Donetsk, qui est sa ville. Où elle est libre de dire la vérité…

— Hello Marianna, S’il te plaît dis-nous si tu es en captivité ici ou…

— Non, je ne le suis pas. Nous sommes venus à Donetsk de notre propre initiative. Comme je l’ai déjà dit, c’est ma ville, c’est pourquoi nous sommes revenus ici.

— As-tu été menacée ici par des hommes armés ? As-tu été obligée de dire quelque chose sous la menace d’une arme ?

— Personne ne m’a menacée ici. Nous sommes en parfaite sécurité. Personne ne fait pression sur nous, nous ne sommes sous la surveillance de personne, tout va bien.

— Il y a un homme ici, cependant, cela dit au lieu d’une arme il tient un bébé… Il n’y a pas d’autres hommes autour de nous.
[Ceci est une allusion au fait que dans la fameuse vidéo de Marianna on entendait une voix masculine, ce qui était la « preuve » qu’elle parlait sous la contrainte.]
Voudrais-tu dire autre chose à ceux qui nous regardent ?

— Les gens qui vont vers Donetsk et la Russie le font de leur propre initiative. Personne ne force personne contre sa volonté.
Donc, comme vous pouvez le voir par vous-mêmes, des gens quittent Marioupol pour l’Ukraine ou la Russie, chacun fait son propre choix.



source
yvesdaoudal.hautetfort.com/




Vous vous souvenez de Marianna, la jeune femme dont la photo était devenue le symbole de l’un des premiers grands « crimes de guerre » des Russes,
quand ils avaient « bombardé la maternité » ?
Vous vous souvenez aussi que l’on disait qu’elle parlait sous la contrainte quand elle disait qu’elle allait bien et qu’elle était chez elle dans le Donbass ?
Et là aussi c’est sous la contrainte ? Vraiment ?
Voici Marianna, car c’est bien elle, hier dans une école de Marioupol, distribuant des ballons aux enfants pour la rentrée des classes.





On peut voir les images par exemple sur le compte twitter de ce militant pro-ukrainien qui dit :
« Les Russes ont voulu la tuer, et maintenant elle est à leur service, quelle honte… »

Segolene royal a dit la verite a la TV francaise mais s est faite lynche par ses collegues politiques et pourtant les preuves sont la: