Les photos celebres detaillees

N'importe quoi.
Bon, ben il n'y a plus qu'à la restaurer...

Paquebots et vaches - 1939 Dans la rivière Patuxent au large de la baie de Chesapeake,
quatre paquebots ex-allemands sont désarmés de gauche à droite Monticello (ancien Kaiser Wilhelm II / USS Agamemnon ID-3004),
USAT Mount Vernon, (Ex Kronprinzessin Cecilie) USAT America (ex-Amerika / USS America ID-3006)
et USAT George Washington (ancien George Washington / USS George Washington ID-3018 / USS Catlin AP-19)





Les deux paquebots faisaient partie d’un quatuor construit pour le Norddeutscher Lloyd au tournant du siècle.
Ils avaient des intérieurs somptueux et, lorsqu’ils étaient terminés, étaient les paquebots les plus rapides à flot.
Au début de la 1ère guerre mondiale, les deux navires, pour une raison ou une autre, se sont retrouvés dans des ports aux États-Unis.

Comme ce n’est qu’en 1917 que les États-Unis déclareront la guerre à l’Allemagne, la NDL considérait qu’il était plus sûr pour ses navires amiraux de rester là
où ils étaient. Cependant, lorsque les États-Unis sont entrés en guerre, les deux navires ont été réquisitionnés par la marine américaine
et utilisés comme navires de transport de troupes. Ils ont servi dans ce rôle jusqu’en 1920, transportant d’abord des soldats américains en Europe,
puis ramenant les troupes victorieuses aux États-Unis.

À la fin de la guerre, les deux navires étaient déjà considérés comme obsolètes, c’est pourquoi aucun utilisateur civil n’a été trouvé pour eux.
Ils sont restés dans la flotte de réserve et ont été désarmés dans la baie de Chesapeake pendant les 20 années suivantes.
Au début de la 2e guerre mondiale, le gouvernement américain a offert les deux navires aux Britanniques pour servir de navires de transport de troupes,
mais ils ont refusé, considérant que leur âge rendrait tout service problématique.
En 1940, l’US Navy décida de les mettre au rebut.

Source : pinterest

Oui mais les vaches ??????????????????? Comprend pas.

D'autant que l'eau est à priori salée ?!...

J ai vu des vaches dans l eau sur la plage en Corse aussi.
Ca les detend l eau de mer...

 

Le film de guerre / action de 1949, « Twelve O’Clock High », présentait un accident d’avion B-17 mémorable au début du film.
De manière impressionnante, cela n’a pas été fait par le biais d’effets spéciaux, mais plutôt par le célèbre pilote de cascades Paul Mantz.





L’USAF était réticente à leur fournir un B-17, mais les cinéastes ont tiré quelques ficelles, et finalement, l’un des ex- B-17G « légèrement radioactifs » a été attribué.
Ils ont retiré la tourelle à boule ventrale pour éviter de causer des dommages structurels au fuselage avant de filmer à Ozark Field le 12 mai 1949.

Pour avoir fait la cascade, Mantz a reçu un paiement substantiel de 4 500 $ – ce qui s’élèverait à 53 600 $ aujourd’hui.
Il convient également de mentionner que le paiement que Mantz a reçu pour cette cascade était le montant le plus important jamais donné à un cascadeur
pour une seule cascade jusque dans les années 1970.


Video

https://www.youtube.com/watch?v=D09UvQzEWOY&t=9s


source
worldwarwings.com



Paul Mantz est décédé le 8 juillet 1965. tout en travaillant sur le film The Flight of the Phoenix, produit et réalisé par Robert Aldrich.
Aux commandes d’un avion très inhabituel, le Tallmantz Phoenix P-1 construit spécialement pour le film, Mantz a heurté une petite colline alors qu’il survolait
un site désertique en Arizona pour une deuxième prise.
Alors que Mantz tentait de récupérer en ouvrant la manette des gaz à son maximum, l’avion surchargé s’est brisé en deux et a piqué du nez,
tuant Mantz instantanément.


Video du crash

https://www.youtube.com/watch?v=n82nN_lqn58

Malgré toutes les précautions, ça devait arriver.
Même Rémi Julienne a eu des morts lors de ses tournages...

Voici une authentique photo, de la Bastille...





Impossible, me direz-vous?!
La photographie n'existait effectivement pas en 1789, lorsqu'elle a été détruite.
MAIS...
Quand on parle de l’Exposition universelle de 1889, on pense forcément à son emblématique monument, celui qui a attiré tous les regards pendant et après l’événement :
la Tour Eiffel.





Mais la quatrième exposition internationale parisienne ne pourrait se réduire à cette immense tour de 300 mètres.
Levons le voile sur un aspect oublié de cette exposition...
Si l’exposition de 1889 est restée dans les mémoires comme une grande fête populaire, elle n’a pas été accueillie avec enthousiasme par tout le monde.
En effet, l’événement a non seulement été boudé par une partie de la population française, mais aussi par plusieurs états monarchiques qui ont tout bonnement refusé
d’y envoyer une délégation.

Ainsi, le pavillon britannique, l’un des plus imposants de l’exposition, a été intégralement financé par des fonds privés et mis en oeuvre par des firmes industrielles,
la couronne ayant refusé de participer officiellement.
La raison ? L’exposition, qui se déroule sous la Troisième République, se veut une célébration du centenaire de la Révolution française
et, par extension, de la chute de la monarchie.
Les souverains du monde entier sont donc logiquement très frileux à l’idée de participer à l’événement.

Conçue pour être, 100 ans après sa destruction, la principale attraction de l’Exposition Universelle de 1889 ; la reconstitution de la forteresse de la Bastille
et la rue Saint-Antoine, telles qu’elles se présentaient en 1789, fut un échec que l’on dit « retentissant ».
Cette attraction fit en effet pale figure à côté de construction de la « Tour de 300m ».

La photo que je vous présente en illustration de cette publication est donc une des photos de la reconstitution de la Bastille en 1889...
et provient de Gallica / Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie...

2e photo de la Bastille en 1889





source
https://www.pariszigzag.fr
https://www.books.fr
Janvier MMXXIV

La main de fer de Simone veil...vraiment ou comment l a politique la corrompue...

Legende
En 1978, elle croise au gouvernement le chemin de Maurice Papon qui sera condamné 20 ans plus tard pour complicité de crimes contre l’humanité.
Elle déplorera chez lui l’absence du moindre remords.







Elle n a pas fait que le croiser...
En 1940/42 Maurice Papon était fonctionnaire de Vichy, en 1943 Simone Viel était en camp de concentration.
En 1978 ils étaient tous deux ministres de VGE, lui au budget, elle à la santé...
Chacun est évidemment au courant du passé de l'autre.
Tirez-en vos conclusions !

Vous savez que les marques de l'ancien emplacement de la Bastille sont visibles sur la place du même nom.
Des "clous" en tracent les contours...

Un pont terrifiant : Dale Creek Crossing.(Wyoming, USA)






Dale Creek Crossing était un pont ferroviaire situé dans l'actuel Wyoming.
Ce pont de 200 m, achevé en 1868 dans le sud-est du territoire du Wyoming, a représenté pour les ingénieurs du premier chemin de fer transcontinental des États-Unis
l'un des défis les plus difficiles à relever.
Dressé sur ses hauts pieds de fer filiformes qui semblaient aussi solides que des aiguilles à tricoter, c'était le passage le plus haut et le plus dangereux de la ligne.
Le pont se balançait sous l'effet du vent et les trains devaient ralentir à 6 km/h pour le traverser, faute de quoi un vent violent du Wyoming poussait les wagons vides
dans la brèche rocheuse.


Construction





Ellen G. White a décrit son passage de 1873 sur Dale Creek :
« Le paysage des plaines est inintéressant. Notre curiosité est quelque peu excitée par la vue de cabanes en terre,
de maisons en pisé et d'arbustes à feuilles d'armoise en abondance. Mais nous avançons.
Depuis Cheyenne, les moteurs ont travaillé jusqu'au sommet contre le vent le plus effrayant.
Les chevaux de fer tirent lentement les wagons dans la montagne jusqu'à Sherman.
Des craintes sont exprimées quant au danger, à cause du vent, de traverser le pont de Dale Creek, long de 200 mètres et haut de 38 metres,
qui enjambe Dale Creek d'une falaise à l'autre.
Ce pont à chevalets semble léger et fragile pour supporter un tel poids. Mais ce n'est pas l'aspect frêle du pont qui suscite les craintes, c'est la tempête de vent,
si violente que l'on craint que les wagons ne soient emportés hors de la voie ferrée.





Dans la providence de Dieu, le vent s'est calmé. Ses terribles hurlements sont réduits à des sanglots et des soupirs pitoyables,
et nous passons sans encombre sur le redoutable pont. Nous atteignons le sommet.
La locomotive supplémentaire a été enlevé. Nous sommes à une altitude de 2400 metres. Aucune vapeur n'est nécessaire à cet endroit pour faire avancer le train,
car la pente descendante est suffisante pour nous permettre de glisser rapidement.

En descendant un talus, nous apercevons les ruines d'un wagon de marchandises qui a été éjecté de la voie. Des hommes travaillent activement sur les wagons brisés.
On nous dit que le train de marchandises a traversé le pont il y a une semaine.
Deux heures après ce malheureux train, venaient les voitures de voyageurs.
Si cet accident leur était arrivé, de nombreuses vies auraient été perdues... »


Les restes des fondations du pont en 2010




source
facebook

Pourquoi n'avoir pas fait plus solide ?

Les 2 photos celebres ont de quoi intriguer...

Maintenance des moteurs en vol.Les freres Hunter se ralayent pour faire ces verifications pendant leurs vol de 23 jours sans atterrissage.




On voit qu un support a ete fabrique sur les cotes avant de l avion pour effectuer ces operations






Il y a 90 ans, les frères Hunter ont réalisé un exploit incroyable en effectuant un vol de 23 jours sans atterrissage.
Voici l'histoire fascinante de leur record de durée de vol en avion :

1. Les frères Hunter :
  - L'histoire des frères Hunter a commencé dans leur ville natale de Sparta, Illinois, aux États-Unis, au début des années 1900.
  - La famille Hunter comptait six enfants, dont les frères Albert, John, Kenneth et Walter, ainsi que deux sœurs, Mabel et Irene.





  - Leur passion pour l'aviation a été éveillée en 1923 lorsqu'ils ont vu un avion voler pour la première fois. Ils sont tombés amoureux des avions
et ont décidé de vendre toutes leurs motos pour acheter un appareil.
  - Un pilote local, Bud Gurney, a enseigné à John comment piloter un avion en seulement 1 heure 30mn d'instructions.
Gurney a ensuite formé les autres frères à piloter.
  - En 1924, les frères Hunter possédaient déjà deux avions et se produisaient en tant qu'acrobates aériens, réalisant des cascades,
des sauts en parachute et des changements d'avion en plein vol.

2. L'objectif du record de vol sans atterrissage :
  - De 1925 à 1929, les quatre frères avaient des emplois stables dans le transport aérien, mais ils avaient toujours le désir de repousser les limites de l'aviation.
  - L'un de leurs rêves était de battre le record de durée de vol en restant en l'air aussi longtemps que possible sans atterrir.
  - En 1929, John et Kenneth ont tenté leur première expérience avec leur avion Stinson SM-1 Detroiter, baptisé "Chicago We Will"
et plus tard connu sous le nom de "City of Chicago".
Ils ont passé 11 jours en l'air, mais ont dû atterrir en raison des conditions météorologiques et d'un problème de ravitaillement en carburant.


John sur le terrain à Tucson dans NR5189, « Ville de Chicago »




3. Le vol record de 23 jours:
  - En 1930, les quatre frères ont décidé de tenter à nouveau de battre le record de durée de vol.
  - John et Kenneth ont repris l'avion "City of Chicago", tandis qu'Albert et Walter volaient dans un autre avion pour livrer les ravitaillements nécessaires.
  - Leur voyage a commencé le 11 juin et s'est terminé le 4 juillet 1930.
  - Les frères Hunter ont passé 553 heures, 41 minutes et 30 secondes en vol au-dessus de l'Illinois, établissant ainsi le record du vol le plus long sans atterrissage.
  - Lorsqu'ils ont finalement atterri à l'aéroport Sky Harbor, une foule de 75 000 personnes les a acclamés.
Cet exploit a laissé un héritage durable dans l'histoire de l'aviation, montrant la détermination et le courage des frères Hunter.


Ravitaillement en vol




Sur le terrain à Tucson : De gauche à droite Walter, John, Kenneth, Albert




Tous les frères ont gardé leur passion pour l’aviation de longues années après.
Malheureusement, John Hunter est décédé dans l’incident de vol en 1932.
Le même destin a pris Kenneth en 1974.
Walter a eu une longue carrière chez American Airlines (A1G) (AAL) en tant que pilote, il est décédé après avoir pris sa retraite en 1983.
Le dernier frère, Albert, n’a volé que pendant son temps libre jusqu’à sa mort en 1942.

Bien que le record des frères Hunter ait été battu à plusieurs reprises après 1930, ils ont vraiment été appelés « astronautes de leur époque »,
car leurs spectacles aériens fous et autres réalisations extrêmes ont non seulement rassemblé des milliers de personnes,
mais ont également suscité l’amour de l’aviation chez chacun d’entre eux.

De nombreuses années plus tard, l’anniversaire de leur record d’endurance en vol a été célébré lors des incroyables spectacles aériens de Hunter Field.
Ils sont également devenus une source d’inspiration pour de nombreux aviateurs et amateurs d’aviation dans leur ville natale de Sparte.


source
aerotime.aero

Génial, des gars "qui en avaient"...

vania a écrit:

Génial, des gars "qui en avaient"...

Non je les vois plutôt inconscients. 

Plongeons dans les détails de cette image captivante de l'éruption du mont Vésuve en 1944 :

1. Contexte historique :
- Emplacement : Le mont Vésuve est un stratovolcan situé sur le golfe de Naples en Italie. Il a une longue histoire d'éruptions, la plus célèbre étant celle de l'an 79
qui a enseveli la ville romaine antique de Pompéi.

- Seconde Guerre mondiale :*L'année 1944 s'inscrit dans le contexte de la Seconde Guerre mondiale.
Des troupes américaines étaient stationnées en Italie à cette époque, et leurs expériences étaient marquées à la fois par les horreurs de la guerre
et les merveilles naturelles du paysage.

2. L'éruption :
- Date : L'éruption représentée sur l'image a eu lieu en 1944.
- Description :Le Vésuve a projeté des cendres, de la fumée et de la lave en fusion dans le ciel, créant une scène spectaculaire.
Bien que ce ne fût pas l'éruption la plus violente du volcan, elle a quand même causé des destructions dans les zones environnantes.





- Impact :Les coulées de lave ont détruit des villages voisins, entraînant des évacuations et le déplacement des habitants locaux.

3. Contraste :
- Symbolisme :La juxtaposition du volcan en éruption avec le contexte de la guerre est frappante.
D'un côté, les soldats faisaient face aux batailles et aux conflits humains ; de l'autre, ils étaient témoins de la puissance brute de la nature.
La vue à la fois impressionnante et terrifiante a dû laisser une impression durable à ceux qui l'ont observée.

4. Héritage :
- Lien avec Pompéi :La connaissance du sort de Pompéi, ensevelie par le Vésuve en l'an 79, ajoute de la profondeur à l'image.
Pompéi sert de rappel troublant de la force destructrice des éruptions volcaniques et de l'impermanence de la civilisation humaine.

En résumé, cette photographie capture un moment où la fureur de la nature a croisé l'histoire humaine, laissant une empreinte indélébile
sur ceux qui l'ont observée.


source
Màk Çÿme Rìche Chãr

Joli pétard. C'est toujours un coin, comme tant d'autres, qui n'attend plus qu'une allumette ! 

Les volcans, c'est toujours captivant !...

Une photo celebre du pacifique

Un marine américain complement sous le choc après deux jours de combats constants lors de la bataille d’Eniwetok, en 1944.





Cette photo est un gros plan de cette photo





Le soldat de l’USMC Theodore James Miller retourne au transport d’attaque de la Garde côtière USS Arthur Middleton (APA-25) à 14h00
après deux jours de combat sur Engebi, aux îles Marshall.

Engebi a été le premier de l’atoll d’Eniwetok à être envahi par les forces américaines. Opération « Fragile » Les 1er et 2e bataillons ont débarqué le 18 février 1944,
avec le 3e bataillon en réserve.
Lors de l’attaque d’Engebi, les pertes américaines furent de 78 tués, 166 blessés et 7 disparus, soit un total de 251 victimes.
Tous les défenseurs japonais d’Engebi ont été tués, à l’exception de dix-neuf prisonniers.

Theodore James Miller lui-même est mort au combat lors de l’invasion de l’atoll d’Eban un mois après la photo, le 24 mars 1944.
Dans cette bataille, 25 Japonais, dont six civils, ont été fusillés.Elle a laissé Miller et un autre Marine morts et 8 autres blessés.

Un journal a déclaré ce qui suit à propos de sa mort :
"Le soldat Theodore James Miller a été tué le 24 mars lors de la capture de l’atoll d’Ebon, aux îles Marshall, ont appris ses parents lundi.
Miller se tenait au milieu d’une clairière étroite appelant un soldat pour aider un copain blessé lorsqu’il a été touché par la balle d’un tireur d’élite.
Il est enterré au cimetière commémoratif national du Pacifique, situé dans la ville d’Honolulu, à Hawaï.





source
Facebook-Imagerie historique

Même pas 20 ans...

Soldat en état de choc dans une tranchée lors de la bataille de Flers-Courcelette lors de l’offensive de la Somme en septembre 1916.





Ses yeux expriment la folie de la guerre.
Le soldat a l’air d’être devenu fou d’après ce qu’il a vu.
À ce moment-là, tout ce pour quoi il a été élevé, les constructions sociales qui composent chaque partie de sa vie ont explosé et se sont brisés en morceaux,
et il est allongé là, affalé dans une tranchée, craignant pour sa vie, entendant et voyant la mort autour de lui, toute sa psyché brisée.
Encore plus obsédant quand on pense que les gens ne souriaient pas pour les photos à l’époque.

Les circonstances de la Première Guerre mondiale ont poussé des centaines de milliers d’hommes au-delà des limites de l’endurance humaine.
Ils ont fait face à des armes qui niaient toute chance d’héroïsme, de courage ou même d’habileté militaire parce que les armes d’artillerie
qui ont causé 60 % de toutes les pertes étaient à des kilomètres du champ de bataille.

Le terme « choc d’obus » a été inventé par les soldats eux-mêmes.
Les symptômes comprenaient la fatigue, les tremblements, la confusion, les cauchemars et les troubles de la vue et de l’ouïe, une incapacité à raisonner,
une paralysie hystérique, un regard hébété à des milliers de mètres est également typique.
Il était souvent diagnostiqué lorsqu’un soldat était incapable d etre lui-meme et qu’aucune cause évidente ne pouvait être identifiée.
« En termes simples, après que même le soldat le plus obéissant ait eu assez d’obus qui pleuvaient sur lui, sans aucun moyen de riposter,
il perdait souvent tout contrôle de soi ».

Bien que le terme de choc par obus ne soit plus utilisé dans le discours médical ou militaire, il est entré dans l’imagination et la mémoire populaires,
et est souvent identifié comme la blessure emblématique de la guerre.
Le choc des obus sera plus tard appelé « névrose de guerre ». C’est similaire mais pas la même chose que le SSPT.
Comme dans le cas du SSPT, le stress mental entraîne des difficultés physiques dramatiques.

Source : Ronnie (Flickr)


Certains hommes souffrant de traumatismes dus aux obus ont été jugés, et même exécutés, pour des crimes militaires, notamment la désertion et la lâcheté.
Bien qu’il soit reconnu que le stress de la guerre pouvait provoquer la dépression des hommes, un épisode durable était susceptible d’être considéré
comme symptomatique d’un manque de caractère sous-jacent.

Par exemple, dans son témoignage devant la Commission royale d’enquête d’après-guerre sur le traumatisme par obus, Lord Gort a déclaré que le traumatisme
était une faiblesse et qu’on ne le trouvait pas dans les « bonnes » unités.
On ne sait pas combien ont été choqués et condamnés pour lâcheté ou désertion alors qu’ils étaient vraiment fous.
Plus tard, le gouvernement britannique a gracié les soldats exécutés pour lâcheté et désertion, reconnaissant ainsi officiellement l’effet de choc des obus
que la guerre a eu sur ses troupes.

La bataille de Flers-Courcelette (15-22 septembre 1916) s’est déroulée pendant la bataille de la Somme en France, par la VIe armée française et la IVe armée
et l’armée de réserve britanniques, contre la 1re armée allemande, pendant la Première Guerre mondiale.
L’attaque anglo-française du 15 septembre marque le début de la troisième période de la bataille de la Somme, mais à sa conclusion le 22 septembre,
l’objectif stratégique d’une victoire décisive n’a pas été atteint.

L’infligation de nombreuses pertes aux divisions du front allemand et la capture des villages de Courcelette, Martinpuich et Flers
avaient été une victoire tactique considérable, mais le succès défensif allemand sur le flanc droit britannique rendait l’exploitation
et l’utilisation de la cavalerie impossibles.

Les chars ont été utilisés au combat pour la première fois dans l’histoire et le Corps canadien et la Division néo-zélandaise ont combattu pour la première fois
dans la Somme.
Le 16 septembre, la Jagdstaffel 2, un escadron de chasse spécialisé, commença ses opérations avec cinq nouveaux chasseurs Albatros D.I,
capables de défier la suprématie aérienne britannique pour la première fois depuis le début de la bataille.


source
Marina Amaral - Colorisation des photos

Quand on a ce tragique patrimoine historique national, comme peut-on encore jouer les va t-en guerre ?!...

vania a écrit:

Quand on a ce tragique patrimoine historique national, comme peut-on encore jouer les va t-en guerre ?!...

Va expliquer ça à Cramon. 

carbone14 a écrit:

vania a écrit:

Quand on a ce tragique patrimoine historique national, comme peut-on encore jouer les va t-en guerre ?!...

Va expliquer ça à Cramon. 

Macron a travaille pour Rothschild,c est un Atlantiste.
Sa patrie,c est l Europe Federale.

naga a écrit:

carbone14 a écrit:

vania a écrit:

Quand on a ce tragique patrimoine historique national, comme peut-on encore jouer les va t-en guerre ?!...

Va expliquer ça à Cramon. 

Macron a travaille pour Rothschild,c est un Atlantiste.
Sa patrie,c est l Europe Federale.

Non, la patrie de Cramon c'est le sexe, uniquement ça !   C'est à lui (elle) tout seul une totale déviance sexuelle.