Chine/USA la guerre va arriver

D apres ce que j ai lu,la Chine n est pas mieux que les USA.
Ils veulent aussi un nouvel ordre mondial mais different.
C est peut etre ce qu il peut nous sauver,qu ils s echarpent entre eux pour savoir qui va dominer le monde mais ils sont d accord sur beaucoup de points...


A noter que les entreprises et les gens ci dessous sont aussi affilies a des entitees atlantistes pour un meme but,le gouvernement mondial...
Le PCC et le controle de la population partout dans le monde.

Les chinois sont des marchands, des commerçants.
Pour le reste...

Un porte avion chinois le Fujian est entré en action, du moins pour des manœuvres et ou essais. 

Z'ont bien de droit de faire des manoeuvres.
Il me semble que les amerloques ont 12 task forces, chacune avec un porte-avions, nucléaire ?, sans cesse déployés autour de la planète...

vania a écrit:

Z'ont bien de droit de faire des manoeuvres.
Il me semble que les amerloques ont 12 task forces, chacune avec un porte-avions, nucléaire ?, sans cesse déployés autour de la planète...

Tu viens de résumer tout en quelques mots : les amerloques, mais eux ont le droit, pas les autres. 

Tôt un matin ce mois-ci, 864 parachutistes de l’armée se sont entassés dans des avions de transport C-17 sur une base en Alaska
et ont décollé pour un exercice de guerre entre trois montagnes volcaniques sur la grande île d’Hawaï.
Seuls 492 ont survécu.
Certains des C-17 ont eu des problèmes avec leurs portes, tandis que d’autres ont été forcés d’atterrir tôt.
Quelques-uns des parachutistes qui l’ont fait se sont foulé les chevilles ou ont subi un traumatisme crânien.
Et l’un d’eux – un soldat de 19 ans – a commencé à tomber rapidement lorsque son parachute ne s’est pas ouvert.





De l’autre côté du terrain, des cris de « tirez votre réserve » ont été entendus avant que le jeune soldat ne touche le sol et que les médecins ne courent pour le soigner.
La scène horrifiante et ses conséquences résument le pire cauchemar de chaque sauteur.
La chute de 1 200 pieds d’Erik Partida, de deuxième classe, a également été un rappel à la réalité alors que l’armée américaine se transforme,
ainsi que ses centaines de milliers de jeunes hommes et femmes, pour une autre guerre, celle-ci un conflit potentiel avec la Chine.

Le Pentagone l’appelle une guerre entre grandes puissances, et ce serait exponentiellement plus dangereux.
Cela mettrait les deux armées les plus puissantes du monde – toutes deux des superpuissances nucléaires – en conflit direct, entraînant peut-être
d’autres adversaires nucléaires, y compris la Corée du Nord et la Russie.
Les troupes américaines seraient tuées, en nombre qui pourrait éventuellement dépasser le bilan des conflits les plus meurtriers de l’Amérique.

Une telle guerre se déroulerait sur terre, en mer, dans les airs et dans l’espace. C’est exactement pour cela que l’armée s’entraîne.

Oubliez les Marines, qui peuvent se rendre n’importe où rapidement, car ils voyagent légers.
Ou la marine, qui vit pratiquement dans le Pacifique. Ces services, qui ont joué un rôle important dans le Pacifique pendant la Seconde Guerre mondiale,
ont la planification d’un conflit en Asie inscrite dans leur ADN.

Mais maintenant, alors que les risques de guerre avec la Chine augmentent, l’armée lourde et lourde tente de se transformer après deux décennies de lutte
contre le terrorisme en Afghanistan et au Moyen-Orient. Contrairement aux talibans ou à d’autres insurgés, la Chine disposera de satellites capables de voir
les formations de troupes depuis le ciel. L’armée doit, en substance, apprendre à voler sous le radar.

Pour tester la capacité de l’armée à se déployer rapidement et à combattre sur les chaînes d’îles du Pacifique, les soldats de la 25e division d’infanterie,
ainsi que des troupes japonaises, australiennes, indonésiennes et d’autres troupes partenaires, ont descendu en rappel dans les ravins de la jungle,
puis ont fait les ascensions humides, chargés de matériel.

À environ 28 miles de là, à Pearl Harbor, les équipages des navires de transport de l’armée ont mis au point diverses façons de décharger l’équipement militaire
et les troupes dont ils auront besoin en cas de guerre dans le Pacifique.
Et non loin de la côte nord d’Oahu, des soldats ont travaillé à dissimuler une unité de commandement et de contrôle de plusieurs véhicules,
avec des postes informatiques à grand écran, de sorte qu’il était presque impossible de la distinguer de la forêt verdoyante.

L’ancien président Donald J. Trump et la vice-présidente Kamala Harris ont décrit des approches très différentes de la guerre de la Russie en Ukraine.
Leurs approches de la tourmente au Moyen-Orient devraient également être au moins différentes sur le plan rhétorique.

Mais quel que soit le vainqueur en novembre, les États-Unis continueront à se préparer à la guerre avec la Chine.
Pékin a clairement indiqué qu’il chercherait à étendre son pouvoir en Asie, en allant de la militarisation des rochers inhabités du Pacifique
à la revendication de la souveraineté sur les eaux internationales.
Et tout cela commence avec Taïwan, que le président Xi Jinping a ordonné à l’armée chinoise d’être prête à envahir d’ici 2027.

Bien que Taïwan dispose de ses propres défenses, les experts militaires dis-les qu’il est difficile de voir comment l’île repousserait une invasion chinoise
sans l’aide des États-Unis. Une telle décision serait prise par celui qui serait président à ce moment-là, mais les décideurs politiques américains craignent que rester
en dehors de cela ne soit pas une option si les États-Unis veulent maintenir leur domination.
« Mon sentiment est qu’une invasion chinoise réussie de Taïwan enverrait des ondes massives dans toute la région », a déclaré Seth Jones,
vice-président principal du Center for Strategic and International Studies.
« La Chine émergerait probablement comme la puissance militaire dominante dans la région, et non les États-Unis, et cela déclencherait une gamme d’effets de deuxième
et de troisième ordre. »

Par exemple, les alliés de l’Amérique dans le Pacifique pourraient perdre confiance dans la dissuasion américaine et tenter de conclure des accords de sécurité
avec la Chine. Le Japon et la Corée du Sud – tous deux alliés des États-Unis – pourraient rejoindre le club nucléaire comme moyen de se défendre contre la Chine.
« Est-ce tout à fait la chute de l’Empire romain ? », a déclaré M. Jones. « Je ne sais pas, mais c’est le bon genre de question à poser. »

« Tyrannie de la distance »
L’armée américaine sait à quel point il serait difficile d’envahir Taïwan.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors que l’île s’appelait Formose et était occupée par le Japon, les chefs d’état-major interarmées ont mis
au point l’opération Causeway, un plan d’invasion qui donnerait aux États-Unis une base plus proche du Japon à partir de laquelle attaquer.
Le général Douglas MacArthur s’est opposé à l’invasion de Taïwan, la jugeant trop risquée ; Il s’agissait de traverser une mer contestée pour se battre
sur un terrain complexe contre une armée bien défendue.
Les planificateurs militaires ont déclaré qu’un assaut amphibie sur l’île aurait été beaucoup plus difficile que le débarquement du jour J
en Normandie.

Peu de planificateurs de l’armée pensent que l’armée chinoise est prête à entreprendre un assaut amphibie contre Taïwan.
« La première chose que vous devez faire est de générer une force d’invasion, qui serait une force assez importante, pour aller sur une île qui a une défense préparée »,
a déclaré le major-général Jeffrey A. VanAntwerp, directeur des opérations du commandement du Pacifique de l’armée, dans une interview.
« Il y a 100 miles du détroit de Taïwan que vous devez traverser, et vous le faites dans de grands navires de transport qui sont très vulnérables pendant cette traversée. »

Selon les planificateurs militaires, la Chine utiliserait très probablement des navires amphibies légers pour tenter de sécuriser une tête de pont à Taïwan,
mais ces navires devraient naviguer dans des eaux fortement minées.
Et alors que les forces d’assaut aérien essaieraient probablement de cibler les infrastructures, en fin de compte, il n’y a aucun moyen viable de s’emparer
d’une île aussi grande que Taïwan, avec ses propres défenses et 23 millions d’habitants, sans mettre une force sur le terrain – des troupes qui devraient venir par la mer.
« Vous ne pouvez pas le faire sans pousser une grande force de débarquement à travers le détroit sur des navires », a déclaré le général VanAntwerp.
« Il n’y a pas d’autre moyen. »

La Chine y travaille donc. Les planificateurs militaires chinois ont réutilisé des ferries civils pour transporter des troupes et du matériel à travers le détroit
et travaillent à la construction de jetées flottantes, ont déclaré des responsables américains.

Le Pentagone n’a pas voulu entrer dans les détails sur la façon dont les formateurs américains aident Taïwan à construire des défenses.
Mais faire comprendre aux Chinois qu’un assaut amphibie serait difficile fait partie du plan de dissuasion de l’armée américaine.

Des soldats travaillant dans un centre d’opérations mobile qui était déguisé pour être indiscernable de la forêt verdoyante.




Les responsables de l’armée ont également déclaré qu’ils espéraient que des exercices conjoints avec des partenaires du Pacifique
montreraient aux responsables militaires chinois toutes les capacités que les États-Unis ont et peuvent apporter.

Les responsables soulignent que plus d’un quart des 450 000 soldats en service actif du service sont déjà affectés au Pacifique.
Mais ils définissent cette région de manière libérale, pour englober les troupes non seulement du Japon, de la Corée du Sud et des Philippines, mais aussi de l’Alaska,
d’Hawaï, de Washington, de l’Oregon et de la Californie.
Taïwan se trouve à plus de 6 000 miles de la base conjointe Lewis-McChord près de Tacoma, dans l’État de Washington, une séparation que l’armée qualifie
de « tyrannie de la distance ».

Amarré à Pearl Harbor, le navire de l’armée américaine Major General Robert Smalls sera essentiel pour faire entrer tous les appareils de l’armée
sur le théâtre du Pacifique. Le navire de 300 pieds de long, qui est récemment arrivé de Norfolk, en Virginie, via le canal de Panama pour les exercices,
peut s’échouer, déchargeant 900 tonnes de véhicules et de marchandises – et, si nécessaire, de troupes – sur les îles.

Le capitaine Ander Thompson, commandant du septième détachement de plongée du génie de Pearl Harbor, faisait partie d’un détachement
qui a passé plusieurs semaines l’été dernier avec des plongeurs militaires philippins à dégager les débris d’un port
stratégique de l’île de Batan, dans le nord des Philippines, à environ 120 miles au sud de Taïwan.

L’opération, qui a également approfondi le port, donnera aux navires de l’armée et de la marine un meilleur accès au port si un conflit éclate.
Batan se trouve près du canal Bashi, un point de transit potentiel pour les forces américaines se dirigeant vers le détroit de Taïwan.

L’armée de l’air américaine ne peut pas établir la supériorité aérienne sur l’ensemble de l’océan Pacifique, mais elle peut ouvrir des couloirs,
ce que l’armée appelle des « lignes intérieures » pour un mouvement sans entrave, entre, par exemple, les Philippines et d’autres îles.
Les États-Unis ont déjà des troupes en place – environ 54 000 au Japon, 25 000 en Corée du Sud et un nombre beaucoup plus faible aux Philippines.

Les exercices d’Hawaï, qui se sont terminés à la mi-octobre, ont été conçus pour reproduire les conditions auxquelles les troupes peuvent s’attendre
en cas de guerre avec la Chine. Fini les treillis couleur sable du désert qui sont devenus de rigueur pendant les guerres d’Afghanistan et d’Irak.
Les troupes à Hawaï portaient des treillis de jungle et du maquillage pour le visage.

Les troupes ont travaillé sur de nouvelles manœuvres après avoir regardé l’Ukraine combattre la Russie.
Ils ont démantelé et déplacé des opérations de commandement et de contrôle importantes et lourdes en 20 à 30 minutes, et ont communiqué entre eux
sans utiliser de satellites de l’armée, de sorte qu’un adversaire ne serait pas en mesure de capter leurs conversations.

Apprendre à avancer en petites équipes capables d’attaquer puis de se dissiper dans les airs était la clé.
L’armée a envoyé aux troupes 96 nouveaux véhicules d’escouade d’infanterie vert forêt tropicale qui peuvent rapidement déplacer jusqu’à neuf soldats chacun
à travers la jungle.
« C’est tellement puissant de pouvoir envoyer l’équivalent d’une compagnie de personnel, soit environ 130 personnes, sur ces véhicules, le long de plusieurs itinéraires,
puis à un moment donné, de les rassembler pour attaquer l’ennemi, puis de disparaître dans différentes directions », a déclaré le major-général Marcus Evans,
commandant de la 25e division d’infanterie.

Le premier des 864 parachutistes de l’armée qui ont décollé de l’Alaska a commencé à apparaître dans le ciel au-dessus des trois montagnes volcaniques
juste après le lever du soleil le 7 octobre.
Depuis le sol, le spectacle pourrait facilement passer pour une publicité aéroportée de l’armée, alors que des vagues de sauteurs jaillissaient du flanc des C-17
et flottaient vers le sol, leurs parachutes gonflant.
Tous les soldats étaient censés être équipés de deux parachutes, y compris une réserve si leur parachute principal ne se déployait pas dans les quatre secondes
suivant leur saut de l’avion.






Vers 7 h 35, le lieutenant-colonel Tim Alvarado, commandant de la garnison de la zone d’entraînement de Pohakuloa, a regardé le soleil à l’approche du prochain C-17.
"Les parachutistes devraient être debout à ce moment-là ; Ils auraient reçu l’avertissement de 10 minutes », a-t-il dit, en me racontant le saut.
« Le maître de saut surveille à l’extérieur, s’assurant qu’il n’y a pas d’obstacles pendant que les parachutistes se préparent à sauter. »

Le C-17 rugissait au-dessus de leurs têtes, et les sauteurs ont commencé à apparaître comme des parapluies fermés qui s’ouvraient dans le ciel
à mesure que leurs parachutes se dilataient. « Certains d’entre eux se tordent et doivent dérouler leurs cordes pour ne pas atterrir maladroitement »,
a poursuivi le colonel Alvarado.
Puis, examinant la scène, il a dit : « Ce n’est pas juste. »

Devant nous, ce qui ressemblait à une cigarette dans le ciel tombait au milieu de la canopée de parachutes ballonnés.
Au-dessus du sauteur, le soldat Partida, l’air se déplaçait dans son parachute, créant une ligne ondulée. Mais l’air n’a pas gonflé la goulotte.
« Tirez votre réserve », dit doucement le colonel Alvarado.
La réserve n’a jamais été déployée. Le soldat Partida a disparu sous une berme lorsqu’il a touché le sol.
Le capitaine Kaleigh Mullen, un médecin de l’armée, s’est mis à courir. Les médecins postés dans toute la zone de largage faisaient de même.


Un hélicoptère médical Black Hawk transportant le soldat qui est tombé au sol sans son parachute.




Des membres de l’unité du soldat Partida l’ont rejoint les premiers. Il était calme et conscient, mais sa colonne vertébrale était endommagée.
Le capitaine Mullen est arrivé, haletant après son sprint de sept minutes. Elle et le major Mitch Marks, un assistant médical de l’armée, ont soutenu son cou
et sa colonne vertébrale pour s’assurer qu’il ne subissait pas de dommages supplémentaires.
« D’accord, il était très bavard, et il a pu dire qu’il n’avait aucune douleur », m’a dit le capitaine Mullen plus tard.
Elle a pris sa première série de signes vitaux à 7 h 45 et, à 8 h 20, l’hélicoptère d’évacuation sanitaire Black Hawk était en vol, en route vers l’hôpital.
Un communiqué publié le lendemain a fourni peu de détails. « Un soldat de la 11e division aéroportée a été blessé lors d’un incident d’entraînement à Hawaï aujourd’hui »,
a-t-il déclaré. Le communiqué ne fait aucune mention de la goulotte non ouverte ou de la réserve.

Il n’a pas non plus mentionné que les médecins ont par la suite fusionné les vertèbres du soldat Partida lors de plusieurs interventions chirurgicales.
On ne sait pas s’il pourra marcher à nouveau.
Au lieu de cela, la déclaration se terminait par une description de l’objectif des exercices, qui comprenait la préparation des parachutistes
pour des « opérations d’action décisive dans la zone de responsabilité de l’armée américaine dans le Pacifique ».


source
nytimes.com

Citation :

Et tout cela commence avec Taïwan, que le président Xi Jinping a ordonné à l’armée chinoise d’être prête à envahir d’ici 2027

Les sources de ces affirmations ?...

vania a écrit:

Citation :

Et tout cela commence avec Taïwan, que le président Xi Jinping a ordonné à l’armée chinoise d’être prête à envahir d’ici 2027

Les sources de ces affirmations ?...

Ca se sait depuis longtemps, infos etc...

C'est pas ça des sources sûres ...

Il me semble que c etait dans les scenaris possibles du Pentagone.
Mais il est clair que la guerre en Ukraine doit etre finie avant et ca n en prend pas le chemin....
Le Dombass est loin d etre libere malgre l avance rapide des russes en ce moment....on pourrait
avoir une pause cet hiver des 2 cotes pour trouver des soldats pour les ukrainiens et reposer les soldats
russes apres les avancees d l ete/automne 2024.

La crainte des USA pour la guerre a venir....

Quand il y aura la bataille de Taiwan USA/Chine,la Coree du Nord bombardera allegrement les bases OTAN aux alentours a coup de missiles ballistiques ....

Corée du Sud,les bases US

Séoul (Camp Humphreys) (Camp Eagle) (Camp Long) (Yongsan)
Jinhae (COMFLEACTS Jinhae)
Dongducheon (Camp Casey)
Gunsan (Kunsan Air Base)
Osan (Osan Air Base)
Pusan (Camp Hialeah)
Daegu (Camp Henry)


Japon,les bases US

Atsugi (Atsugi Naval Air Facility)
Camp Zama
Iwakuni (MCAS Iwakuni)
Kadena (Kadena Air Base)
Misawa (Misawa Naval Air Facility) (Misawa Air Base)
Préfecture d'Okinawa (Naval Hospital Okinawa, Marine Corps Base Camp Smedley D. Butler, Torii Station, il reste de très nombreuses bases
et aéroports militaires américains sur l'île principale d'Okinawa, appelée Okinawa Honto).
Sasebo (Sasebo Fleet Activities)
Yokosuka (Yokosuka Fleet Activities), quartier général de la Septième flotte américaine,
Fussa (Yokota Air Base)


Les US ont peur que la Russie fournisse des missiles hypersoniques Kinjal  contre les porte-avions stationnes au Japon.
Pour le vecteur,l allie chinois pourrait fournir les Mig-31 adequat pour les missions.(avec modifications faites par les russes)

Chine : en 1992, les Chinois avaient obtenu l'accord de la fédération de Russie pour l'achat de 24 exemplaires du MiG-31.
Ces appareils auraient dû être assemblés à une toute nouvelle usine installée à Shenyang, avec l'objectif d'atteindre une cadence de production de
quatre appareils par mois vers l'année 2000.
D'après certaines sources, l'accord intégrait également la construction de près de sept cents appareils, dont deux cents auraient déjà été mis en service vers 2010.

Bien sur,tout cela serait secret et les americains qui sous estime la Coree du nord pouraient avoir de mauvaises surprises a moins d attaques
preventives comme pour l Iran.
Mais comme pour l Iran,la Coree du Nord a des bases aeriennes sousterraines dans les montagnes difficiles a detruire...




Bases navales

Amerloques toujours prêts à mordre, ou à craindre d'être mordus.