Fake ukraine

La guerre trainant en longueur,tout est bon pour inventer des histoires....les russes etant en pleine offensive dans le nord et avancent.
Au sud, les attaques de drones ukrainiens ne font plus de degats et la contre offensive est stoppee net!
Le moral est bon.

Fournis par BANG Showbiz...

Les États-Unis ont affirmé que la Russie exécutait le soldats qui désobéissaient aux ordres du commandement.
Alors que le conflit avec l’Ukraine dure depuis plus de 20 mois maintenant, la Russie manque copieusement d’hommes mais le pays de Vladimir Poutine n’hésite pas à éliminer
tous les soldats réfractaires.
Le porte-parole de la Maison Blanche, John Kirby, a déclaré aux journalistes :
« Nous disposons d'informations selon lesquelles l'armée russe exécute des soldats qui refusent de suivre les ordres. »
Il a ajouté : « Nous disposons également d'informations selon lesquelles les commandants russes menacent d'exécuter des unités entières si elles tentent de battre en retraite
face aux tirs d'artillerie ukrainiens. »
Par ailleurs, les forces russes ont été forcées de se regrouper après un nouvel échec sur le champ de bataille.
Depuis plusieurs semaines, la Russie tente de reprendre la ville d’Avdiivka mais tous leurs assauts ont été repoussés pour l’instant par l’armée ukrainienne.
Il se pourrait, selon le groupe de réflexion Institute of Study of War, que les troupes russes marquent une pause avant de reprendre les attaques.

Apres l electronique de machine a laver pour faire du guidage missile pour les russes....voila une autre fake
vu sur les sites occidentaux...


La Russie demande à ses étudiants de donner leurs vapoteuses pour en faire des drones...

Des étudiants russes un peu trop zélés auraient demandé à leurs camarades de faire don de leurs cigarettes électroniques pour aider l'armée du Kremlin,
si l'on en croit un article de Business Insider.
D'après le journal russe Novaïa Gazeta Europe, les composants des vapoteuses pourraient servir à fabriquer des drones de combat.
Ce qu'a bien compris un «club» universitaire patriotique russe, bien décidé à soutenir l'effort de guerre.

Le «club militaire patriotique Falcon» de l'université d'État de Samara (sud de la Russie) passe d'amphis en amphis pour collecter les cigarettes électroniques des étudiants,
distribuant des tracts et installant des boîtes de collecte sur le campus, indique le média russe.
Si l'on en croit le dépliant du groupe, l'armée pourrait utiliser les circuits et les batteries des vapoteuses, facilement adaptables à des engins plus importants.
«Une cigarette électronique = une attaque de drone contre l'ennemi!», précise même le tract, selon une traduction fournie par le journal ukrainien Kyiv Post.

Vapotage de guerre
Initiative étudiante? Pas vraiment si l'on en croit le club qui affirme avoir lancé la collecte après avoir été approché par «des personnes impliquées
dans l'opération militaire spéciale». C'est toujours ainsi qu'est officiellement appelée l'invasion de l'Ukraine en Russie.

Le groupe collecte également d'autres objets pour les troupes russes depuis le début de la guerre, comme des téléphones portables défectueux, des réchauds de camping,
des vêtements et de la nourriture.

La bidouille et le bricolage font partie intégrante de la guerre moderne et le conflit en Ukraine nous le prouve chaque jour.
Un projet ukrainien utilise d'ailleurs également des cigarettes électroniques pour recharger les batteries des drones et les équipements de vision nocturne.

L'article de Business Insider ne précise pas si les drones russes diffusent une légère odeur de papaye mentholée, mais ce n'est peut-être pas le plus important.


source
korii.slate.fr

naga a écrit:

naga a écrit:

Twitter bloque les réclamations russes sur l’attaque d’un hôpital a Mariupol

Twitter a supprimé deux messages de l’ambassade de Russie à Londres qui affirmaient que le bombardement d’un hôpital ukrainien par les forces russes avait été truqué.
L’hôpital de Marioupol a été attaqué mercredi, faisant trois morts.
Mais les tweets de l’ambassade ont fait des affirmations infondées que l’hôpital n’était pas opérationnel à l’époque, et que les femmes blessées photographiées
sur les lieux étaient des acteurs.
Twitter a déclaré à la BBC que les tweets violaient les règles « liées au déni d’événements violents ».
Les responsables de l’ambassade n’ont fourni aucune preuve à l’appui de leurs affirmations, et l’équipe de désinformation de la BBC a trouvé des preuves qui contredisent les allégations.
L’ambassade a affirmé que l’hôpital avait été « longtemps non opérationnel ». Cependant, un message publié il y a une semaine sur la page Facebook
de l’hôpital demandait du carburant pour que les opérations continuent.
Des rapports de Marioupol la semaine dernière - de l’agence de presse Associated Press et de Sky News - ont également déclaré qu’elle traitait les victimes de l’attentat
à la bombe et que la maternité avait été déplacée au sous-sol.

L’allégation selon laquelle une blogueuse beauté a été utilisée pour falsifier des photos d’une femme enceinte sur les lieux a également été remise en question,
car la femme en question, qui vit dans la ville, est vue lourdement enceinte dans des publications Instagram datant du mois dernier.







Les affirmations initiales selon lesquelles l’attentat a été truqué par l’Ukraine ne provenaient pas de l’ambassade.
Ils ont d’abord commencé à être à la mode parmi les utilisateurs russes de l’application de messagerie Telegram plus tôt dans la journée, puis ont été mentionnés
dans les bulletins d’information de la télévision d’État et les émissions de chat.

Une autre affirmation selon laquelle la blogueuse beauté a également prétendu être une autre femme prise dans l’attentat et photographiée sur les lieux est également fausse.
Un coup d’œil aux images haute résolution de l’autre femme présentée dans les revendications montre qu’elle ne ressemble en rien à la blogueuse beauté.
Ce sont deux femmes différentes.
Enfin, il y a eu des accusations selon lesquelles l’hôpital avait été repris par un bataillon d’extrême droite de l’armée ukrainienne.
Jusqu’à présent, rien n’indique que ce soit le cas.
Ces affirmations continuent toutes de circuler en ligne, malgré la suppression des tweets.
Le compte Instagram de la blogueuse beauté enceinte est également devenu une cible pour les trolls en ligne et les théoriciens du complot.

Les entreprises de médias sociaux ont essayé de lutter contre la désinformation sur leurs plateformes, de nombreuses grandes entreprises technologiques
bloquant les radiodiffuseurs russes RT et Sputnik.

Mais Twitter n’a pas interdit plusieurs comptes liés à des organisations gouvernementales russes - y compris le compte Twitter officiel de Vladimir Poutine.

Le compte de l’ambassade de Russie reste également actif.


source BBC

Comme quoi la verite finie toujours par triompher!
Cette femme etait effictivement enceinte et ce qui etait dit au dessus etait en partie faux mais:

La "victime des bombardements russes" sur une maternité de la ville de Marioupol, vous vous souvenez ?
Voici son témoignage ! Une vérité que les media occidentaux ne rectifieront pas.

Les militaires ukrainiens ont bien occupé la maternité de Marioupol (boucliers humains).
Ils n'ont fourni aucune aide, et ont même pris leur nourriture.
Il n'y a pas eu de frappes aériennes
Un caméraman était sur place le 9 mars, au moment des deux explosions. Un troubant hasard.


Video de son temoignage,helas sur youtube donc vouee a disparaitre tres prochainement...

https://www.youtube.com/watch?v=KiDvETrQgMQ

Une video qui a ete faite par la chaine RT donc,elle est discalifie d office pour les pro-ukrainiens...

La propagande ukrainienne recompensee aux Oscars...
La fake news de l hopital de Mariupol inclue...mais pas les snipers d Azov qui abattaient les civils et leurs propres camarades qui voulaient quitter
la ville ou se rendre....

Après avoir décroché un prix Pulitzer et un Bafta, le documentaire 20 jours à Marioupol a été récompensé de l'Oscar du meilleur documentaire,
ce dimanche 10 mars. Un prix attendu pour ce reportage exceptionnel, réalisé par Mstyslav Chernov, journaliste de nationalité ukrainienne
mais travaillant depuis de longues années pour l'agence de presse américaine AP.
Il est l'un des seuls, aux côtés de son collègue photographe Evgueniy Maloletka et de la productrice vidéo Vasilisa Stepanenko, à être restés dans la ville du sud de l’Ukraine
après le début de l’invasion russe, le 24 février 2022.
« Je suis probablement le premier réalisateur sur cette scène à dire que j’aurais préféré ne jamais faire ce film, si en échange la Russie n’avait pas attaqué l’Ukraine,
ni occupé nos villes, a lancé, Mstyslav Chernov sur la scène des Oscars au moment de recevoir sa statuette.
Je souhaite que la Russie soit dénoncée pour avoir tué des dizaines de milliers de mes compatriotes ukrainiens.
Je souhaite qu’ils libèrent tous les otages, tous les soldats qui protègent leurs terres, tous les civils qui sont maintenant dans leurs prisons.
Mais je ne peux pas changer l’histoire, je ne peux pas changer le passé. »






Bien sûr la guerre révèle le meilleur comme le pire de l'Homme.
Certains voisins s'entraident, d'autres se pillent. Qui blâmer ?
Plusieurs habitants disent combien ils ne pourraient vivre dans une ville tenue par le pouvoir russe. D'autre accusent le gouvernement de Kiev d'être responsable
de la situation. Pendant ce temps le nombre de morts augmente de manière affolante.
Les images les plus bouleversantes du documentaire sont celles filmées dans les hôpitaux de la ville, dans ces couloirs où les brancards, devenus trop nombreux,
s'entrechoquent. Bientôt les morgues sont trop petites pour contenir autant de sacs mortuaires.

« C’est douloureux à regarder, mais nécessaire » dit la voix off. C’est précisément parce qu’elles sont parfois insoutenables qu’il faut trouver le courage de regarder ces images
en face. Bien au chaud dans notre fauteuil de cinéma ou sur notre canapé, on mesure surtout le courage exceptionnel qu'il a fallu à cette équipe de journalistes,
la seule à être restée dans Marioupol, alors même que les soldats russes se rapprochaient.
Déjà parce qu'ils ont été témoins de scènes d'une brutalité inouïe. Mais aussi parce qu'en documentant les atrocités dont ils étaient témoins, ils gênaient le pouvoir russe,
faisant d'eux des cibles.

On se souvient encore de la photo de cette femme, enceinte jusqu'au cou, évacuée d'une maternité bombardée.
Ces images, prises par l'équipe d'AP, ont fait le tour du monde, et ont fortement contrarié les autorités russes, qui parleront de mises en scène.

Voilà un documentaire indispensable, dont on ne ressort pas indemne mais qui redonne paradoxalement foi dans le journalisme.
Parce qu'en montrant, en racontant au plus grand nombre, il nous force à ne pas oublier.


source
msn.com

Un « documentaire » (sic) de propagande ukrainienne, intitulé 20 jours à Marioupol, a obtenu un oscar.

On y voit bien sûr la célèbre séquence de la maternité avec Marianna au visage ensanglanté, images qui avaient fait le tour du monde, illustrant la barbarie russe.
On sait pourtant que Marianna est une vraie fille du Donbass, pro-russe – russe, tout simplement – et qu’on l’a vue depuis lors avec son mari et son bébé,
heureuse de vivre à Donetsk, et s’occupant d'enfants de Marioupol lors de la dernière rentrée scolaire.

Bien sûr des journalistes sont allés lui demander ce qu’elle pensait des oscars :

— Cette parade d’hypocrisie, ça ne m’intéresse pas.

Et du film :

— Je ne l’ai pas regardé et je n’ai pas regardé la nomination non plus. Je suis occupée à des choses plus importantes : le travail, les initiatives humanitaires
et le temps passé avec mes proches pour fêter l'anniversaire de mon enfant.

Et de l’utilisation de son image :

— Je ne cherche pas à réagir. Pendant qu'ils font de la propagande, je m'efforce d'aider les gens.


Voila un temoignage que les occidentaux ne verront helas certainement pas....


source
yvesdaoudal.hautetfort.com

Plus rien de naturel, l'Eurovision ce sera encore eux, les JO pourquoi pas etc...

Territoire occupe russe en fait c est en Ukraine...

Ces trois derniers jours, les Ukrainiens ont lancé une importante offensive pour franchir la frontière russe dans la région de Belgorod.
Des milliers de soldats, des dizaines de blindés, des hélicoptères, des vagues de drones, et la mise en vedette du « Corps des volontaires russes ».

Le but était évidemment de peser sur l’élection présidentielle russe en montrant que la Russie pouvait être vaincue et humiliée sur son propre territoire, et par ses propres citoyens.

Mais les Ukrainiens ont été repoussés trois jours de suite, subissant d’énormes pertes, tant en hommes qu’en matériel.

L’opération s’est donc retournée au profit des Russes…
Et les Ukrainiens s’étaient donné le ridicule de tourner une vidéo où l’on voit des soldats se féliciter d’avoir pris un village russe, sans se rendre compte qu’il existe
des photos de l’endroit précis où ils étaient… dans un village ukrainien.


Les chaînes Telegram ukrainiennes affirment que les groupes de renseignement et de reconnaissance de la Direction principale du renseignement ukrainien (GUR)
ont partiellement pris le contrôle du village de Tetkino, dans la région de Koursk, et diffuseraient des séquences vidéo de la région.





Que se passe-t-il réellement ?

Contrairement à ces affirmations, il n’y a pas eu de prise de territoire par les groupes de reconnaissance sur le sol russe.
Les propagandistes ukrainiens sont accusés de diffuser des vidéos préenregistrées pour étayer leurs fausses allégations.
Ce scénario est conforme aux avertissements émis hier. Le ministère russe de la Défense a réagi en publiant une vidéo dans la soirée du 12 mars montrant la vie paisible
et paisible dans le village russe, réfutant ainsi les affirmations d’une occupation.

Comme le fait souvent le Centre d’information et d’opérations psychologiques (PSYOPS) dans des situations similaires, la vidéo a été réalisée sur le territoire ukrainien,
en omettant délibérément tout point de repère reconnaissable ou distinctif. La narration mentionne un panneau de village, mais il n’est visiblement pas montré au spectateur.
Il y a aussi des divergences dans les conditions météorologiques décrites dans la vidéo, qui ne correspondent pas aux conditions météorologiques réelles
dans la région de Koursk. Alors que Tetkino est décrit comme couvert, la vidéo montre des individus se prélassant en plein soleil.

De plus, l’absence de coups de feu dans les images jette le doute sur leur authenticité.
Il est peu probable qu’un groupe de reconnaissance ukrainien puisse filmer discrètement au milieu d’un village russe, en particulier dans une rue décrite
dans la vidéo comme « facile à cibler ».





Des correspondants militaires ont suggéré que les saboteurs pourraient avoir filmé leurs vidéos dans le village ukrainien de Ryzhevka,
dans la région de Soumy, près de Tetkino. Cette théorie est étayée par l’apparition dans les images d’un bâtiment bleu et blanc distinctif précédemment
vu dans les reportages de la télévision russe, discréditant davantage les allégations d’une incursion à Tetkino.


source
waronfakes.com

naga a écrit:

naga a écrit:

naga a écrit:

Twitter bloque les réclamations russes sur l’attaque d’un hôpital a Mariupol

Twitter a supprimé deux messages de l’ambassade de Russie à Londres qui affirmaient que le bombardement d’un hôpital ukrainien par les forces russes avait été truqué.
L’hôpital de Marioupol a été attaqué mercredi, faisant trois morts.
Mais les tweets de l’ambassade ont fait des affirmations infondées que l’hôpital n’était pas opérationnel à l’époque, et que les femmes blessées photographiées
sur les lieux étaient des acteurs.
Twitter a déclaré à la BBC que les tweets violaient les règles « liées au déni d’événements violents ».
Les responsables de l’ambassade n’ont fourni aucune preuve à l’appui de leurs affirmations, et l’équipe de désinformation de la BBC a trouvé des preuves qui contredisent les allégations.
L’ambassade a affirmé que l’hôpital avait été « longtemps non opérationnel ». Cependant, un message publié il y a une semaine sur la page Facebook
de l’hôpital demandait du carburant pour que les opérations continuent.
Des rapports de Marioupol la semaine dernière - de l’agence de presse Associated Press et de Sky News - ont également déclaré qu’elle traitait les victimes de l’attentat
à la bombe et que la maternité avait été déplacée au sous-sol.

L’allégation selon laquelle une blogueuse beauté a été utilisée pour falsifier des photos d’une femme enceinte sur les lieux a également été remise en question,
car la femme en question, qui vit dans la ville, est vue lourdement enceinte dans des publications Instagram datant du mois dernier.







Les affirmations initiales selon lesquelles l’attentat a été truqué par l’Ukraine ne provenaient pas de l’ambassade.
Ils ont d’abord commencé à être à la mode parmi les utilisateurs russes de l’application de messagerie Telegram plus tôt dans la journée, puis ont été mentionnés
dans les bulletins d’information de la télévision d’État et les émissions de chat.

Une autre affirmation selon laquelle la blogueuse beauté a également prétendu être une autre femme prise dans l’attentat et photographiée sur les lieux est également fausse.
Un coup d’œil aux images haute résolution de l’autre femme présentée dans les revendications montre qu’elle ne ressemble en rien à la blogueuse beauté.
Ce sont deux femmes différentes.
Enfin, il y a eu des accusations selon lesquelles l’hôpital avait été repris par un bataillon d’extrême droite de l’armée ukrainienne.
Jusqu’à présent, rien n’indique que ce soit le cas.
Ces affirmations continuent toutes de circuler en ligne, malgré la suppression des tweets.
Le compte Instagram de la blogueuse beauté enceinte est également devenu une cible pour les trolls en ligne et les théoriciens du complot.

Les entreprises de médias sociaux ont essayé de lutter contre la désinformation sur leurs plateformes, de nombreuses grandes entreprises technologiques
bloquant les radiodiffuseurs russes RT et Sputnik.

Mais Twitter n’a pas interdit plusieurs comptes liés à des organisations gouvernementales russes - y compris le compte Twitter officiel de Vladimir Poutine.

Le compte de l’ambassade de Russie reste également actif.


source BBC

Comme quoi la verite finie toujours par triompher!
Cette femme etait effictivement enceinte et ce qui etait dit au dessus etait en partie faux mais:

La "victime des bombardements russes" sur une maternité de la ville de Marioupol, vous vous souvenez ?
Voici son témoignage ! Une vérité que les media occidentaux ne rectifieront pas.

Les militaires ukrainiens ont bien occupé la maternité de Marioupol (boucliers humains).
Ils n'ont fourni aucune aide, et ont même pris leur nourriture.
Il n'y a pas eu de frappes aériennes
Un caméraman était sur place le 9 mars, au moment des deux explosions. Un troubant hasard.


Video de son temoignage,helas sur youtube donc vouee a disparaitre tres prochainement...

https://www.youtube.com/watch?v=KiDvETrQgMQ

Une video qui a ete faite par la chaine RT donc,elle est discalifie d office pour les pro-ukrainiens...

La propagande ukrainienne recompensee aux Oscars...
La fake news de l hopital de Mariupol inclue...mais pas les snipers d Azov qui abattaient les civils et leurs propres camarades qui voulaient quitter
la ville ou se rendre....

Après avoir décroché un prix Pulitzer et un Bafta, le documentaire 20 jours à Marioupol a été récompensé de l'Oscar du meilleur documentaire,
ce dimanche 10 mars. Un prix attendu pour ce reportage exceptionnel, réalisé par Mstyslav Chernov, journaliste de nationalité ukrainienne
mais travaillant depuis de longues années pour l'agence de presse américaine AP.
Il est l'un des seuls, aux côtés de son collègue photographe Evgueniy Maloletka et de la productrice vidéo Vasilisa Stepanenko, à être restés dans la ville du sud de l’Ukraine
après le début de l’invasion russe, le 24 février 2022.
« Je suis probablement le premier réalisateur sur cette scène à dire que j’aurais préféré ne jamais faire ce film, si en échange la Russie n’avait pas attaqué l’Ukraine,
ni occupé nos villes, a lancé, Mstyslav Chernov sur la scène des Oscars au moment de recevoir sa statuette.
Je souhaite que la Russie soit dénoncée pour avoir tué des dizaines de milliers de mes compatriotes ukrainiens.
Je souhaite qu’ils libèrent tous les otages, tous les soldats qui protègent leurs terres, tous les civils qui sont maintenant dans leurs prisons.
Mais je ne peux pas changer l’histoire, je ne peux pas changer le passé. »






Bien sûr la guerre révèle le meilleur comme le pire de l'Homme.
Certains voisins s'entraident, d'autres se pillent. Qui blâmer ?
Plusieurs habitants disent combien ils ne pourraient vivre dans une ville tenue par le pouvoir russe. D'autre accusent le gouvernement de Kiev d'être responsable
de la situation. Pendant ce temps le nombre de morts augmente de manière affolante.
Les images les plus bouleversantes du documentaire sont celles filmées dans les hôpitaux de la ville, dans ces couloirs où les brancards, devenus trop nombreux,
s'entrechoquent. Bientôt les morgues sont trop petites pour contenir autant de sacs mortuaires.

« C’est douloureux à regarder, mais nécessaire » dit la voix off. C’est précisément parce qu’elles sont parfois insoutenables qu’il faut trouver le courage de regarder ces images
en face. Bien au chaud dans notre fauteuil de cinéma ou sur notre canapé, on mesure surtout le courage exceptionnel qu'il a fallu à cette équipe de journalistes,
la seule à être restée dans Marioupol, alors même que les soldats russes se rapprochaient.
Déjà parce qu'ils ont été témoins de scènes d'une brutalité inouïe. Mais aussi parce qu'en documentant les atrocités dont ils étaient témoins, ils gênaient le pouvoir russe,
faisant d'eux des cibles.

On se souvient encore de la photo de cette femme, enceinte jusqu'au cou, évacuée d'une maternité bombardée.
Ces images, prises par l'équipe d'AP, ont fait le tour du monde, et ont fortement contrarié les autorités russes, qui parleront de mises en scène.

Voilà un documentaire indispensable, dont on ne ressort pas indemne mais qui redonne paradoxalement foi dans le journalisme.
Parce qu'en montrant, en racontant au plus grand nombre, il nous force à ne pas oublier.


source
msn.com

Toujours de la manipulation par l image...

L’Ukraine a obtenu son premier Oscar cette année avec un soi-disant documentaire sur Marioupol.
On a déjà dit comment le réalisateur a osé se servir des images de Marianna à la maternité.
Mais il y a autre chose. Il y a cette image bouleversante d’un blouson d’enfant resté suspendu à un arbre après un bombardement.





Cette image figure à la 75e minute du film.
Non seulement elle n’a pas été prise à Marioupol, mais c’est une image volée dans un documentaire sur les crimes ukrainiens dans le Donbass, réalisé il y a huit ans…

Ici, à 4’29.

https://www.youtube.com/watch?v=8veOzd39VWI



source
yvesdaoudal.hautetfort.com

Je l avais loupe celui la...


Vérification des faits : Les Russes n’ont PAS envoyé le char T-70 du mémorial de guerre de Melitopol sur la ligne de front.





Les Russes ont-ils volé un char soviétique T-70 de l’époque de la Seconde Guerre mondiale dans un mémorial de guerre à Melitopol
afin de l’envoyer sur une position de front en Ukraine ?
Non, ce n’est pas vrai : le char a été retiré d’un monument aux morts pour être transporté à Saint-Pétersbourg, en Russie, où il sera restauré avant d’être renvoyé
au mémorial pour marquer le 80e anniversaire de la libération de Melitopol des occupants nazis.

L’affirmation est apparue dans une vidéo publiée sur TikTok le 24 mai 2023 par le compte @u_bez_layna, avec une légende qui se lit comme suit :
"Les Russes ont volé un monument de chars à Melitopol : il sera restauré et envoyé au front."





Et une deuxième légende qui se lit comme suit :
"À Melitopol, les occupants russes ont démantelé le monument du char T-70, qui a été installé dans le complexe commémoratif du cimetière fraternel (Bratske)
après la Seconde Guerre mondiale. Le char soviétique sera restauré et envoyé au front."

Une info largement relayee sur les chaines francaises comme LCI par le journaliste Pujadas...


L’agence de presse officielle russe Tass News rapporte que le char T-70 a été retiré de son piédestal pour être restauré et, après réparations,
devrait participer à un défilé pour marquer le 80e anniversaire de la libération de Melitopol des envahisseurs allemands, prévu pour le 23 octobre 2023.
Tass rapporte que le char sera ensuite ramené à son emplacement au monument aux morts.

La ville ukrainienne de Melitopol reste actuellement occupée par les forces russes, avec une déclaration du 3 mars selon laquelle la ville deviendrait la capitale régionale
de la partie du territoire de Zaporizhzhya contrôlée par la Russie.


Ah merde! le T-70 est revenu sur son piedestal,tout beau repeint...




source
ukrainian.leadstories.com

Citation :

Une info largement relayee sur les chaines francaises comme LCI par le journaliste Pujadas...

La honte pour ce pseudo professionnel.

Citation :

Ah merde! le T-70 est revenu sur son piedestal,tout beau repeint...

Et sans les curieux cercles blancs autour des roues, d'époque soviétique.