Fake ukraine

Pas simple de se faire une vraie idée, il y a des néonazis c'est une certitude mais où et combien ?
Entre les fakes et la réalité !!!!

On accuse les russes de bombarder les civils et les zones residentiels sans raison mais comme on peut le voir sur cette photo
d un journaliste,on voit plein de caisses a munitions dans cette serre...

C'est peu pour un stockage.
Les boites sont intactes mais les couvercles sont un peu soulevés ou glissés sur le coté !!!!
Ta photo pue le pâté.

Ils font ça depuis le début ...

vania a écrit:

Ils font ça depuis le début ...

Oui mais mamie voit pas ça, elle hurle contre les méchants russes. Si on connait on voit le piège.

Pour une fois,on a une legende fausse d une photo commente par les reseaux sociaux russes et pro-russes.





Histoire vraie de la photo
La photo mentionnée a été prise lors de l'événement qui s'est tenu le 18 août 2020, où 8 personnes ont reçu un "Prix de la prévention de la violence".
L'un des lauréats est l'écrivain, traducteur et critique culturel estonien Mikk Pärnits habille en femme.

Au centre de la photo se trouve la présidente estonienne Kersti Kaljulaid, à gauche le ministre de la Justice Raivo Aeg. C'est Aeg qui a récompensé Pärnits.
Plus tard, Aeg lui-même a retiré le nom de famille de Pärnits de la liste des lauréats. Comme l'a déclaré le ministre de la Justice sur sa  page Facebook officielle ,
la raison en était la tenue vestimentaire des Pärnits et le discours d'acceptation du prix.
Pärnits dans son discours d'acceptation a mentionné que la famille traditionnelle est l'endroit le plus dangereux pour un enfant.


Manipulation de photos en dehors de la Géorgie  

La photo mentionnée a été utilisée de manière manipulatrice par des pages Web de propagande et des trolls en dehors de la Géorgie.
Le 24  août, l'édition estonienne  « Õhtuleht » a  publié un article qui traite de l'usine de trolls manipulant la photo.
Contrairement à la manipulation diffusée sur le réseau social géorgien, ils ont mentionné Mikk Pärnits comme etant le fils de la présidente et ministre de l Estonie.
Sur Twitter, le compte pro-russe  « Логан »  (Logan) (@M5NZyOhxPbaRTaE) a publié une photo avec la description suivante :
« La présidente estonienne avec son mari et son « fils ». Bon Dieu, n'ayez pas de mots… ».
La publication compte 786 partages, 631 commentaires et 1400 likes.


En réalité, la présidente estonienne Kersti Kaljulaid a 4 enfants.
Deux d'entre eux, Silja Märdla et Siim Talvik sont issus de son premier mariage avec Taavi Talvik.
Deux fils, Kaspar et Georgi, sont issus de son deuxième mariage avec son mari actuel Georgi-Rene Maksimovski.
Aucun n est non binaire.


source
mythdetector.ge

Ce matin, l’une des plus actives militantes de la propagande ukrainienne sur twitter (c’était son 8e tweet en une heure) publiait une vidéo montrant, disait-elle, «
la propagande russe en cours d’élaboration ».
On y voit le tournage d’un faux reportage sur des gens qui s’enfuient de leur immeuble en flammes. Mais la fumée vient d’un feu allumé devant les caméras
et les gens ne courent que dans ils sont dans le champ. Et l’on voit les techniciens à l’œuvre, et l’on entend l’ordre du réalisateur aux figurants de courir.





Il s’agit donc effectivement de propagande. Sauf que ce ne peut pas être les Russes qui sont à la manœuvre, pour une raison très simple c’est que c’est tourné à Gostomel
(Hostomel en ukrainien), commune limitrophe de Boutcha, village mondialement connu pour son « massacre » imputé aux Russes.
Quelqu’un qui connaît Gostomel a mis en commentaire du tweet une photo du décor de la vidéo sans la fumée et sans les acteurs, et l’on ne peut que constater la supercherie.
(On voit bien que la voiture calcinée a été brûlée il y a longtemps. L’immeuble a été gravement endommagé au premier jour de la guerre, le 24 (ou le 25) février,
lors de la « bataille de l’aéroport de Hostomel ».

En soi cette affaire n’a pas d’importance. Sauf que le tweet s’est répandu comme une traînée de poudre et va certainement continuer de se répandre,
car c’est une occasion rêvée de dénoncer la « propagande russe » et dans le même temps de s’en moquer.
Or s’il s’agit de propagande, il s’agit à l’évidence de propagande ukrainienne (mais on ne peut écarter l’hypothèse qu’il s’agisse du tournage d’une scène de film).

Un commentaire en reponse tweet fait la preuve de la supercherie





Addendum. La vidéo vient d'être supprimée par "Altavista".
Après avoir été retwittée plus de 3.000 fois. On peut donc certainement toujours la voir sur Twitter chez ceux qui l'ont retwittée ou sur les autres réseaux sociaux,
ou dans les prochains jours à la télévision... ou ici puisqu'elle a été reprise par les pro-russes avec l'indication que c'est à Gostomel donc près de Kiev et non dans le Donetsk.


source
vesdaoudal.hautetfort.com

Plus ça va, et moins on a de compassion pour les Ukrainiens...

Des preuves que les troupes ukrainiennes sont pres des immeubles de civils et apres ils accusent les russes
de bombarder ces batiments.

Un BTR-3E ukrainien à Severodoneck

Photos qui n'arriveront jamais jusqu'à nos chaines d'infos, et qu'on soupçonnerait de toute façon d'être des montages...

Dailymail.uk
Le gorafi anglais


Un retraite abat un Su-34 russe avec son fusil de chasse

Dailymail.uk
Le gorafi anglais


Un retraite abat un Su-34 russe avec son fusil de chasse




D autres perles....
Un soldat ukrainien a detruit 43 missiles russes avec son lance pierre-on l appele "le gardien de Kiev"  

Pour une fois,c est a souligner...

Grosse surprise au journal télévisé de 13h sur France 2 (à 12 minutes).
Le reportage sur les référendums dans les régions de l’est et du sud de l’Ukraine n’était pas une séquence de propagande otano-ukrainienne, mais montrait la réalité.
C’était très bref, et encadré bien sûr des condamnations obligées, mais le reportage lui-même, d’une minute, était clair.
On voyait des enseignantes faisant du porte-à-porte à Donetsk avec des bulletins de vote, pour éviter que les gens ne sortent de chez eux à cause des bombardements,
mais ceux qui veulent se déplacer pourront aller dans un bureau de vote au dernier jour du scrutin.
Le reportage donne la parole à l’homme qui reçoit un bulletin : « Bien sûr que c’est important, ça fait longtemps qu’on se demandait quand est-ce qu’on allait rejoindre la Russie. »

Seconde séquence : dans la rue, on entend des bombardements. « Ici la Russie est vue comme un protecteur, alors une majorité d’habitants nous dit vouloir voter
en faveur du rattachement. » Une femme dans la rue : « je pense que nous n’avons plus d’autre choix, il faut que tout cela se termine. »

Cette étonnante minute de France 2, qui met par terre toute la propagande (y compris celle, purement ukrainienne, de France 24 – c’est pourtant la même maison !
sur la farouche résistance antirusse des habitants de ces régions) m’évite de publier des vidéos locales qui seraient taxées de propagande russe…

source
yvesdaoudal.hautetfort.com

Ces gens sont Russes de langue, d'histoire, de culture, depuis des siècles.
Si Kiev avait été moins répressif, discriminatoire envers ces populations, en respectant leurs particularismes, elles seraient restées dans le giron Ukrainien...

naga a écrit:

Pour une fois,c est a souligner...

Grosse surprise au journal télévisé de 13h sur France 2 (à 12 minutes).
Le reportage sur les référendums dans les régions de l’est et du sud de l’Ukraine n’était pas une séquence de propagande otano-ukrainienne, mais montrait la réalité.
C’était très bref, et encadré bien sûr des condamnations obligées, mais le reportage lui-même, d’une minute, était clair.
On voyait des enseignantes faisant du porte-à-porte à Donetsk avec des bulletins de vote, pour éviter que les gens ne sortent de chez eux à cause des bombardements,
mais ceux qui veulent se déplacer pourront aller dans un bureau de vote au dernier jour du scrutin.
Le reportage donne la parole à l’homme qui reçoit un bulletin : « Bien sûr que c’est important, ça fait longtemps qu’on se demandait quand est-ce qu’on allait rejoindre la Russie. »

Seconde séquence : dans la rue, on entend des bombardements. « Ici la Russie est vue comme un protecteur, alors une majorité d’habitants nous dit vouloir voter
en faveur du rattachement. » Une femme dans la rue : « je pense que nous n’avons plus d’autre choix, il faut que tout cela se termine. »

Cette étonnante minute de France 2, qui met par terre toute la propagande (y compris celle, purement ukrainienne, de France 24 – c’est pourtant la même maison !
sur la farouche résistance antirusse des habitants de ces régions) m’évite de publier des vidéos locales qui seraient taxées de propagande russe…

source
yvesdaoudal.hautetfort.com

Ah toi aussi tu t'es posé des questions, j'ai vu la même chose !

Redition d un tank BMP-2 russe a Kherson
Vrai ou montage





Courageux le commentateur expert militaire  !Il doute de la version officielle....moi aussi
Il n est pas pret d etre reinvite!


A 0.41 l arme du soldat ukrainien a un reducteur BTB pour tirer des balles a blanc !
les tenues de combats sont impecables...

https://www.youtube.com/watch?v=bdzc0kHulEg&t=23s


source
thedrive.com

Montage, ça se voit, la photo est connue.
Les deux soldats qui se rendent, c'est aux allemands en 1943 ou 44 suite à une contre-attaque.

C est reparti dans les fakes avec les bombardements russes...

Non les TV ne mentent pas juste ce matin des images des bombardements en Ukraine…
Sauf que c’est l’explosion de l’usine au Liban…




encore un autre

https://t.me/unis_vers/17384

Les fake news ukrainiennes,ils rament contre les evidences...

Le crime de guerre du jour : les monstres russes, qui massacrent les civils en permanence, ont frappé la maternité d’un hôpital à Volnyansk et un bébé a été tué.
Or les Russes n’ont pas lancé de missiles sur Volnyansk mais sur un poste de commandement de l’armée ukrainienne et un dépôt à côté de Volnyansk.

Il est plus que vraisemblable que c’est un missile antimissile occidental lancé par les Ukrainiens qui est à l’origine du drame.
Du reste, le même jour, un missile a frappé un immeuble de Kiev, et, si la propagande a d’abord tenté de rendre les Russes responsables, il a été trouvé sur place
un fragment de missile anti-aérien norvégien.
Il en a été de même ensuite à Vychgorod. On rappellera une fois de plus que lorsqu’un enfant se fait tuer à Donetsk par une roquette ukrainienne personne n’en parle.



Les Ukrainiens ont osé dire que la vidéo montrant l’assassinat des 11 soldats russes était bidon parce que en fait ces soldats avaient simulé une reddition.
Alors il y a une autre vidéo, d’autres soldats russes assassinés, et elle a été décortiquée par les… « Médecins suédois pour les droits de l’homme » de façon imparable.

Il y a cela, aussi, commenté par les mêmes « Médecins suédois pour les droits de l’homme ».
Un prisonnier russe dans un cercueil, enveloppé de plastique. Un Ukrainien dit : « C’est un orc dans son emballage d’origine ! »
Un autre demande : « Il est toujours vivant ? » L’autre répond : « Il est vivant, ferme-le. »

source
yvesdaoudal.hautetfort.com

Victime bombardements russes a Kherson---actrice

Il y a un autre fake : celui des gens arrêtés au Qatar pour avoir mis la moustache d'Hitler sur une affiche qui circule sur Facebook.

Tout ces mensonges éhontés vont bien finir par être connus...

vania a écrit:

Tout ces mensonges éhontés vont bien finir par être connus...

Le pire des mensonges, ou les pires comme tu veux ce sont ceux qui sont totalement incroyables. Eux ils marchent. C'est tellement faux que les gens y croient.

Ca continue dans les fakes et montage...

Lesia Vasylenko fait de la propagande honteuse




Traduction:
« Ce qui est le plus triste : il n’y a plus d’enfants en Ukraine. Seulement de petits êtres humains avec des yeux d’adultes, de vieux, même.
Comme fatigués d’une vie qui n’a pas encore été vécue.
Sur la photo : Marc, 8 ans, qui vient de survivre à une attaque d’artillerie russe. »

Or cette photo est celle qui illustre la couverture d’une édition espagnole d’un livre de Christine McKenna, dans une édition de 2013 :
il s’agit d’un orphelin irlandais.




Mais pendant ce temps-là on ne parle pas des enfants de Donetsk qui se font dézinguer depuis 2014.

Depuis le tole sur la toile, Lesia Vasylenko (député au Parlement ukrainien) a supprimé son tweet.


source
yvesdaoudal.hautetfort.com