Chine/USA la guerre va arriver

Etonnant que ces Gligliches, qui sont en plein marasme économique, soient aussi belliqueux...

vania a écrit:

Etonnant que ces Gligliches, qui sont en plein marasme économique, soient aussi belliqueux...

Ils l'ont toujours été et de plus le nouveau est nouveau en tout, alors faut le sortir pour le dépoussiérer.

Washington vend des munitions à Taïwan pour 619 millions de dollars

Les États-Unis ont approuvé la vente à Taïwan pour 619 millions de dollars de munitions à destination de ses avions de chasse F-16, a annoncé mercredi 1er mars le Pentagone.
Cette vente, qui risque de froisser Pékin, comprend 100 missiles anti-radar à grande vitesse (HARM) AGM-88B, 200 missiles air-air de moyenne portée avancés (AMRAAM) AIM-120C-8,
ainsi que des lanceurs et des missiles factices d’exercice.

La vente renforcera la « capacité de Taïwan à assurer la défense de son espace aérien, la sécurité régionale et l’interopérabilité avec les Etats-Unis », a affirmé le Pentagone.

Elle intervient au moment où les tensions entre Washington et Pékin sont au plus haut, notamment au sujet de Taïwan que la Chine communiste menace de prendre un jour
par la force, car considérant l’île démocratique comme faisant partie de son territoire.
Le département d’Etat américain a indiqué séparément que la vente d’armes annoncée par le Pentagone était conforme aux positions traditionnelles des Etats-Unis
à l’égard de Pékin et de Taïpei. « Le soutien des Etats-Unis à Taïwan et les mesures prises par ce pays pour renforcer ses capacités d’autodéfense contribuent au maintien de la paix
et de la stabilité dans le détroit de Taïwan et dans la région », a estimé le département d’Etat.

Le gouvernement taïwanais a salué cette première vente d'armes annoncée par les Etats-Unis cette année, et la neuvième sous le président Joe Biden.
«Face à l'expansion militaire continue et au comportement provocateur de la Chine, Taïwan continuera à améliorer activement ses capacités d'autodéfense»,
a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères taïwanais Jeff Liu.


source
lefigaro.fr

Ca, c'est une manoeuvre pour dissuader Pékin de livrer des armes aux Russes...
Genre "vous le faites, on le fait !...".

L’armée chinoise mise en « alerte maximale »

Les États-Unis menacent la paix et la stabilité dans le détroit de Taiwan, a déclaré un porte-parole de l’armée chinoise
Le récent vol d’un avion de guerre américain à travers le détroit de Taiwan est une menace pour la stabilité de la région, a déclaré un porte-parole de l’armée chinoise,
cité lundi par le China Daily.

L’avion de patrouille et de reconnaissance anti-sous-marin P-8A Poseidon a survolé lundi le détroit séparant la Chine continentale de l’île autonome de Taïwan.
Un Su-27 chinois a décollé et a surveillé l’avion espion américain sur sa trajectoire.





Le colonel supérieur Shi Yi, porte-parole du Commandement du théâtre oriental de l’APL (Armée populaire de libération), a déclaré que cette manœuvre «
a délibérément endommagé la situation régionale et mis en péril la paix et la stabilité » dans la région.
Il a ajouté que l’armée chinoise était « en état d’alerte maximale pour sauvegarder résolument la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale ».

Les forces américaines dans la région ont reconnu la manœuvre.
« Les États-Unis continueront de voler, de naviguer et d’opérer partout où le droit international le permet, y compris dans le détroit de Taiwan »,
a déclaré le 7e commandement de la flotte dans un communiqué.


source
rt.com

A l’instar de l’Ukraine, qui pendant que l’Occident prétendait négocier les accords de Minsk pour gagner du temps, était armée et entraînée depuis 2014
par ses « amis occidentaux », Taïwan prend le même chemin suicidaire du conflit militaire avec la Chine, sans avoir repris la voix de négociations directes avec Pekin
exemptes de l’interférence néfaste du « protecteur américain ».

Le Congrès américain a déjà budgété des manœuvres militaires conjointes avec Taïwan, Bordure du Pacifique 2024, que les forces américaines vont diriger,
« pour la sécurité de Taïwan ».

Contrairement à l’Ukraine qui est approvisionnée en armes et mercenaires occidentaux par voix de terre, il est probable que Taïwan sera encerclée dans un blocus naval chinois
et coupée de tout approvisionnement occidental, ce qui a mené Washington à décider de faire de Taïwan un centre de stockage d’armes dès 2023,
en prévision d’un conflit avec la Chine qui pourrait durer:
il faut que Taïwan dispose sur son territoire, dès le début des hostilités, de toutes les armes nécessaires pour faire durer le conflit, le temps que l’Occident mette en place
une « coalition des volontaires » comme ce fut le cas contre l’Irak en 2003.

A ce sujet, le général des Marines au Japon a récemment déclaré en toute candeur au Financial Times que « les États-Unis préparent le terrain pour une guerre avec la Chine
comme ils l’ont fait en Ukraine, allant jusqu’à pré-positionner les stocks d’armes, pour préparer le théâtre des opérations des années avant le conflit ».


Sur le terrain, la réalité est encore plus inquiétante.
Tout en déclarant à chaque intervention médiatique qu’ils respectent leur accord avec la Chine sur l’existence d’une Chine unique, Washington a redéployé il y a quelques années
des troupes sur l’île, et vient d’annoncer le quadruplement de ses effectifs ce mois-ci.
La délégation américaine de l’époque s’était engagée à ne plus poster d’effectifs militaires à Taïwan en 1972, lors de la signature du Communiqué de Shanghai,
clôturant les réunions entre Richard Nixon et Zhou Enlai, notamment sur le sujet de la politique de la Chine unique.

Le communiqué officiel de la délégation américaine mentionne que « les Chinois des deux côtés du détroit de Taïwan soutiennent qu’il n’y a qu’une Chine
et que Taïwan fait partie de la Chine », et réaffirme « l’intérêt qu’il porte au règlement pacifique de la question de Taïwan par les Chinois eux-mêmes »
et « que l’objectif final est de retirer toutes les forces et installations militaires américaines de Taïwan », ce qui fut le cas en 1979.

Ce récent redéploiement militaire américain à Taïwan, auquel Pekin est naturellement en droit de s’opposer, relève donc non seulement d’une nouvelle violation
d’un accord international, mais également d’un acte de guerre commis par Washington contre la Chine, dans l’indifférence générale.

Plus inquiétante encore est la récente déclaration du porte voix de l’État profond occidental Anthony Blinken, selon laquelle la question de Taïwan n’est pas une question interne
à la Chine, mais concernerait selon lui le monde entier.
Aussi absurde que cela puisse sembler, il s’agit en réalité d’une stratégie dont les premiers jalons ont été posés dans les années 50 par ses prédécesseurs John Foster Dulles
et Henry Kissinger, qu’ils appelèrent à l’époque « une ambiguïté constructive » (constructive pour les États-Unis, il va sans dire).

Dulles a révélé dès 1955 les intentions cachées du traité de San Francisco (qu’il co-rédigea avec Kissinger et d’autres) lorsqu’il précisa que « les États-Unis
ont aussi un intérêt dans Taïwan, que nous avons repris au Japon […], par conséquent les États-Unis pourraient eux aussi avoir une revendication légale sur Taïwan
jusqu’à ce que la question soit réglée d’une manière ou d’une autre.
Nous ne pouvons donc pas admettre que le règlement de la question de Taïwan ne soit qu’un simple problème interne (à la Chine) » .
Il était donc bien prévu depuis la fin de la deuxième guerre mondiale de ne pas résoudre la question de Taïwan, et de la garder sous le coude pour le jour
où il serait décider de contester frontalement à Pekin sa souveraineté sur l’île.
Anthony Blinken vient d’annoncer que la question de Taïwan concerne le monde entier. Lui ou un autre agent impérial ne tardera pas à développer, et annoncer que l’hégémon
a lui aussi une revendication territoriale sur Taïwan.

Heureusement pour la population taïwanaise, qui dans son immense majorité n’a aucune envie de se positionner sur la question de la réunification ou l’indépendance formelle,
il existe encore à Taïwan des politiciens qui ne jouent pas la carte de l’hypothétique menace chinoise pour un rapide gain électoral et un peu de pouvoir délégué par Washington.

La récente visite à Taipei de fonctionnaires de la ville de Shanghai, à l’initiative du nouveau maire de la ville de Taipei, Jiang Wan’an est un pas en avant
vers une réconciliation entre les deux rives du détroit de Taïwan.
La visite a été approuvée par le Conseil des affaires continentales de Taïwan, organe sous la tutelle directe du Yuan exécutif, présidé par le Premier ministre taïwanais.
On peut donc espérer que ces visites de haut niveau continuent par des canaux formels et informels, en dépit des tentatives de Washington de les saboter
par la multiplication au même moment de visites officielles d’agents impériaux à Taïwan.

Deuxième facteur de stabilisation dans la région:
la Chine et la Russie ont décidé, selon leur propre expression, de « synchroniser leur montre » pour préserver la stabilité nécessaire aux relations internationales,
mise à mal par les caprices de la clique néo-conservatrice qui a pris le pouvoir à Washington.
Lors d’une récente rencontre avec le chef de la diplomatie chinoise Wang Yi, Nikolai Patrushev, secrétaire du Conseil pour la sécurité nationale de Russie,
a réaffirmé la solidité à toute épreuve de la relation sino-russe ainsi que « le soutient indéfectible de la Russie à la Chine sur les questions de Taïwan,
du Xinjiang, du Tibet et de Hong Kong, qui sont utilisées par l’Occident pour discréditer la Chine ».

Face à sa défaite prochaine en Ukraine, qu’il abandonnera après l’avoir détruite et délaissée à un destin russo-polonais, l’hégémon devra désormais faire face
à la même détermination en Asie à contrer son dessein maléfique de coaliser les moutons sacrificiels que sont la Corée, le Japon, Taïwan et les Philippines
contre leur voisin chinois, dans le but unique de préserver la primauté chancelante de l’hégémon anglo-américain.


Laurent Michelon


source
rt.com

Citation :

« Les États-Unis continueront de voler, de naviguer et d’opérer partout où le droit international le permet, y compris dans le détroit de Taiwan », a déclaré le 7e commandement de la flotte dans un communiqué.

Une réciprocité qui, du fait des Chinois ou des Russes, leur est à chaque fois insupportable...

Présence militaire américaine renforcée aux Philippines : Pékin prévient

La république populaire de Chine a prévenu les Philippines, ce mardi 4 avril, que sa décision d’accueillir des soldats et du matériel américains sur quatre bases supplémentaires de son territoire aura des conséquences. La veille, Manille avait rendu publique la localisation de ces quatre positions hautement stratégiques.

Manille a dévoilé lundi l’emplacement de quatre nouvelles bases militaires que les Philippines avait déjà prévu, en février, de mettre à la disposition des États-Unis
sur leur territoire, provoquant l’ire de la Chine.
Selon Pékin, le nouvel accord bilatéral autorisant l’accès à Washington de ces quatre nouvelles bases, contre seulement cinq auparavant,
est de nature à « mettre en péril la paix et la stabilité régionales ».
« Pour leur propre intérêt », les Américains « renforcent continuellement leur déploiement militaire dans la région », déplore Mao Ning, une porte-parole du ministère chinois
des Affaires étrangères.
« Cela ne manquera pas d’aggraver la tension militaire », prévient et même menace la porte-parole de la diplomatie chinoise, qui s’exprimait dans le cadre d’une conférence
de presse régulière.


En plus des 4 bases deja existantes aux Philippines..




Dans le nord des Philippines, les militaires américains vont pouvoir accéder à la base navale de Santa Ana, dans la province septentrionale de Cagayan,
à environ 400 kilomètres de Taïwan, ainsi qu'à un aéroport et à un camp militaire plus au sud sur l'île de Luzon, permettant des activités à la fois à l'est et à l'ouest du pays.

Le quatrième site, qui retient l'attention également, se trouve sur l'archipel de Balabac, au large de la pointe sud de l'île de Palawan, face la Malaisie,
à l'intersection entre la mer de Chine méridionale et la mer de Sulu.
Les quatre sites sont hautement stratégiques, notamment pour garder un œil sur le trafic maritime, sur et sous l'eau.


Manille, un allié tiraillé
Les Philippines et les États-Unis sont alliés de longue date.
Le père de l'actuel président, Ferdinand Marcos, ou Benigno Aquino III, y ont contribué. Les annonces récentes sont la continuation de la politique de ce dernier.
Le traité permettant aux soldats américains d'accéder à cinq bases, et à y stocker du matériel militaire – désormais à neuf bases, donc –, date de 2014.
C'est le Enhanced Defense Cooperation Agreement (EDCA).
Mais Rodrigo Duterte, successeur de M. Aquino et prédécesseur de Ferdinand Marcos Jr, avait recherché un autre équilibre.
Il espérait en effet ménager la Chine, dans l'espoir d'améliorer la relation économique.

Signe que l'alliance d'autan avec Washington n'est plus aussi naturelle de nos jours, le gouverneur de Cagayan, Manuel Mamba, s'était publiquement opposé
à la présence de tels sites dans sa province.
Il craint en effet que les investissements chinois, dans le jeu de rétorsions classique observé par la diplomatie de Pékin, soient mis en péril.
Ou encore que sa province devienne une cible dans un conflit autour de Taïwan.


source
rfi.fr

Tout est fait pour mettre la sagesse/patience chinoise en défaut...

On croit rever....les americains provoquent les chinois et apres ils font leur pleureuses...

Le Pentagone a accusé le pilote d’un chasseur chinois J-11 d’avoir procédé à une « interception dangereuse » d’un bombardier B-52H Stratofortress de l’armée de l’air américaine
au-dessus de la mer de Chine méridionale très contestée.
L’interception, la dernière d’une longue séquence impliquant des jets et des avions chinois exploités par l’armée américaine et ses alliés, intervient après l’annonce
la semaine dernière que des B-52 avaient été déployés à la base aérienne d’Andersen, à Guam, pour des opérations de la Bomber Task Force basées à l’avant.

Dans un communiqué de presse publié aujourd’hui, le département des affaires publiques du Commandement indo-pacifique des États-Unis a fourni une vidéo de l’interception,
qui a eu lieu le 24 octobre.

Le communiqué indique que « le pilote du J-11 a intercepté de manière dangereuse un avion B-52 de l’armée de l’air américaine, qui menait légalement des opérations de routine
au-dessus de la mer de Chine méridionale dans l’espace aérien international.
Au cours de l’interception de nuit, le pilote du CRP a volé d’une manière dangereuse et non professionnelle, [et] a fait preuve d’une mauvaise maîtrise de l’aviation
en s’approchant à une vitesse excessive incontrôlée, volant en dessous, devant et à moins de 10 pieds du B-52, mettant les deux aéronefs en danger de collision.
Nous craignons que ce pilote ne savait pas à quel point il était sur le point de provoquer une collision.

La vidéo montre certainement le chasseur chinois s’approchant très près du B-52, bien que l’on puisse se demander dans quelle mesure il y avait un risque réel
de collision. Cependant, l’interception a été effectuée de nuit, avec une visibilité limitée, ce qui a ajouté un autre niveau de danger.
On peut voir le J-11 déployer complètement son aérofrein dorsal pour décélérer et mieux tenir sa position avec le bombardier.





Les images ont été recueillies à l’aide de la nacelle de tireur d’élite montée sous l’aile du B-52, qui est affectée à la 2e escadre de bombardement
de la base aérienne de Barksdale, en Louisiane.

Les traqueurs de vol ont révélé une paire de B-52H déployés à la base aérienne d’Andersen, à Guam, effectuant une mission au-dessus de la mer de Chine méridionale
plus tôt dans la journée :




Le chasseur intercepteur est un biplace J-11 de l’Armée populaire de libération (APL) chinoise. Il n’est pas immédiatement clair s’il était exploité par l’armée de l’air de l’APL
(ce qui en fait un J-11BS) ou s’il provient de la marine de l’APL (J-11BSH).
Quoi qu’il en soit, l’avion est une copie chinoise sans licence du Su-27UB biplace de conception soviétique.
Le J-11 transporte des missiles air-air, une procédure typique pour ce type d’interceptions.


Un J-11 biplace de la marine de l’Armée populaire de libération est vu depuis un avion militaire américain lors d’une précédente interception au-dessus
de la mer de Chine méridionale.
À cette occasion, le Pentagone a déclaré qu’il « effectuait une interception coercitive et risquée contre un actif américain opérant légalement en mer de Chine méridionale,
y compris en s’approchant d’une distance de seulement 40 pieds avant de voler à plusieurs reprises au-dessus et au-dessous de l’avion américain
et de faire clignoter ses armes.
Après que l’opérateur américain a contacté par radio l’avion de chasse de l’APL, le pilote de l’APL a répondu en utilisant un langage explicite, y compris un juron.
Source:Département de la Défense des États-Unis

Que font les americains en mer de chine meridionale ?
On imagine les chinois patrouiller le long des cotes americaines,quel serait le comportement des avions US ?

Pour l’instant, cependant, le Pentagone est plus préoccupé par ce qu’il prétend être une liste croissante de « comportements dangereux, non professionnels
et autres de la Chine qui cherchent à empiéter sur la capacité des États-Unis et d’autres nations à mener en toute sécurité des opérations là où le droit international le permet »
– pour citer le rapport 2023 sur la puissance militaire de la Chine.

Le 17 octobre, le ministère de la Défense a publié une collection d’images et de vidéos déclassifiées qui, selon lui, fournissent des preuves d’un
« comportement opérationnel dangereux et risqué de l’Armée populaire de libération (APL) contre les avions américains opérant légalement dans l’espace aérien international
en mer de Chine orientale et méridionale ». Depuis l’automne 2021, le Pentagone affirme qu’il y a eu plus de 180 interactions de ce type.

Certains de ces incidents que nous avons déjà couverts ici à The War Zone, y compris un chasseur J-16 qui, en mai 2023, « a volé directement devant le nez »
d’un avion de surveillance RC-135 de l’armée de l’air américaine, le forçant à voler à travers ses turbulences de sillage - une action connue sous le nom de « coup de tête »
ou « coup de poing ».

ou encore

Un chasseur chinois Flanker au cours d’une « interception coercitive et risquée » contre un avion de patrouille maritime P-8 Poseidon de la marine américaine
en mer de Chine méridionale. Selon le Pentagone, « le chasseur de l’APL est passé devant l’avion américain à une distance de 100 mètres,
forçant l’avion américain à voler à travers les turbulences de sillage de l’avion de l’APL ».
Source:Département de la Défense des États-Unis




On rappelle simplement que les avions P-8 Poseidon et  RC-135 sont ni plus ni moins des avions espions qui photographient et enregistrent
toutes les operations chinoises dans la region...


Les interceptions par l’aviation chinoise se poursuivent depuis des décennies et font partie intégrante des opérations au-dessus de la mer de Chine méridionale, en particulier.

Mais quelle que soit la dangerosité ou non de l’interaction la plus récente, entre le J-11 et le B-52, il semble y avoir un modèle de comportement de plus en plus belliqueux
de la part des avions chinois.
En juin 2022, par exemple, un avion de patrouille maritime P-8A Poseidon de la Royal Australian Air Force aurait été endommagé par des contre-mesures lancées
par un J-16 chinois au-dessus de la mer de Chine méridionale.

Pour les États-Unis, il est impératif que les moyens militaires américains puissent opérer partout où les lois internationales le permettent.
Cela revêt une importance particulière dans la région indo-pacifique, où Pékin a une compréhension très différente de ce qui constitue l’espace aérien international
et les eaux internationales, et de ce qu’est son territoire souverain.

En fin de compte, qu’ils soient professionnels ou non, les enjeux sont très élevés dans ces interactions au-dessus de la mer de Chine méridionale,
en particulier du simple fait que Pékin revendique la grande majorité de ces eaux comme siennes.
Il en résulte des tensions de longue date entre Pékin, ses voisins, les États-Unis et ses alliés.

Alors que la Chine s’est lancée dans une militarisation accrue de la région de la mer de Chine méridionale, notamment par la construction de forteresses insulaires artificielles
dans ces eaux, les frictions n’ont fait que croître.

À ces revendications territoriales s’ajoutent les inquiétudes persistantes concernant une éventuelle action chinoise contre Taïwan, les responsables américains
parlant maintenant assez ouvertement de la perspective que Pékin cherche à prendre le contrôle de l’île le plus tôt possible, Pékin ayant adopté une position
de plus en plus agressive envers l’île ces dernières années n’a rien fait pour apaiser ces craintes.

Pour l’instant, tant que les avions américains et alliés continueront d’exercer leur droit d’opérer dans l’espace aérien international, et tant que les revendications territoriales
de la Chine seront en contradiction avec cela, des rencontres aériennes similaires resteront probablement régulières.



source
thedive.com

Citation :

Pékin ayant adopté une position de plus en plus agressive envers l’île ces dernières années n’a rien fait pour apaiser ces craintes.

Sur quelles bases, quelles sources avancent-ils ça ?!...

La Chine a une nouvelle cible à grande échelle du super-porte-avions américain Ford

La Chine a construit un nouveau porte-avions cible sur une vaste plage à l’extrémité nord-ouest du pays qui est une sonnerie morte pour le plus récent super-porte-avions
de la marine américaine, l’USS Gerald R. Ford.
L’objectif souligne l’attention continue de l’Armée populaire de libération sur l’expansion et le perfectionnement de sa capacité à engager des porte-avions américains
et d’autres navires de guerre sur de longues distances, ce qui comprend un arsenal croissant de missiles balistiques et de croisière antinavires.
Tout cela fait partie de l’évolution de la stratégie chinoise de lutte contre l’accès et de déni de zone dans une grande partie du Pacifique occidental.

L’image de la nouvelle cible du porte-avions sur le champ de tir dans le désert du Taklamakan, dans la province chinoise du Xinjiang, a été prise le 1er janvier
par Planet Labs.
Une silhouette de couleur noire à grande échelle sous la forme de l’USS Gerald R. Ford et des futurs porte-avions de cette classe, d’environ 1 085 pieds de long,
est clairement visible. Il y a aussi une structure dans la même position que l’île de Ford, ainsi que quatre pistes de catapulte marquées sur le « pont » aux mêmes endroits
qu’elles apparaissent sur le vrai navire.
Les sponsons uniques et d’autres affleurements, y compris une poupe plus large et carrée, que l’on trouve sur la Ford sont également présents dans la silhouette de la cible.

Une comparaison côte à côte du nouveau porte-avions dans le désert chinois du Taklamakan, en haut, et de l’USS Gerald R. Ford, en bas.




Divers mâts sont disséminés autour de la nouvelle cible de Ford.
D’une manière générale, ces mâts sont utilisés comme réflecteurs radar, qui peuvent être utilisés sous forme combinée pour imiter la signature radar complète du navire réel.
Ceci, à son tour, aiderait à créer un porte-avions « fantôme » complet dans le désert sans avoir besoin d’une construction plus importante.
Les mâts peuvent également être utilisés comme substituts pour des caractéristiques distinctes s’ils sont utilisés en petits groupes.

Certains des mâts pourraient également être surmontés d’antennes ou d’autres équipements à diverses fins d’essai.
Des mâts comme celui-ci ont été observés sur d’autres cibles dans la chaîne du désert du Taklamakan, ainsi qu’ailleurs, y compris en mer.
Dans le passé, The War Zone a mis en évidence à quel point ces caractéristiques sont particulièrement pertinentes pour le développement de nouveaux autodirecteurs
de radar améliorés pour les armes, d’autres capteurs, des contre-mesures et des systèmes de guerre électronique.


Un gros plan sur certains des mâts qui sont visibles sur la cible du porte-avions, y compris sur la structure de l’île.




Les travaux sur la nouvelle cible du transporteur ont commencé en novembre 2023.
Un examen des images satellites passées disponibles via Planet Labs montre également qu’un contour approximatif d’un porte-avions y est présent depuis un certain temps.
Plusieurs silhouettes de porte-avions plus petits ont également été érigées dans le contour plus large, puis retirées sur ce site du désert du Taklamakan à plusieurs reprises
depuis 2021.


Deux cibles porteuses plus petites, ainsi que le contour d’une plus grande, peuvent être vues sur cette image satellite prise le 28 juillet 2023.
C’est le même endroit où la plus grande cible de Ford est maintenant présente.

La marine américaine a pris livraison de Ford en 2019 après des années de problèmes techniques et d’autres retards.
Le véritable porte-avions est actuellement sur le chemin du retour vers son port d’attache à Norfolk, en Virginie, après avoir terminé son premier déploiement complet.
Le temps de Ford en mer avait été prolongé en raison du conflit entre Israël et Gaza.

Le site de la nouvelle cible chinoise de Ford se trouve à un peu moins de 2,8 miles (environ 4,5 kilomètres) au sud-est d’une autre cible de porte-avions à grande échelle
dans le Taklamakan qui a attiré une attention importante en 2021.
Cet objectif a également les mêmes dimensions générales qu’un transporteur de classe Ford, mais il lui manque encore des ajouts structurels significatifs.

D’autres cibles de type navire, y compris d’autres destinées à représenter des porte-avions et d’autres qui semblent être basées autour des destroyers de classe Arleigh Burke
de l’US Navy, parsèment la chaîne de tir du Taklamakan.
L’imagerie satellite montre qu’au moins l’une des cibles du destroyer, qui n’était auparavant qu’une silhouette avec divers mâts à réflecteur radar, a maintenant été améliorée
avec des caractéristiques de structure supplémentaires. Des cibles de destroyers améliorées similaires ont été observées sur ce champ de tir dans le passé.


La cible du destroyer avec des améliorations structurelles est vue sur cette image prise le 1er janvier 2024.





Tout cela reflète une tendance constante de la part de l’Armée populaire de libération (APL) chinoise à créer des cibles navales terrestres de plus en plus fidèles
pour s’entraîner et effectuer des tests au cours des dernières décennies.
La nouvelle cible de Ford est un monde à part des rectangles de béton et d’autres cibles grossièrement en forme de navire que les forces chinoises ont utilisées
il y a des années. L’utilisation de cibles plus représentatives de la réalité permet de produire des données plus précises pendant les tests.
Ils peuvent également ajouter un réalisme supplémentaire pendant les exercices d’entraînement, bien que des champs de tir comme celui du désert du Taklamakan
soient plus axés sur le soutien à la recherche et au développement et aux activités de test et d’évaluation.


Des cibles de silhouette de navire plus anciennes disposées dans le cadre d’une installation portuaire fictive dans un champ de tir chinois dans le désert de Gobi.




Les nouvelles cibles soulignent également l’investissement important et continu de l’APL dans les capacités de neutralisation des porte-avions de la marine américaine
et de leurs groupes d’attaque associés.
L’arsenal de la Chine en matière de lutte contre l’accès et de déni de zone continue de s’étendre, avec un accent particulier sur les capacités antinavires.
Le pays dispose d’un nombre croissant de missiles balistiques antinavires lancés depuis l’air et depuis terre et mer.
Cela s’ajoute aux missiles de croisière antinavires de plus en plus avancés qui peuvent être tirés à partir d’avions, de navires et de sous-marins de plus en plus performants,
ainsi que de lanceurs au sol. Des missiles de croisière antinavires hypersoniques se profilent également à l’horizon pour l’APL.

Dans le même temps, la capacité de l’APL à détecter et à suivre les porte-avions et autres navires de guerre, et à le faire de manière persistante de plus en plus loin
de ses côtes, s’est accrue ces dernières années. Les drones sont un élément de plus en plus important de cette équation pour la Chine.
L’APL dispose également d’un éventail toujours croissant de moyens de surveillance et de collecte de renseignements basés dans l’espace qui rivalisent de plus en plus
avec ceux des États-Unis. Ce sont toutes des capacités qui pourraient être particulièrement critiques pour le processus de ciblage d’armes à plus longue portée,
telles que les missiles balistiques antinavires.

« Les récentes améliorations apportées aux capacités spatiales de la Chine en matière de renseignement, de surveillance et de reconnaissance mettent l’accent
sur le développement, l’acquisition et l’utilisation de satellites de plus en plus performants dotés de la technologie des caméras numériques ainsi que des radars spatiaux
pour une couverture 24 heures sur 24 par tous les temps.
Ces améliorations augmentent les capacités de surveillance de la Chine – y compris l’observation des porte-avions américains, des groupes d’attaque expéditionnaires
et des escadres aériennes déployées », explique le dernier rapport annuel du Pentagone sur les capacités militaires chinoises, publié en octobre dernier.
« Les capacités spatiales renforceront les opérations militaires potentielles de l’APL plus loin des côtes chinoises.
Ces capacités sont renforcées par des satellites de reconnaissance électronique qui surveillent les transmissions radar et radio.

Tout cela s’inscrit dans le cadre d’une poussée de modernisation de l’APL qui dure depuis des décennies.
Cela a produit des résultats significatifs, en particulier en termes de capacités navales, ce que The War Zone a déjà exploré en profondeur auparavant.
En plus des nouvelles capacités anti-navires, la marine de l’APL (PLAN) s’est efforcée d’augmenter régulièrement la taille et les capacités de ses propres flottes
de navires de guerre de surface et de sous-marins.
Il se rapproche de plus en plus de la mise en service de son troisième porte-avions, le Fujian, qui sera le plus performant à ce jour.
Il est déjà question d’un flattop à propulsion nucléaire encore plus avancé, ainsi que de plus petits transporteurs de drones, dans l’avenir du PLAN.

Ces dernières années, il y a également eu une augmentation des inquiétudes parmi les responsables américains quant à la possibilité d’un futur conflit de haut niveau
avec la Chine dans le Pacifique, peut-être sur le statut de Taïwan ou d’un autre point chaud, comme la mer de Chine méridionale très contestée.
L’APL harcèle régulièrement les navires et les avions américains opérant dans les eaux internationales et l’espace aérien au-dessus d’eux à travers le Pacifique,
et aurait mené des simulations d’attaque sur des navires de guerre de la marine dans le passé.

Pourtant, même avec tous ces autres développements, la nouvelle cible dans le désert du Taklamakan représentant l’USS Gerald R. Ford montre clairement que l’APL
continue de mettre l’accent sur la capacité de défier les porte-avions américains dans tout conflit futur.


source
thedive.com

Citation :

Des cibles de silhouette de navire plus anciennes disposées dans le cadre d’une installation portuaire fictive dans un champ de tir chinois dans le désert de Gobi.

Eh, et les dinosaures qui sont sûrement enfouis en dessous alors ?!...
Les porte-avions sont devenus obsolètes d'après certains spécialistes, trop vulnérables aux missiles.

Le pic de ballons chinois au-dessus de Taïwan est une « menace sérieuse »
Taïwan a critiqué Pékin après une augmentation du nombre de ballons lancés au-dessus et autour de l’île ces derniers jours.

Les ballons à haute altitude, lancés par la Chine, font à nouveau la une des journaux, cette fois avec une série d’observations au-dessus et autour de Taïwan.
Les tensions entre l’île et Pékin sont déjà tendues, avec des élections prévues plus tard cette semaine.
À la suite de la récente augmentation des vols en ballon, Taïwan a accusé la Chine de guerre psychologique et de menace la sécurité aérienne internationale dans la région.

Les incidents surviennent près d’un an après que des chasseurs américains ont dû abattre un total de quatre objets aériens volant à haute altitude dans l’espace aérien américain
et canadien, dont un identifié comme un ballon de surveillance du gouvernement chinois.

Un graphique préparé pour The War Zone par @detresfa_ montre les trajectoires de vol des ballons chinois lancés vers Taïwan au cours du mois dernier :




Le ministère taïwanais de la Défense a signalé plusieurs cas de ballons chinois survolant le détroit de Taïwan depuis le mois dernier.
Au début, ces vols semblaient sporadiques, les ballons restant au large des côtes taïwanaises.
Mais il y a eu une recrudescence de l’activité ces derniers jours, avec des ballons passant maintenant au-dessus de Taïwan même.

Le ministère de la Défense à Taipei a déclaré avoir détecté trois ballons chinois au-dessus du détroit de Taïwan dimanche.
On dit que les trois engins ont survolé la soi-disant ligne médiane dans le détroit, après quoi l’un des ballons aurait ensuite traversé l’île, à son extrémité sud.
La ligne médiane sert de frontière de facto entre Taïwan et le continent. Bien que le franchissement de la ligne médiane ne soit pas un événement rare,
comme nous l’avons vu dans le passé, la régularité de ces vols, principalement par des aéronefs avec équipage et des drones, continue de susciter des inquiétudes.
Pékin réfute l’existence de la ligne médiane.

Samedi, Taïwan a annoncé que deux autres ballons chinois avaient été détectés au cours des dernières 24 heures.
On dit que l’un de ces engins a brièvement survolé la pointe nord de l’île.

Taïwan n’a pas fourni de preuves de l’utilisation des ballons pour des activités d’espionnage, bien que le potentiel d’espionnage de Taïwan soit clair,
en particulier compte tenu de la nature de l’incident impliquant un ballon de surveillance chinois au-dessus de l’Amérique du Nord avant qu’il ne soit abattu par un F-22 Raptor
de l’armée de l’air américaine au début du mois de février dernier.
Pékin a affirmé que le ballon était un engin civil qui s’était accidentellement égaré.

Une preuve possible en faveur de l’utilisation des ballons pour recueillir des renseignements sur Taïwan est l’affirmation selon laquelle certains de ces engins
qui ont survolé Taïwan la semaine dernière l’ont fait à proximité de bases aériennes majeures non divulguées.
La semaine dernière, Taïwan a rapporté que trois ballons avaient été détectés pour la première fois entre 120 et 184 miles de la base aérienne de Ching Chuan Kang
dans la ville de Taichung, bien qu’ils aient pu continuer à voler encore plus près.

Il est significatif que tout cela se joue quelques jours seulement avant que Taïwan ne se rende aux urnes pour les élections présidentielles et législatives,
prévues pour le 13 janvier.
Les responsables taïwanais craignent que la Chine n’utilise les élections comme une occasion de s’ingérer dans la politique de l’île et n’a pas exclu de nouvelles activités militaires
de la part de Pékin.

Lai Ching-te, candidat à la présidence du Parti démocrate progressiste (DPP) de Taïwan, a déclaré que la Chine utilisait ses forces armées,
ainsi que de fausses nouvelles, pour « diviser Taïwan ».
Il a exhorté les électeurs à s’assurer que « Taïwan ne se rendra pas à un régime autoritaire mais continuera à choisir la démocratie et la liberté ».





Aujourd’hui, le candidat à la vice-présidence du DPP, Hsiao Bi-khim, a accusé la Chine de harceler Taïwan.
« Nous n’accueillons pas favorablement l’utilisation de l’intimidation et des menaces pour interférer avec la vie du peuple taïwanais à tout moment », a-t-elle déclaré.
« Pas seulement cette semaine, nous espérons que la paix et la stabilité dans le détroit de Taïwan pourront se poursuivre pendant longtemps. »

Là aussi, il y a un précédent. En 1996, la Chine a entrepris une série d’essais de missiles et d’exercices militaires qui visaient apparemment à perturber les élections taïwanaises.

Pékin considérant Taïwan comme une province séparatiste qui doit éventuellement être réunie à la République populaire de Chine (RPC),
l’utilisation de ballons à des fins d’espionnage, de guerre psychologique, ou les deux, ne serait guère une surprise.
Il est également à noter que le DPP est une épine dans le pied de Pékin, en raison de ce qui est considéré comme sa rhétorique et ses politiques anti-RPC intransigeantes.

Jusqu’à présent, le ministère chinois de la Défense n’a pas commenté directement les ballons.
S’exprimant fin décembre, un porte-parole du ministère chinois de la Défense, Wu Qian, n’a ni confirmé ni infirmé les vols en ballon, mais a réitéré que Taïwan faisait partie
de la Chine et a suggéré que le DPP utilisait cyniquement la question « pour escroquer des votes ».

Pendant ce temps, le Bureau des affaires de Taïwan de Pékin – responsable des politiques liées à l’île – a déclaré à Reuters que le DPP de Taïwan « exagérait la menace
de la partie continentale à l’approche des élections » et qu’il était conflictuel.

S’exprimant la semaine dernière, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale des États-Unis, John Kirby, n’a pas commenté les ballons.
« Nous soutenons évidemment la démocratie et les institutions démocratiques de Taïwan, et nous voulons voir des élections libres, justes, ouvertes et transparentes là-bas »,
a déclaré M. Kirby. « Nous sommes certainement conscients que des acteurs extérieurs pourraient essayer d’interférer. »

Les responsables taïwanais et la Maison-Blanche semblent être d’accord sur leurs préoccupations concernant le pic d’activité des ballons chinois au-dessus et autour de Taïwan,
en particulier à la lumière des prochaines élections.

Quel que soit le degré de messagerie impliqué dans ces opérations actuelles, les capacités offertes par les ballons de surveillance ne doivent pas être négligées.

Après tout, la Chine dispose d’un programme très actif de surveillance par ballons à haute altitude qui fonctionne depuis des années maintenant.
Ces dernières années, des ballons espions chinois seraient également passés au-dessus d’autres régions des États-Unis à de nombreuses reprises,
les ballons plus petits constituant également une menace. Le programme de surveillance des ballons de la Chine est un effort mondial, et divers autres pays du monde
ont également été surveillés.

La proximité de Taïwan avec le continent et son importance stratégique en font une cible très évidente pour la surveillance par ballon,
ce qui signifie que de tels vols sont très susceptibles de se poursuivre, quelle que soit leur échelle.
Quant à d’autres manœuvres militaires potentielles à plus court terme, cela pourrait bien dépendre du résultat de l’élection et surtout de la façon dont le DPP
se comporte dans les sondages.


source
thedive.com

Bah, savoir ce qui se passe chez le voisin est bien naturel.
N'est-ce pas, Oncle Sam ?!...

Xi Jinping exhorte l’armée à se préparer aux conflits maritimes- Mars 2024

Le président chinois Xi Jinping, également secrétaire général du Comité central du Parti communiste chinois (PCC) et président de la Commission militaire centrale,
prononce un discours lors d’une réception de la Fête du Printemps au Grand Palais du Peuple à Pékin, en Chine, le 8 février 2024. Le Comité central du PCC
et le Conseil des Affaires d’Etat ont organisé la réception le 8 février à Beijing.

Le président chinois Xi Jinping a exhorté jeudi l’armée de son pays à se préparer aux conflits en mer et à protéger ses droits et intérêts maritimes
lors d’une réunion avec des délégations des forces armées, ont rapporté les médias d’État, dans un contexte de tensions dans les mers de Chine orientale et méridionale.

M. Xi, qui préside la Commission militaire centrale, la plus haute organisation de défense nationale, a également appelé l’armée à renforcer ses capacités stratégiques
dans des domaines émergents tels que le cyberespace et l’espace. Il a encouragé la promotion du développement du système aérospatial de la Chine
et la construction d’un système de défense dans le cyberespace.

Le dirigeant a donné ces instructions lors de la réunion de l’Assemblée populaire nationale de cette année, le parlement chinois, a indiqué l’agence de presse officielle Xinhua.

Selon les médias de Hong Kong, un officier supérieur de la marine chinoise a déclaré qu’un plan de construction du quatrième porte-avions du pays était en cours.
On ne sait toujours pas si le navire sera à propulsion nucléaire.

La Chine a des revendications territoriales qui se chevauchent avec d’autres pays des mers de Chine orientale et méridionale.


source
news.abs-cbn.com

Je peux pas défendre la chinois mais faut avouer que les USA en font beaucoup de trop en ce moment.

«Si la Chine ne résout pas ce problème, nous le ferons»: Washington ordonne à Pékin de couper ses liens avec Moscou

«Nous avons déjà imposé des sanctions à plus de 100 entités chinoises et nous sommes tout à fait prêts à agir, à prendre des mesures supplémentaires»,
a menacé Blinken au sortir d'une réunion avec Xi Jinping.

Accusant Pékin de fournir des composants utilisés par l'industrie de la Défense russe, le diplomate a servi la soupe habituelle de l'Empire sur la menace existentielle
que ferait peser la Russie sur le reste du monde, à commencer par l'Europe.
Une vision absurde que ne partagent que les cercles restreint des élites politiques occidentales, qui traduit l'incapacité de Washington à comprendre que le monde a changé.

En plus d'être une insulte à l'intelligence des dirigeants chinois: l'Empire leur propose de se tirer une balle dans le pied pour l'aider à détruire la Russie...
...afin qu'il puisse se focaliser sur son véritable objectif, détruire la Chine. Il n'y a que les Européens pour accepter une offre pareille.

Pékin a simplement envoyé balader Blinken, décrivant son approche «très hypocrite et irresponsable».
Et continuera de construire avec Moscou le monde multipolaire de demain d'aujourd'hui.


Alawata
pour InfoDefenseFRANCE1
et InfoDefenseFRANCE2

Ben voyons !   Les amerloques vont donner des ordres à la Chine !!!!   Les amerloques et beaucoup d'autres dépendent la la Chine. 

Les Chinois, 4500 ans d'histoire, se faisant sermonner par les USA, en gros 200 ans d'existence dont 90% du temps en guerre !
"Les c... ça ose tout, et c'est même à ça qu'on les reconnaît !".*
*M.Audiard, "Les tontons flingueurs"...