Les photos celebres detaillees

carbone14 a écrit:

naga a écrit:

carbone14 a écrit:

vania a écrit:

Quand on a ce tragique patrimoine historique national, comme peut-on encore jouer les va t-en guerre ?!...

Va expliquer ça à Cramon. 

Macron a travaille pour Rothschild,c est un Atlantiste.
Sa patrie,c est l Europe Federale.

Non, la patrie de Cramon c'est le sexe, uniquement ça !   C'est à lui (elle) tout seul une totale déviance sexuelle. 

Va voir la video que j ai poste hier,tu va etre degoute ...

https://ostfront.forumpro.fr/t6187-legislatives-la-course-vers-le-chaos

J'avais vu mais c'est long et j'avoue ne pas aimer les débats.   Promis, j'irais au moins survoler. 

c est vrai que ces gars dit "les indigenes" dont certains etaient des heros sont souvent oublie dans les livres d histoire...


Le soldat australien George « Dick » Whittington, aidé par l’aide-soignant papou, Raphael Oimbari, près de Buna, le 25 décembre 1942.
Whittington meurt en février 1943 du typhus.





Fuzzy Wuzzy Angels était le nom donné par les soldats australiens aux indigenes de Papouasie-Nouvelle-Guinée qui, pendant la Seconde Guerre mondiale,
ont été recrutés pour apporter des fournitures au front et transporter les troupes australiennes blessées sur la piste de Kokoda pendant la campagne de Kokoda.

En juin 1942, le major-général australien Basil Morris a publié un « Ordre sur l’emploi des indigènes », qui permettait aux Papous autochtones d’être recrutés
comme porteurs pendant trois ans.
Entre août et décembre de cette année-là, environ 16 000 Papous ont été recrutés, souvent avec de fausses promesses telles qu’une période de service plus courte
ou des conditions de travail moins difficiles. À certaines occasions, les Papous ont été forcés de servir.

Comme l’a noté un creuseur australien :
« ils transportaient des civières par-dessus des barrières apparemment infranchissables, avec le patient raisonnablement confortable.
Les soins qu’ils prodiguent au patient sont magnifiques. Si la nuit trouve la civière encore sur la piste, ils trouveront un endroit plat et construiront un abri au-dessus
du patient. Ils le mettront aussi à l’aise que possible, lui apporteront de l’eau et le nourriront s’il y a de la nourriture, quels que soient leurs propres besoins.
Ils dorment quatre de chaque côté de la civière et si le patient bouge ou a besoin d’attention pendant la nuit, celle-ci est donnée instantanément.
C’étaient les actes des « Fuzzy Wuzzy Angels » – pour nous !

En 2009, le gouvernement australien a commencé à décerner le « médaillon commémoratif Fuzzy Wuzzy » aux Papouasie-Nouvelle-Guinéens vivants
qui ont contribué à l’effort de guerre australien, amenant généralement les survivants et leurs familles à Port Moresby pour des cérémonies de présentation.
Les anciens combattants australiens se plaignaient généralement que la reconnaissance était trop peu et trop tard.


George Silk
(source: wiki)

1. L'image:
- L'image montre Heinrich Himmler, le chef de la SS nazie, en train d'inspecter un camp de prisonniers de guerre soviétiques.
- La photo a été prise à Shirokaya Street Concentration Camp à Minsk, en Biélorussie, vers le 15 août 1941.






2. Contexte historique:
- Au printemps 1941, Himmler formulait des idées pour agrandir Auschwitz, tandis qu'Adolf Hitler planifiait l'invasion de l'Union soviétique.
- L'Union soviétique était considérée comme l'ennemi par les nazis en raison de son affiliation au communisme.

3. Le camp de concentration de Shirokaya Street:
- Shirokaya était un camp de travail qui détenait jusqu'à 2 000 prisonniers.
- Parmi eux se trouvaient des travailleurs qualifiés du ghetto de Minsk et des soldats de l'Armée rouge capturés qui refusaient de travailler
ou de collaborer avec les partisans dans les forêts de Biélorussie.
- Des Juifs sur le point d'être déportés à Sobibor ou Auschwitz depuis la Biélorussie étaient également temporairement détenus là-bas.

4. L'acte de défiance:
- Le prisonnier soviétique dans l'image regarde Himmler directement dans les yeux, malgré les risques.
- Cet acte de défiance symbolise la résistance face à l'oppression nazie.

5. Autres événements liés à cette visite:
- Lors de cette visite, Himmler a ordonné à l'Einsatzgruppe B de démontrer sa technique pour exécuter des Juifs.
- Le même jour, 98 hommes juifs et deux femmes ont été abattus.
- La plupart des 90 000 Juifs et 300 000 soldats soviétiques capturés lors de la chute de Minsk en juin 1941 ont été tués ou déportés
avant la libération de Minsk en 1944.

6. Erreur d'identification:
- La légende originale de la photo mentionne Joseph Horace "Jim" Greasley, un soldat britannique capturé pendant la Seconde Guerre mondiale,
mais il s'agit d'une erreur.
- L'historien Guy Walters a confirmé que le soldat dans l'image n'était pas Greasley et que la photo a été prise à Minsk en 1941.

En somme, cette image est un témoignage poignant de la brutalité nazie et du courage des prisonniers face à l'oppression.


source
Màk Çÿme Rìche Chãr

Himmler, héros du Reich, a dégueulé après cette visite...

vania a écrit:

Himmler, héros du Reich, a dégueulé après cette visite...

Oui c'est ça qu'on comprend pas !   Des hauts le cœur à plein, l'odeur, la vision ???   Pauvre mec !   Faut assumer ou faut pas faire. 

Voici des informations sur l'équipe de hockey féminin des Swastikas d'Edmonton en 1916 :

1. Contexte historique :
- L'image représente les Swastikas, une équipe de hockey féminin canadienne d'Edmonton.
- À cette époque, le svastika était un symbole de bonne chance et de prospérité.
Il avait été utilisé pendant des siècles par de nombreuses cultures et religions avant d'être associé aux nazis.







2. Le nom "Swastikas" :
- Le nom de l'équipe est dérivé du svastika, qui était alors un symbole positif.
- Il est important de se rappeler que le svastika a une histoire bien antérieure à son utilisation par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.

3. Signification du svastika :
- Avant sa connotation négative, le svastika était vénéré dans de nombreuses cultures. Il symbolisait la protection, la chance, la croissance et la spiritualité.
- Des civilisations anciennes telles que les Indiens d'Amérique, les Hindous, les Bouddhistes, les Vikings, les Grecs, les Romains, les Celtes,
les Anglo-Saxons, les Mayas, les Aztèques, les Perses et même les tribus néolithiques utilisaient le svastika.

4. Réflexion :
- Cette image nous rappelle l'importance de comprendre le contexte historique et de ne pas juger rétrospectivement des symboles
en fonction de leur utilisation ultérieure.

En somme, l'équipe des Swastikas d'Edmonton est un exemple de la façon dont les symboles peuvent évoluer et changer de signification au fil du temps.


source
Màk Çÿme Rìche Chãr

J'ignorais ça, enfin ces symboles sur des vêtements sportifs. 

Citation :

Il est important de se rappeler que le svastika a une histoire bien antérieure à son utilisation par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.

Certes, mais quelque part on s'en f..., car c'est bien loin de chez nous.
Le plus important est de se rappeler, surtout pour les jeunes générations et ceux qui sont tentés par le révisionnisme, du poids de sa signification en Europe...

Ca n'empêche pas de préciser que ce symbole a été détourné de son origine. Mal utilisé à un moment.

La photo est extraite de la Une du magazine Life en date du 19 juillet 1943.





Le cliché fut pris le jeudi 1er juillet 1943 par Peter Stackpole, photographe accrédité auprès de cette revue.
Cette jeune engagée s’appelle Shirley Slade.
Agée de 22 ans, elle fut sélectionnée afin de suivre une formation de pilote au sein de l’USAAF.
Issue de la Class 43-W-5 qui est alors composée de 84 élèves, son instruction se déroula sur le terrain d’Avanger à Sweetwater dans l’état du Texas.
Elle sera brevetée et obtiendra ses ailes en septembre 1943.






Elle a était affectée aux transport de troupes et de fret aux USA. Elle n’a pas participé à l’affrontement de la seconde guerre mondiale,
Elle a fini son service au sain de l’Usaaf fin des année 40, elle est décédée à 79 ans, je crois en 2001 ou 2002 !

La photo est fortement retouchée, façon actuelle ! 

1. Le Sujet de la Photo
La photo montre Evgeny Stepanovich Kobytev, un soldat soviétique, avant et après la Seconde Guerre mondiale.
La première photo a été prise en 1941, lorsqu'il est parti au front, et la seconde en 1945, à son retour.







2. Contexte Historique
- Début de la Guerre:
En 1941, l'Allemagne nazie a lancé l'opération Barbarossa, envahissant l'Union soviétique. Kobytev, qui était un artiste prometteur, a dû interrompre sa carrière
pour rejoindre l'armée.
- Front de l'Est:
Kobytev a combattu sur le front de l'Est, l'un des théâtres de guerre les plus brutaux de la Seconde Guerre mondiale.
Les combats étaient intenses et les conditions de vie extrêmement difficiles.
- Prisonnier de Guerre:
En septembre 1941, Kobytev a été blessé et capturé par les Allemands. Il a été interné dans le camp de concentration de Khorol,
connu pour ses conditions inhumaines.

3. Transformation Physique et Psychologique
- Avant la Guerre:
En 1941, Kobytev était un jeune homme plein de vie et d'espoir, prêt à commencer une carrière artistique.
- Après la Guerre:
En 1945, son visage montre les signes évidents de la fatigue, du stress et des horreurs qu'il a vécues. Son regard est devenu plus sombre et plus profond,
reflétant les traumatismes de la guerre.

4. Impact de la Guerre sur les Soldats
- Physique:
Les soldats comme Kobytev ont souvent souffert de blessures physiques, de malnutrition et de maladies.
- Psychologique:
Les traumatismes psychologiques étaient courants, avec des effets durables sur la santé mentale des vétérans. La guerre a laissé des cicatrices invisibles aussi profondes
que les blessures physiques.

5. Retour à la Vie Civile
- Réintégration:
Après la guerre, Kobytev a repris sa carrière artistique, mais il a été profondément marqué par ses expériences. Il a été décoré pour son service,
mais n'a pas reçu toutes les médailles en raison de son temps passé comme prisonnier de guerre.

6. Importance Historique de la Photo
- Mémoire Collective:
Cette photo est devenue un symbole puissant des sacrifices et des souffrances endurés par les soldats pendant la guerre.
Elle est souvent utilisée pour illustrer l'impact humain des conflits armés.

7. Exposition et Reconnaissance
- Musée Andrei Pozdeev:
Les deux photos sont exposées côte à côte au musée Andrei Pozdeev, où elles rappellent aux visiteurs les réalités brutales de la guerre.


source
Mak Çÿme Rìche Chãr

Jean Gabin est rentré de la guerre avec les cheveux tout blancs, il avait la quarantaine...

Il est fortement marqué, ça n'a pas dû être une opération de plaisir.